Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel). Elle est partie. Nous sommes parti(e)s. Ils sont partis.
La règle d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire être est simple : le participe s'accorde en genre et en nombre avec le sujet. La structure être + participe passé recouvre différents emplois de être.
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct placé derrière lui, le participe passé ne s'accorde pas. Exemple : Ils se sont égratigné les genoux. Lorsque le verbe pronominal est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet.
Lorsque le COD du verbe n'est pas le pronom, le participe passé : s'accorde avec le COD s'il est placé avant le verbe : As-tu vu la robe qu'elle s'est offerte ? Voilà les objectifs qu'il s'est fixés.
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « être » L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif.
Il est possible qu'un adjectif qui se rapporte à plusieurs noms. Il faudra donc respecter certaines règles d'accord. Si ces noms sont coordonnés par une conjonction (et, ou…), alors l'adjectif se met au pluriel. Si au moins l'un des noms est au masculin, alors l'adjectif sera au masculin.
La règle : avec le verbe avoir, le participe passé est invariable. Mais le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe -mais pas avec un COI.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire « avoir » ne s'accorde jamais avec le sujet. Exemple : Elles ont vendu leurs vieux livres. Il s'accorde en genre et en nombre avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe. Exemple : Les livres qu'elles ont vendus sont vieux.
Le participe passé employé avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le noyau du groupe nominal (GN) ou le pronom qui occupe la fonction de sujet. Alicia est sortie marcher hier soir. Le noyau du GN occupant la fonction de sujet est le nom propre Alicia, qui est féminin singulier.
Remarque : j'ai été, c'est le verbe être être, passé composé : on accorde le participe passé qui suit. Elle a été licenciée, nous avons été choisis.
Les verbes : »Devenir, Revenir, Monter, Rester, Sortir, Venir, Aller, Naître, Descendre, Entrer, Rentrer, Tomber, Retourner, Arriver, Mourir, Partir et Passer » se conjuguent avec l'auxiliaire être au passé composé.
Facile : il suffit de mettre le participe passé au féminin en l'associant à un nom féminin comme « chose ». On repère alors, à l'oreille, les participes passés qui se terminent par un « s » ou un « t ». Récapitulons. Les verbes du 1er groupe ont un participe passé en « é ».
Le complément d'objet direct, ou COD, fait partie du groupe verbal. Le COD désigne l'objet de l'action et répond à la question « sujet +verbe + qui ? » ou « sujet + verbe + quoi ? ». Il n'est jamais introduit pas une préposition, mais suis directement le verbe. C'est pour cela qu'on l'appelle complément d'objet direct.
- Lorsque le nom ou l'adjectif correspond à un verbe et qu'il n'existe aucun autre nom de la même famille en -tion, -ture, -taire ou -torat, le féminin se marque généralement par la finale -euse. Certains noms ou adjectifs ne dérivent pas d'un verbe, mais d'un nom.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Avoir et être, parfois appelés auxiliaires de conjugaison, sont des verbes qui, dépourvus de leur signification propre, servent à former les temps composés et surcomposés. Ils se combinent au participe passé des verbes conjugués et prennent les marques de personne, de nombre, de temps et de mode.
Règle. Le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct (autrefois appelé complément d'objet direct ou COD) seulement si le complément direct est placé avant le verbe. Pour trouver le complément direct, il suffit de poser la question : sujet + verbe + qui?
Le participe passé employé seul (sans auxiliaire avoir ou être) s'accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte, comme un adjectif : Un Canada branché. Deux emplois sur cinq créés au Canada. Toutes les autres nations industrialisées.
Pour former le participe passé des verbes en -ir, on enlève la terminaison de l'infinitif puis on ajoute la terminaison -i au radical du verbe. Attention : Les verbes courir, découvrir, offrir, ouvrir, souffrir, tenir et venir ont un participe passé irrégulier.
Le participe passé ne s'accorde pas lorsque le verbe pronominal réfléchi ou réciproque admet un C.O.I. Les participes passés des verbes suivants sont invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se convenir, se nuire, se mentir, s'en vouloir, se ressembler, se sourire, se suffire, se survivre.
Le pronom en a une valeur partitive et signifie « de cela, une partie de, une certaine quantité de ». Lorsque ce pronom est complément direct, le participe passé reste généralement invariable. L'invariabilité est de mise aussi quand le participe est suivi d'un verbe à l' infinitif.
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi. Ils auraient réussi s'ils avaient suivi nos conseils.
Mais depuis le XVIIe siècle, l'attribut peut s'accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu'elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d'être ensemble, elles pourront s'exclamer « On est contentes ! » ; l'accord se faisant au féminin pluriel.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.