L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
La péroraison (du latin peroratio, « long discours, peroraison », dérivé de perorare « pérorer ») est l'une des parties du discours reconnues comme essentielles par la rhétorique dans la Disposition. Elle est précédée, dans l'ordre, de l'exorde, de la narration, de la division, de la confirmation et de la réfutation.
L'épilogue doit être un plaisir, un sursaut, un réveil, et surtout pas une conclusion soporifique que le lecteur primaire pourrait faire seul. Mieux, elle il doit pouvoir ouvrir un champ de reflexion au lecteur, reflexion qui se confronte à celle de l'auteur, ouvrant ainsi un débat avec de possibles divergences.
Dernière partie, conclusion d'un discours, d'un poème, d'un ouvrage dramatique ou romanesque, contenant par exemple la récapitulation des principaux points d'une argumentation ou le récit des événements postérieurs à l'action principale. Anton. prologue.
Qualités et défauts de l'exorde
Quelle que soit la nature de l'exorde, il faut, avant tout, qu'il soit tiré du sujet. Autrement ce ne serait plus qu'un hors-sujet. De même, quoique l'exorde soit la première partie du discours, l'orateur ne doit-il y songer que quand il a bien étudié la matière qu'il a à traiter.
L'organisation du discours (la dispositio) comporte quatre étapes : l'exorde (exordium), la narration (narratio), l'argumentation (confirmatio) et la péroraison (peroratio).
La quatrième de couverture (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés.
C'était tantôt un des personnages de la pièce qui venait en indiquer d'avance ou même en détailler le sujet, tantôt le poète qui introduisait sur la scène, pour l'instruction du peuple, un Dieu ou un personnage fantastique, dont l'apparition se faisait à l'aide d'une machine.
A quoi sert un prologue ? Dans un roman de science-fiction ou de fantasy par exemple, un prologue peut permettre de fournir aux lecteurs des éléments de base pour comprendre le décor et la culture d'un univers particulier avant que l'histoire ne commence.
Ce qui conclut une action. Synonyme : aboutissement, chute, conclusion, dénouement, fin.
“Un bon dénouement doit briller par sa clarté, jusqu'au dernier mot. La narration doit se terminer d'elle-même, sans artifices. Vous pouvez réserver une certaine surprise à votre personnage ou explorer un détail laissé de côté afin de surprendre et satisfaire votre lecteur.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back). Ce retour a souvent valeur explicative.
dégager toute loi ou politique pertinente et relier celle-ci aux faits entourant votre cas; conclure par un bref résumé de votre cas, incluant les résultats ou prestations que vous demandez.
la rhétorique est l'art de bien parler (ars bene dicendi de Quintilien) ; la rhétorique est l'exposé d'arguments ou de discours qui doivent ou qui visent à persuader (Aristote).
Dans le théâtre antique, indication donnée à un acteur par l'auteur sur son manuscrit. Le terme « didascalie », plus précis que celui d'« indication scénique », comprend tout ce qui n'est pas prononcé par les personnages dans une œuvre théâtrale, y compris leur nom en tête des répliques.
A la fin du prologue, il devra arriver à se poser 2 questions : « Comment en est-on arrivé là? », et « Qu'est-ce qu'il va se passer ? ». Le prologue va généralement servir à relater les événements antérieurs de l'histoire.
Le prologue, c'est tout simplement un texte, une section introductive à une pièce, un roman, un essai. Son propos, est d'introduire les thèmes et les personnages qui apparaitront au cours du récit et de fournir les élements nécessaires à la compréhension de l'histoire.
Placée dans les pages annexes, c'est-à-dire à la fin du document, la postface est séparée du corps principal de l'ouvrage. Bien qu'elle puisse faire office de conclusion, elle produit des informations qui, bien que non essentielles à l'intégralité de l'ouvrage, sont toutefois jugées pertinentes.
quatrièmes de couverture. Quand la première de couverture est le recto du livre, la quatrième de couverture est son verso. Sur cette page, on peut généralement lire un résumé du livre (ou un extrait), quelques informations sur l'auteur et des critiques faites à son sujet.
Dans le contexte de la presse papier, l'expression troisième de couverture désigne l'avant dernière page d'un journal ou d'un magazine. Il s'agit souvent d'un emplacement publicitaire préférentiel au même titre que "l'emplacement roi" en quatrième de couverture.
Récapituler et interpeller
Vous vous efforcerez surtout de récapituler les grandes lignes de votre raisonnement (« les principaux chefs », selon Quintilien). Néanmoins, ce ne sera pas une répétition « pure et simple », mais un moyen de conclure sur une idée nouvelle, dans la continuité de votre raisonnement.
Utilisé de manière plus générale et en fonction du contexte, le terme "rhétorique" a pour synonyme "éloquence", "grandiloquence" ou encore "bien-dire". Il désigne alors la qualité oratoire d'une personne.
En rhétorique classique occidentale, la péroraison (du latin peroratio) est la dernière des six parties canoniques d'un discours, précédée, dans l'ordre, de l'exorde, de la narration, de la division, de la confirmation et de la réfutation.