les Canadiens et les Canadiennes.
Le nom « Canada » vient probablement du mot huron et iroquois kanata, qui signifie « village » ou « bourgade ». En 1535, quand deux jeunes Autochtones indiquent à l'explorateur Jacques Cartier le chemin de kanata, ils font en fait allusion au village de Stadacona, emplacement actuel de la ville de Québec.
Il réfère à un peuple, mais aussi, par l'effet de la loi, à tous les Canadiens qui résident au Québec, qui est une province du Canada. Les francophones natifs au Québec représentent aujourd'hui un peu moins de 80 % de la population et la majorité de ceux-ci sont d'origine française.
Comportement. Les canadiens sont fiers de leur identité propre, de leur culture et n'aiment pas être confondus avec les américains. Au Canada, les rapports entre les gens sont souvent moins formels que chez nous et plus décontractés.
L'origine de « Habs » fait longtemps l'objet d'un débat. L'hypothèse la plus courante veut qu'en 1924, Tex Rickard, propriétaire des Rangers de New York, affirme à tort à un journaliste que le « H » majuscule dans le logo des Canadiens signifie « Habs ».
Par ailleurs, le col passe du blanc au bleu. En 1916, un « H » pour Hockey remplace le « A ». La modification est liée à l'acquisition du club par le Canadien Hockey Club que dirige M. George Kennedy.
En québécois Go Habs Go signifie :
cri d'encouragement pour le club de hockey du Canadien de Montréal. Se rapproche du Allez les Bleus, Allez. Cette entrée fait partie de notre lexique.
Voici quelques comportements à bannir dès que vous franchissez le sol canadien. Première règle à respecter : évitez de fumer ou de boire de l'alcool dans un lieu public comme dans la rue, à la terrasse d'un restaurant ou d'un café ou encore dans un parc.
Pour se saluer, mieux vaut se serrer la main plutôt que se faire la bise et entre amis proches les hugs (câlins) sont très fréquents.
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent. Bref, lâchez-lui la grappe.
Il ne faut pas confondre français québécois et français canadien. En effet, à strictement parler, le français canadien constitue un ensemble qui comprend le français québécois et les français de diverses autres régions et origines.
1. Les Québécois sont des hédonistes. Ils privilégient les plaisirs de la vie, l'humour et la fête : 76 % considèrent qu'il est plus important d'“avoir du plaisir” que de “faire son devoir”.
Ces peuples, considérés comme les Premières Nations du Canada, étaient tout d'abord localisés dans le sud de l'Ontario, au bord de la rivière Eramosa. On a connaissance de la présence des Hurons dans cette région dès le 9ème millénaire av.
Finalement, c'est la reine Victoria qui, en 1857, choisit la petite ville d'Ottawa ─ autrefois appelée Bytown ─ comme capitale définitive de la colonie. Dix ans plus tard, la Loi constitutionnelle confirme Ottawa comme capitale du Canada fédéré.
Les Métis sont l'un des 3 peuples autochtones reconnus au Canada, les 2 autres étant les Premières Nations et les Inuit. Selon le recensement de 2016 de Statistique Canada, 587 545 Canadiens se sont déclarés Métis.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien). Féroïen : eg elski teg.
En gros, les Québécois trouvent les hommes français simultanément machos, galants, romantiques et volages. Ils ont moins d'idées préconçues sur les Françaises, sauf qu'ils sont déçus qu'elles ne ressemblent pas plus à Amélie Poulain.
Le mot « revoyure » est l'action, le fait de se revoir, de se dire au revoir.
En effet, ils remportent la Coupe Stanley en 1930 et en 1931, devenant ainsi, pour la première fois de leur histoire, doubles tenants du titre. En 1931‑1932, l'équipe décroche son quatrième titre de la Division canadienne en cinq saisons, mais perd en demi‑finale contre les Rangers de New York.
(Géographie) Habitant de Montréal, métropole du Québec. Mathieu est un vrai Montréalais, contrairement à moi, qui suis un simple résident de Montréal.