Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Bronchodilatateurs et corticoïdes
Les bronchodilatateurs ou parfois les corticoïdes en inhalation peuvent être prescrits en cas d'asthme associé car ils permettent de décontracter les muscles des voies respiratoires et faciliter ainsi la respiration.
La moutarde pour dégager les bronches
Additionnez une cuillère à soupe de poudre de graines de moutarde à 30 grammes de farine et un peu d'eau. Vous devez obtenir une pâte assez épaisse. Enroulez cette pâte de moutarde dans un mouchoir et déposez-le sur la poitrine durant 15 minutes.
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Exercez-vous: assis, allongé ou même debout, mains sur le ventre pour sentir le va-et-vient respiratoire, inspirez pendant 3 s par le nez en gonflant le ventre comme un ballon, bloquez l'air 3 s puis expirez lentement par la bouche pendant 6 s en laissant le ventre dégonfler jusqu'à se creuser.
Pour aide à apaiser et décongestionner les voies respiratoires, profitez de l'aide précieuse d'une infusion de thym, de gingembre, mais également de tulsi ou cannelle.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
Bronchodilatateurs. En cas de respiration sifflante ou de râles, l'usage d'un médicament ayant pour effet d'ouvrir les bronches aide souvent. Le médecin peut alors envisager de prescrire un bronchodilatateur de type agoniste bêta2 sous forme d'inhalateur (par exemple, le salbutamol ou Ventolin®).
Les bronchodilatateurs sont des médicaments qui luttent contre la contraction anormale des muscles de la paroi des bronches. Egalement utilisés dans l'asthme, ils permettent de soulager les symptômes de la BPCO, notamment la gêne respiratoire. Ils sont administrés selon les cas par voie inhalée ou par voie orale.
« L'activité physique n'améliore pas les capacités pulmonaires chez le sujet sain. En revanche, elle peut aider les malades chroniques, ainsi que les fumeurs » explique le Dr Bernard Aguilaniu, pneumologue à Grenoble. Explications. Nos capacités respiratoires ne sont pas améliorées par le sport.
Les symptômes de l'insuffisance respiratoire
L'insuffisance respiratoire entraîne une mauvaise oxygénation du sang, qui se manifeste principalement par des difficultés respiratoires (ou dyspnée), un essoufflement et une fatigue survenant pour des efforts, même très minimes.
Le traitement repose sur deux axes : le traitement de la maladie respiratoire sous-jacente ; la prise en charge du problème respiratoire à l'aide d'une assistance respiratoire au long cours. Il s'agit généralement d'oxygénothérapie à domicile ou d'une assistance ventilatoire au masque.
Les tisanes de molène
La molène est une plante qui permet d'accroître la capacité respiratoire, elle supprime l'excès de mucus des poumons, nettoie les bronches, et réduit l'inflammation des voies respiratoires. L'idéal est de la consommer sous forme de tisane.
Le thym provoque peu d'effets indésirables. Un surdosage peut entraîner des réactions allergiques, voire des troubles de la digestion comme des brûlures d'estomac ou des diarrhées "et en huile essentielle, s'il est mal dilué, la solution peut être irritante pour les muqueuses" souligne la naturopathe.
L'homéopathie est très plébiscitée dans le traitement de l'asthme. Moins sollicitées, l'acupuncture, la sophrologie, la méditation, la phytothérapie ou encore la médecine chiropratique sont des méthodes envisagées par de nombreux patients soucieux de calmer et limiter les crises d'asthmes.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Légèrement surélevée : la meilleure position en cas de rhume
L'idée est de dormir en position inclinée plutôt qu'allongée : cela permet d'atténuer la pression sur les sinus et de dégager les voies respiratoires. Résultat : on respire mieux et l'endormissement est facilité.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Les principales maladies obstructives à l'origine de dyspnée sont la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'asthme. La dyspnée est aussi le motif de consultation le plus fréquent chez le cardiologue. Les pathologies cardiovasculaires sont une des causes fréquentes de dyspnée.
Vous pouvez aider votre corps à évacuer le mucus des bronches : Pour cela, buvez beaucoup, de l'eau et des boissons chaudes. Restez bien couvert et utilisez un humidificateur si l'atmosphère de votre logement est très sèche.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.