Un protocole naturel
Il faut commencer par faire 2 fois par jour un lavage nasal avec de l'eau minérale tiède (que vous aurez pris soin de faire bouillir pendant 3 minutes). Elle se conserve dans le récipient qui a bouilli pendant 2 à 3 jours.
Calcium. Des essais cliniques ont suggéré que la prise de 1 200 à 2 000 mg par jour de suppléments de calcium pourrait contribuer à prévenir la récurrence des polypes intestinaux. Cet effet serait plus prononcé sur les polypes de grande taille1-5.
Si les polypes deviennent assez gros pour bloquer les voies respiratoires du nez, votre enfant devra subir une intervention chirurgicale appelée polypectomie nasale pour les enlever. Votre enfant devra être mis sous anesthésie et devra passer un ou deux jours à l'hôpital.
Au cours de son évolution, rythmée par des poussées, cette maladie grave peut entraîner des symptômes comme une congestion nasale, une rhinorrhée (écoulement du nez), des troubles de l'odorat qui peuvent aller jusqu'à sa perte complète (anosmie)2, des altérations du goût et des douleurs faciales.
Le polype se forme à partir d'une inflammation de la muqueuse nasale. "Si la cause n'est pas parfaitement identifiée, il apparaît le plus souvent lors de rhinites allergiques à répétition, de lésion de la muqueuse, d'une infection bactérienne ou en cas d'asthme", indique le Dr. Quillard.
Un polype peut disparaître tout seul lors des règles notamment. Sinon, le traitement est essentiellement chirurgical. Cela consiste à retirer le polype. "Il est ensuite envoyé au laboratoire d'anatomopathologie pour analyses afin d'écarter le risque de cancer", explique le gynécologue.
Votre ORL est susceptible de prescrire un spray nasal de corticostéroïde pour réduire l'inflammation. Ce traitement peut rétrécir les polypes ou les éliminer complètement. Les rhinocorticoides comprennent le fluticasone, le budésonide, le mométasone, le triamcinolone, le beclométhasone, le funisolide…
Un scanner des sinus et une IRM permettront d'affiner le diagnostic et une biopsie sous anesthésie générale permettra de confirmer le cancer. C'est une lésion kystique développée à partir de la muqueuse sinusienne.
DUPIXENT (dupilumab) peut être utilisé, en tant que biothérapie, dans le respect du RCP, en traitement additionnel aux corticostéroïdes par voie nasale pour les patients adultes ayant une polypose naso-sinusienne sévère insuffisamment contrôlés par des corticostéroïdes systémiques et par la chirurgie.
Les polypes du côlon peuvent avoir deux causes. Ils peuvent provenir d'un facteur génétique, dans ce cas on parle d'une polypose familiale ou de la maladie de Lynch. En effet, certaines personnes sont génétiquement prédisposées à développer des adénomes et des cancers.
Les facteurs de risque de polypes du côlon et du rectum
Dans ce cas, une personne a plus de risque que la population générale de développer des polypes en fonction de : son âge. Le risque d'avoir des polypes augmente en vieillissant ; ses antécédents familiaux.
RHINOCORT 64 µg/dose est le seul corticoïde administré par voie nasale ayant les indications « traitement des rhinites allergiques saisonnières et perannuelles de l'adulte et de l'enfant » et « traitement symptomatique de la polypose nasale de l'adulte ».
Le traitement consiste à retirer complètement les polypes du côlon et du rectum. L'exérèse est généralement réalisée lors d'une coloscopie, mais le traitement peut aussi faire appel à la chirurgie. Puis, la surveillance par coloscopie est adaptée en fonction du type de polype.
Le plus courant est le polype adénomateux, il s'agit d'une lésion précancéreuse, c'est-à-dire que cette tumeur, bénigne au départ, peut évoluer en cancer au bout d'un certain nombre d'années.
Le nez bouché sans rhume et en permanence est une rhinite chronique. La muqueuse du nez est tout le temps irritée et sécrète du mucus pour se protéger. Les facteurs irritants sont de nature variable selon la sensibilité de chacun : un espace fumeur, un air sec, la pollution atmosphérique…
Le symptôme le plus courant du cancer des fosses nasales et des sinus paranasaux est un nez congestionné, bouché ou qui coule. Cela survient habituellement d'un seul côté du nez et dure longtemps, même si vous n'avez pas de rhume ni d'allergies. Ces symptômes peuvent s'aggraver graduellement.
Nouveau en France, le procédé consiste à élargir le canal de drainage des sinus à l'aide d'un cathéter à ballonnet pouvant se gonfler à haute pression, un peu comme dans les artères du cœur pour les déboucher. L'écoulement normal des sinus est alors rétabli. Ce traitement peu invasif ne provoque pas de saignements.
La survie à 5 ans est très variable selon l'extension mais aussi selon le type histologique de la tumeur. Globalement, la survie du cancer des sinus des menuisiers (adénocarcinome) est de 70% à 5 ans, la survie du carcinome épidermoïde des sinus de 50% à 5 ans.
Ils peuvent également provoquer des saignements en-dehors des règles, ou des règles plus abondantes. De fait, le polype peut provoquer une anémie engendrant une fatigue généralisée. Si l'un de ces symptômes apparaît, l'idéal est de consulter un·e gynécologue pour vérifier la présence ou non de polype.
Le lavage de nez peut se faire avec du sérum physiologique, une solution saline disponible en pharmacie ou de l'eau salée que l'on confectionne soi-même. Pour cela, laver et rincer soigneusement un récipient en verre d'un litre environ. Le remplir avec une bouteille d'eau minérale ou du robinet, sans faire bouillir.
5/ Est-ce que l'opération est douloureuse ? Non, elle ne l'est pas. On peut toutefois observer des maux de tête dans les suites opératoires en raison de croûtes et du terrain (tabac, infection chronique…).
Est-ce dangereux d'avoir des polypes ? La grande majorité des polypes est bénigne, cependant certains polypes comme les polypes du côlon et de la vessie peuvent toutefois se révéler être des lésions précancéreuses, ou d'autres peuvent dégénérer en lésions cancéreuses. Il est donc important de surveiller.
Cependant, tous les polypes n'évoluent pas en cancer du côlon. Ainsi, on considère que sur mille polypes, cent atteindront la taille d'un centimètre à partir de laquelle le risque d'évolution vers un cancer devient plus élevé, et vingt-cinq dégénèrent en cancer colorectal dans un délai d'une dizaine d'années.