Prévenez-les une à deux semaines avant les vacances, pour qu'ils aient le temps de se procurer l'ouvrage demandé, et demandez-leur de le lire pour la reprise des cours. Avant les vacances, organisez une séance de lancement pour susciter l'envie de lire l'œuvre. L'objectif est d'attiser la curiosité des élèves.
En premier lieu il faudra vous familiariser avec le texte en évaluant l'extension du sujet, en lisant les énoncés, les encadrés, les mots en gras, etc. ... Vous devez analyser la structure du livre et calculer le temps approximatif de sa lecture pour pouvoir définir des objectifs d'études hebdomadaires.
Résumez rapidement l'histoire
Votre but, en effet, est d'éveiller la curiosité de vos camarades, de leur donner envie de lire le livre à leur tour. chiffrée sur 10 ou sur 20, une lettre (A pour très bien, B pour bien, etc.)
Il faut alors poser une question en rapport avec la problématique de la séquence ou bien demander un article de critique (écriture argumentative, « éloge et blâme »), ou bien une « lettre à l'auteur » ou encore programmer une présentation orale (consigne : donnez une note à ce livre et justifiez-la).
Pourquoi des titres ? Un titre introduit le contenu du texte, en donne le ton et quelques mots-clés tout en captant l'intérêt du lecteur. Un titre ne doit jamais induire le lecteur en erreur. Il doit indiquer les éléments principaux (par exemple le contexte historique, l'approche théorique et l'idée-force).
Une analyse de texte doit avoir un point de vue clair et précis X Source de recherche . Elle doit aussi indiquer précisément les raisons du document et les techniques utilisées au lieu de simplement résumer le contenu.
Quand on veut décrire la personnalité d'un personnage, on peut penser d'abord à ses défauts et à ses qualités bien sûr. On peut aussi enrichir cette description de personnage avec d'autres éléments : ses rêves, son pire souvenir, ses phobies, sa plus grande peur, ses croyances religieuses ou ses objectifs dans la vie.
Prévoir et respecter un VRAI temps de lecture quotidien. Ça veut dire au moins vingt minutes sans interruption, non négociables, prévues dans l'emploi du temps. Pas cinq minutes en fin de journée parce qu'il nous reste un peu de temps. Pas cinq minutes en rentrant de récréation parce qu'on veut "poser" nos élèves.
Adaptez votre recommandation à l'interlocuteur.
Restez mesuré et parlez du livre pour donner envie sans trop en dévoiler (article à suivre). Sans trop en faire non plus. Et si les idées ne vous viennent pas, n'hésitez pas à décliner et renvoyer la personne vers un libraire. Conseiller un livre… c'est son métier !
Si vous avez beaucoup de difficultés à comprendre un livre, il est bon de le mettre de côté, de lire quelques autres livres abordants le même sujet mais plus faciles d'accès, avant d'y revenir avec une meilleure connaissance des bases et du sujet dans son ensemble.
Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte. Cela veut dire qu'il est rédigé dans l'esprit de l'auteur, et ne fait intervenir aucune idée personnelle, ni commentaire sur les arguments ou idées présentées.
On choisit alors parmi les outils d'analyse des textes ceux qui correspondent aux divers procédés d'écriture du texte comme le lexique (connotations, champs lexicaux, registre de vocabulaire…), la syntaxe et les rythmes (les temps et les modes verbaux, la place des mots, les termes de liaisons, la longueur et l' ...
Analyser un texte littéraire signifie donc qu'il faut : - mettre en valeur les intentions de l'auteur, - mettre en évidence les procédés qu'il utilise pour parvenir à ce but, - faire comprendre les réactions, les émotions que ce texte provoque chez le lecteur.
Le titre fait partie du livre, tous les éditeurs le disent. D'où son importance. Bref, il s'agit de susciter l'intérêt, la curiosité, informer peut-être, donner envie d'aller plus loin sûrement. Plus loin, c'est la quatrième de couv.
Un titre est un type de métadonnée consistant en un nom que l'auteur d'un document ou d'une œuvre choisit pour désigner sa production. Par métonymie, le titre peut aussi être l'œuvre elle-même, plutôt que le nom qui la désigne (on parle par exemple de titre de presse).
- Il m'a amusé (e) / Il m'a ennuyé (e) - C'est facile/ difficile à comprendre - Il m'a plu / ne m'a pas plu - Il m'a scandalisé (e) - Il m'a ému - Il m'a intéressé / Il m'a surpris - Il m'a fait penser à... - J'ai aimé le style de l'auteur - Je me suis identifié(e) au personnage...
Dégagez l'intérêt du livre :
Il a un intérêt documentaire Il fait rire ou il fait peur Il permet de s'évader Il m'a fait comprendre une époque Il procure des émotions Il fait réfléchir Il rappelle des choses vécues L'auteur cherche à émouvoir, effrayer, témoigner, démontrer, critiquer…
L'appréciation exige du lecteur de «sortir du texte», de prendre une distance dans le but de juger. Qualifier l'originalité de l'intrigue, juger une description convaincante ou détailler le style d'écriture... La culture et les références jouent ici un rôle essentiel.