Voici quelques astuces pour prévenir la thrombose du voyage : Levez-vous et marchez. Buvez beaucoup d'eau, de thé ou de boissons similaires. Exercices du pied : la flexion, l'extension et la rotation de vos chevilles activent la circulation sanguine.
Le gonflement des jambes et des chevilles à bord d'un vol long-courrier est un phénomène bien connu des voyageurs. Il résulte de la pression atmosphérique dans l'avion et de la position assise prolongée, mauvaise pour la circulation sanguine.
Pendant le voyage en avion
Porter des vêtements amples, serrant le moins possible l'abdomen de façon à ne pas entraver le retour veineux cave inférieur : éviter gaines et ceintures. Pendant l'attente en salle d'embarquement, en profiter pour marcher car ce sera plus difficile dans les heures qui suivront.
Avant le vol, terminez votre douche par un jet d'eau froide que vous passerez courageusement des pieds jusqu'aux cuisses, appliquez un gel rafraîchissant (Lotion pour les Jambes, Herbacin, 11,95€, Gel Jambes Lourdes, Mercurochrome, 7,20€, Gel défatigant pour les pieds, Mavala, 11,60€).
« C'est dû aux problèmes circulatoires et donc à la rétention d'eau. » En avion, comme on reste principalement assis et qu'on ne marche pas assez, de l'eau s'accumule dans les tissus de notre organisme, en particulier dans nos membres inférieurs (chevilles et mollets).
Si l'on met des bas ou collants de compression pour voyager, le bon usage est de les mettre le matin, quand les jambes sont le moins gonflées et de les garder jusqu'au soir.
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Selon un rapport sur la sécurité aérienne rédigé par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), en 2019, on dénombrait 0,21 accident mortel de passagers par million de vols et 0,15 accident mortel de passagers par milliard de km parcourus. Autrement dit, un accident mortel survient tous les 5 millions de vols.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Utilisez un décongestionnant nasal ou oral pour enrayer toute congestion et permettre à vos trompes d'Eustache de se rouvrir. Utilisez le décongestionnant environ 30 minutes à une heure avant le décollage et l'atterrissage.
Si vous devez obligatoirement prendre avec vous en cabine des produits liquides, vous pouvez le faire en utilisant un sachet refermable en plastique transparent d'une capacité maximale de 1 litre, dans lequel chacun de vos produits liquide (gel, parfum, aérosol, dentifrice, etc.) ne pourra dépasser 100ml.
Le sac à main est considéré par certaines compagnies comme un bagage cabine à part entière. Ce qui signifie que, pour voyager sur ces compagnies aériennes, vous devrez choisir entre votre sac à main et votre bagage cabine ou bien placer votre sac à main dans votre bagage cabine.
Les liquides et aérosols doivent être contenus dans des flacons de 100 ml maximum chacun. Ils doivent être placés dans un sac en plastique, transparent et refermable, d'une contenance maximale de 1 litre (20 x 20 cm environ). Un seul sac est autorisé par passager.
Que vous soyez sujet ou non à des troubles veineux, nous conseillons vivement d'opter pour des chaussettes de contention, bas ou collants de classe 2 lors d'un voyage en avion, comme le fait l'ensemble du personnel navigant des compagnies aériennes.
Le coup de pouce des compléments alimentaires
« Fucus, pissenlit, , les plantes drainantes marchent bien, à condition de les prendre en continu », assure Valérie Espinasse. Il est bon de les associer à des actifs veinotoniques, comme le mélilot, le ginkgo ou la vigne rouge.