Ne tenez pas compte des opinions alarmistes et ayez recours à votre jugement pour départager les dangers réels de ceux qui n'en sont pas. En parler avec des proches ou des personnes de confiance peut aussi vous aider à prendre du recul et à voir la situation de façon plus objective.
Le comportement d'un parent surpro- tecteur se traduirait par sa tendance à vouloir protéger son enfant des moindres dangers ou contrariétés qui pourraient lui arriver, à résoudre ses conflits relationnels à sa place ainsi qu'à réagir démesurément lorsqu'il rencontrerait des difficultés.
L'angoisse ou le manque d'expérience peuvent amener certains parents à surprotéger leurs enfants. Cependant, au nom de la « sécurité », il semble que ces parents exposent davantage leurs enfants à plusieurs problèmes.
En cas d'urgence ou de refus des parents, le procureur ou le juge pour enfant peut décider de recourir à la protection judiciaire. Le mode de saisie du juge peut-être une requête des père, mère, tuteur, personne ou service auquel l'enfant a été confié.
Le juge des enfants peut prendre des mesures d'assistance éducative (mesure de suivi et d'aide à la famille, mesure de placement) pour protéger un mineur en danger. En principe, son intervention est demandée par le mineur ou par les adultes qui en sont responsables (parents, tuteur, famille d'accueil,...).
De quoi les mères poules ont-elle si peur ? Elles veulent tout simplement protéger leurs enfants d'un malheur. C'est pourquoi elles les conduisent à l'école, les emmènent chez leurs amis, les accompagnent aux activités extrascolaires car pour elles, la notion de liberté implique forcement des risques et des dangers.
L'expression provient du 19ème siècle et fait allusion à une poule qui couve longtemps ses petits, les empêche de s'éloigner et n'hésite pas à attaquer ceux qui s'en approchent. De nos jours, on utilise cette expression pour désigner une mère possessive, surprotectrice et particulièrement inquiète.
Faire preuve d'affirmation de soi : reconnaître ses droits, apprendre à dire non, se fixer des limites et les défendre de manière claire et directe sans crainte de conséquences possibles. Assumer le rôle qui vous correspond : en tant que fils ou fille, ne soyez en aucun cas un père ou une mère ou un protecteur.
Une mère fusionnelle a pour habitude de dire "on" au lieu de "ma fille". Elle a l'impression qu'elles sont toutes les deux interchangeables. Pour se justifier, elle assure : "c'est ma fille, je sais tout d'elle" ou encore "elle est tout pour moi". Elle est dans la fusion et dans la confusion.
Accepter de lâcher prise, c'est arrêter de se mettre la pression inutilement et revoir ses priorités. En tant que jeune maman, cela est vraiment indispensable pour garder la tête hors de l'eau et arriver à pleinement profiter de l'arrivée d'un bébé dans nos vies.
conflits constants : dans ces familles, le manque de respect ou même la violence physique ou verbale sont plutôt habituels. Ces comportements peuvent se manifester aussi bien entre les parents qu'entre le père ou la mère et un enfant et entre frères et sœurs.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Gorille. Un mâle dominant veille sur un clan familial qui peut compter près de 30 femelles et leurs jeunes. Il a la responsabilité de guider le clan, trouver la nourriture et protéger la grande famille.
La louve est forte et courageuse. Elle vie en meute et fait partie des meilleurs parents au monde. Elle apporte énormément d'amour et d'attention à ses petits afin qu'ils puissent évoluer dans les meilleures conditions possibles dans ce monde si dangereux.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
Les conséquences pour l'enfant
– des conséquences psychologiques : cette violence peut induire des troubles relationnels, une faible estime de soi, des comportements agressifs, de l'addiction, une dépression, des difficultés de concentration et d'apprentissage dans le milieu scolaire.
C'est à dire d'entamer une démarche pour protéger votre fils si besoin est car, sans contrainte juridique, comme père, il conserve ses droit parentaux. Donc, la première démarche que je vous conseille est de voir un juriste puis une aide psychologique si vous en éprouvez le besoin ou votre fils.
• La mesure judiciaire d'investigation éducative - MJIE
Sa mise en œuvre, par les éducateurs de la DPJJ qui peuvent être secondés par un assistant social et un psychologue, vise à recueillir et analyser des éléments sur la situation scolaire, familiale, sanitaire, sociale et éducative du jeune et de sa famille.