Sous la forme de racine, la réglisse a une action hormonale, et elle diminue notamment le taux d'androgènes. Une autre étude démontre que la réglisse peut également aider les femmes : 3.5 grammes de réglisse par jour diminuaient les niveaux de testostérone de 32% en un cycle menstruel (4).
Un changement de traitement peut être nécessaire. La perte de poids par l'adoption d'une alimentation équilibrée et la pratique d'une activité physique régulière diminue la production des androgènes par l'organisme.
Généralement, un faible taux de testostérone est dû à l'une des conditions ou expositions suivantes : Vieillissement normal. La testostérone diminue progressivement avec le vieillissement normal. Trauma aux testicules.
Réduisez votre consommation de matières grasses.
En outre, une alimentation trop riche en graisses mono-insaturées (avocat, noix, huile d'olive de canola et de Carthame) augmente également le taux de testostérone. Les acides gras polyinsaturés sont les seuls acides gras qui réduisent le taux de testostérone.
Chez la femme, il peut augmenter en cas d'hirsutisme, d'ovaires polykystiques, d'une tumeur ovarienne ou surrénalienne.
Avoir une prédisposition génétique à des taux élevés de testostérone ("testostérone endogène", NDLR) pourrait jouer un rôle dans le développement de problèmes cardiaques majeurs chez les hommes, selon une étude publiée par le BMJ. On parle ici de caillots sanguins, d'insuffisance cardiaque et de crise cardiaque.
La testostérone est une hormone qui fait partie d'un groupe d'hormones appelées les androgènes. Chez l'homme, elle est principalement fabriquée dans les testicules. Cette hormone est également produite chez la femme (par les ovaires), en quantités beaucoup moindres, et est responsable, chez elle aussi, du désir sexuel.
A quoi sert la testostérone chez la femme ? La testostérone agit à plusieurs niveaux : La libido : son principal rôle est de permettre le bon fonctionnement de l'appareil sexuel et également d'agir sur le désir sexuel. Un déficit de testostérone peut engendrer une baisse de libido.
Les valeurs usuelles de testostéronémie sont variables en fonction du sexe, de l'âge et du stade pubertaire. À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de testostérone, qui peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, sont : chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. chez la femme : 0,3–3,0 nmol/L.
Des traitements naturels peuvent être envisagés en complément : Le zinc : en inhibant la conversion de testostérone en œstrogène, le zinc permet d'optimiser les taux de testostérone. Des plantes phytothérapeutiques connues pour réguler les déficits en testostérone, sans effet secondaire.
L'injection intramusculaire à raison d'une ou deux fois par mois, est responsable de fluctuation des taux de testostérone dans l'intervalle des injections. Seule une injection toutes les 2 à 4 semaines est remboursée par la Sécurité sociale.
Elle est généralement due à une production excessive d'hormones mâles (les androgènes comme la testostérone ) ou à une sensibilité augmentée de la peau à des taux normaux d'androgènes. L'évaluation clinique de l'hirsutisme est subjective. Elle est généralement quantifiée par un score (dit de Ferriman et Gallwey).
La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles. La dihydrotestostérone stimule la croissance des poils de la barbe et la chute des cheveux. Des pathologies qui font pencher la balance hormonale du côté des androgènes peuvent provoquer un hirsutisme.
Chez la femme, la testostérone est produite en partie par les ovaires et en partie par les glandes surrénales. Elle pourrait contribuer au maintien de la libido.
Comment augmenter son taux de testostérone naturellement ? Certaines plantes comme le Tribulus terrestris, la maca, la saw palmetto, le fénugrec, l'ashwagandha et le ginseng sont réputées pour stimuler la production naturelle de testostérone dans l'organisme. Sans oublier le rôle fondamental des vitamines et minéraux !
L'ocytocine
Cette hormone est libérée en réponse aux stimulations de la zone génitale. Elle augmente durant la phase d'excitation et pendant l'orgasme, en fonction de l'intensité de ce dernier.
Chez la femme, 50 % de la testostérone circulante sont produits directement par les ovaires et les glandes surrénales alors que l'autre moitié provient de la conversion périphérique de précurseurs hormonaux tels que la DHEA (déhydroépiandrostérone).
La testostérone est dosée grâce à un prélèvement sanguin, effectué au pli du coude. Comment se préparer : Le prélèvement se fait à jeun, le matin, en dehors de toute prise d'androgènes ou d'anti-androgènes, en dehors de tout effort physique et à distance d'un acte chirurgical ou d'un repos prolongé.
Les hormones sexuelles féminines sont de deux types : les estrogènes (estradiol, estrone et estriol) et la progestérone. Elles sont sécrétées par les ovaires selon un cycle, dit "cycle menstruel", dont les règles sont la manifestation.
Une étude conclut qu'un traitement à base de testostérone réduit l'obésité chez l'homme. Les experts sont dubitatifs. Un traitement de substitution à la testostérone serait une remarquable aide minceur, assure une étude.
Une problématique liée aux hormones mâles, et plus particulièrement la testostérone, entraîne une chute de cheveux.
Cerveaux sous testo
Résultat : la testostérone diminue l'activité d'une région du cortex appelée « jonction temporopariétale ». Or, cette zone cérébrale nous permet de nous mettre à la place d'autrui, de se glisser « dans ses souliers ».
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...