À FAIRE : Dites aux gens qu'ils comptent. Avant toute chose, assurez-vous de renforcer votre relation avec la personne. Dire des choses comme : «Avant de dire quoi que ce soit, je veux m'assurer que tu sais que je me soucie de toi» ou «Je veux te respecter et apprécier ton point de vue» .
Pour résoudre ce blocage, il faut prendre le risque de communiquer ses sentiments. En exprimant ce que l'on ressent et en expliquant nos besoins, il est possible de progressivement rétablir un dialogue intime.
Par exemple, ne lui dites pas quelque chose comme : « vous êtes si silencieux, pourquoi ne parlez-vous pas ? » ou « arrête d'être si discret, parle un peu ! » Si vous voulez qu'un ami timide s'ouvre à vous, dites quelque chose comme : « tu as toujours des histoires très intéressantes, j'aimerais en entendre plus. »
Essayez de mettre au point des projets à deux qui vous permettront de vous épanouir : préparer vos vacances, etc. Pensez à la communication non verbale : câlins, gestes tendres, petites attentions... C'est une façon de démontrer son amour sans avoir besoin de parler.
Il est préférable de poser des questions ciblées à une personne taciturne pour qu'elle vous réponde. Laissez-lui aussi de la place pour s'exprimer en vous taisant. En effet, plus vous parlez et plus la personne taciturne risque de se taire. Lui laisser des plages de silence peut l'aider à prendre la parole.
Irréfléchi : Définition simple et facile du dictionnaire.
La solution : Accueillez le silence de l'autre comme une forme d'expression sans chercher à l'interpréter. Et puis laissez faire ! Ne vous braquez-pas de l'attitude de l'autre ! Enfin prenez ce silence imposé pour vous, c'est vrai, comme une occasion de prendre du recul dans une discussion.
Entendons-nous bien, garder le silence ne signifie pas rester muet face à une attaque. Garder le silence en revient à s'isoler intérieurement, prendre le temps de la réflexion, et permettre à l'autre soit d'en faire de même soit de s'inquiéter de ce sur quoi vous êtes en train de réfléchir.
Vous pouvez vous exprimer comme ceci : « je n'ai pas envie d'en parler maintenant », ou dire : « je ne suis pas dans un espace émotionnel permettant de parler de manière constructive. Parlons-en plus tard ».
enclenchez la discussion avec empathie : « Je vois que c'est dur pour toi » , « tu as l'air content. » , « j'ai l'impression que tu es triste… » Si l'autre se ferme, n'insistez pas. Rassurez-le : « Tu es touché par ce que je t'ai dit et tu ne sais pas comment répondre, c'est difficile pour toi de m'en parler…« .
Demandez-lui en douceur ce qu'il ressent et ce qui ne va pas pour l'aider à exprimer ses émotions sans tabou, ni peur, ni honte. De votre côté, faites preuve de patience, soyez ouvert d'esprit et mettez-vous à sa place pour mieux le comprendre. Évitez d'être trop insistante et de lui mettre la pression.
Dans une relation, quelle qu'elle soit, le silence est souvent une autre façon de communiquer lorsque le ressenti est difficile à exprimer, et ce qu'il s'agisse d'un moment de bien-être ou de mal-être. Il peut aussi être utilisé quand on a peur d'être incompris(e), et ainsi éviter tout malentendu.
Les personnes qui ne parlent pas beaucoup sont principalement appelées des introverties ou des timides. On croit souvent qu'elles sont impolies ou distantes, alors qu'il s'agit simplement d'un trait de personnalité.
TAISEUX, -EUSE, adj. Région. (Belgique). Qui garde le silence, reste muet; qui est d'un naturel taciturne.
Comment appelle-t-on une personne qui ne peut pas (ou plus) parler ? Une muette, un muet (par incapacité permanente). Une personne aphone (par incapacité temporaire, une extinction de voix par exemple).
Parfois la communication est presque totalement rompue ou la relation est tellement endommagée qu'il est impossible de construire un espace sain où vous pourrez communiquer. Dans ces cas-là, le mieux est de chercher un coach en amour qui saura débloquer la situation et vous guider.
Ne culpabilisez pas et reprenez votre activité en essayant de ne pas prêter attention à la personne qui boude dans son coin. Lorsqu'il/elle se décidera à venir vous parler, prenez en compte l'importance de ce premier pas et évitez de lui faire la morale. Faites preuve d'empathie, d'écoute active et de bienveillance.
Pour convaincre quelqu'un de changer d'avis, il est tout à fait inutile de lui expliquer pourquoi il a tort. La clé, c'est de prendre en compte l'opinion de l'autre, ainsi que les arguments qui le poussent à penser de cette manière.