La culture hors sol représente aussi l'hydroponie ou culture hydroponique. C'est une culture dont les racines des plantes reposent dans un milieu reconstitué, détaché du sol. Le substrat, minéral ou organique il peut être également d'origine industrielle.
En effet, la quantité de solution nutritive apportée à la culture est supérieure à ses besoins. L'excédent, qui n'est pas recyclé, est éliminé dans l'environnement immédiat de la serre, polluant ainsi les cours d'eau et les nappes phréatiques.
Les cultures hors-sol utilisent des systèmes d'irrigation au goutte-à-goutte ou par brumisation, qui permettent une application plus précise et contrôlée de l'eau, évitant ainsi la sur-irrigation et la perte d'eau par évaporation ou lixiviation.
L'hydroculture ou hydroponie permet de cultiver des plantes sans terre en remplaçant celle-ci simplement par de l'eau additionnée de nutriments. Les plantes d'intérieur et de nombreux fruits et légumes apprécient ce mode de culture.
La culture de la tomate hors-sol permet des productions pouvant aller jusqu'au 8 mètres de haut. Pour celle-ci, la terre est remplacée par des roches volcaniques ou des fibres naturelles. Les plants de tomates sont installés sur des rangées de substrats en laine de roche, laine de verre, de tourbe ou de fibres de coco.
Il est possible de faire pousser des plantes sans terre. Celle-ci est alors remplacée par un substrat neutre (billes d'argile, sable, feutre horticole…), voire même par de l'eau. C'est ce qu'on appelle l'hydroponie ou hydroculture.
Côté légumes-fruits, la tomate, le poivron, le piment, la courgette, le potiron, le concombre trouveront leurs places. Les légumes-feuilles comme les laitues, les épinards, l'oseille, les cardons et toutes les plantes aromatiques à feuilles telles que le persil, le cerfeuil, le basilic, la ciboulette.
La culture hors sol, appelée aussi hydroponie ou hydroculture, est sans aucun doute un espoir pour nourrir l'humanité d'ici à une cinquantaine d'années.
Le système hors-sol permet également d'économiser les ressources : optimisation du foncier, pas d'épuisement des sols et des nappes phréatiques, pas de gaspillage d'eau. De fait, un système de culture hors de terre permet aussi d'accélérer la croissance des végétaux grâce au contrôle de l'environnement.
Culture hors sol
Ces éléments neutres évitent toutes les contraintes apportées par la terre et la présence éventuelle de bactéries ou maladies. Les éléments minéraux indispensables et l'eau sont directement apportés par des tuyaux en goutte-à-goutte, jusqu'aux racines des plantes.
L'engrais hydroponique est l'allié de la culture hors-sol.
Préparer son mix
40% de terre ou de terreau, ce sera votre base. 20% de fibre de coco pour sa capacité de rétention d'eau et son aération optimale. 10% de perlite pour aérer le substrat. 10% de vermiculite pour apporter des nutriments.
Ce milieu de culture est irrigué de façon régulière par des solutions nutritives adéquates à la plante cultivée. L'irrigation se fait grâce à un système de pompe comme les aquariums. Petite nuance, les cultures hydroponiques, quant à elles, n'utilisent aucun substrat. Elles se font sur film d'eau.
L'agriculture itinérante est un système de rotation des cultures et de gestion des forêts, qui sont pratiquées à tour de rôle sur une même parcelle de terre. Dans un premier temps, une zone boisée en jachère est défrichée pour y installer des cultures.
L'hydroponie est une manière de cultiver les végétaux qui consiste à les installer dans de l'eau plutôt que dans de la terre. Les végétaux sont maintenus par un support contenant un substrat drainant, stérile et neutre. Cela peut être des billes d'argile, de la mousse synthétique ou encore de la pouzzolane.
La technique de plantation des pommes de terre
Les rangs doivent être espacés de 40 cm minimum, ainsi que les pieds. Vous devez creuser des sillons à 15 cm de profondeur et y déposer un tubercule avec les germes vers le haut tous les 35 à 40 cm. Ensuite, vous recouvrez avec la terre sans tasser.
Les principaux avantages de l'hydroponie sont : - Comme les racines reçoivent une alimentation optimale, elles n'ont pas besoin de se développer à la recherche d'eau. La plante a donc besoin de moins d'espace pour être cultivée. Le résultat : plus de plantes dans moins d'espace.
Les légumes feuilles supportent plutôt bien les expositions semi-ombragées : asperge, blette à couper, céleri à côtes, chou frisé, cresson alénois, épinard (surtout en été), laitues et roquette, poireau...
Les fraises, framboises, mûres, groseilles, groseilles à maquereaux, cassis et rhubarbes étaient à l'origine des plantes de sous-bois ou de lisière de forêt ! Installées en mi-ombre, elles s'adapteront très bien. Les légumes fruits sont très gourmands en lumière.
Par exemple, la surface vitrée des serres absorbe moins bien l'eau que les sols. Et c'est sans parler des soucis que cause l'arrivée massive d'employés qui surchargent les réseaux de traitement des eaux usées existants.
Bien souvent, le sol est trop riche en carbone, et on oublie l'apport d'azote. Le sol peut alors être carencé. Pour y remédier, vous pouvez également ajouter des engrais bio ou fabriquer vos engrais naturels vous-même. Le but étant d'abord de nourrir le sol, puis de nourrir les plantes.
Un espace protégé La serre assure une croissance idéale aux plants, les rend plus forts naturellement et les protège des multiples agressions extérieures : le froid, le gel, le vent, les insectes parasites, la pollution, etc.