La tempe est la zone située sur le côté du visage d'une personne, entre la racine des cheveux et les sourcils, au niveau des yeux. Si la tempe est ciblée avec précision, le coup de poing fera que le cerveau à se balancer violemment contre la paroi du crâne, causant le KO. Serrez votre poing et prolongez-le.
« Le plus efficace, c'est de viser la pointe du menton. Plus c'est sec, mieux c'est », confie notre expert. L'effet de surprise joue également un rôle déterminant : pour un maximum d'efficacité, il ne faut pas que l'adversaire voie le coup venir.
Frappez rapidement avec votre genou en même temps que vous tirez votre assaillant vers le bas. En même temps que vous poussez les épaules de l'agresseur vers le bas, frappez-le au visage (nez, mâchoire) d'un coup de genou. Faites vite.
La pointe du menton, la tempe et le foie
Mais si vous arrivez à les toucher, vous avez de grandes chances de mettre KO l'agresseur. Pour le coup au foie, vous pouvez y aller avec le poing fermé. Mais pour le menton et la tempe, privilégiez les frappes avec la paume de main.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête. Visez la zone des yeux, du nez et de la bouche X Source de recherche .
Mettez-y fin le plus rapidement possible. Donner un coup de poing violent sous la mâchoire d'une personne ou frapper violemment quelqu'un au ventre dans l'intestin vous permettra de mettre fin rapidement aux hostilités. Les gens pour la plupart n'aiment pas se bagarrer.
Pour un KO rapide, viser les tempes, le foie ou le menton. Les amateurs du travail de sape préfèrent s'acharner sur le nez.
Il existent trois zones du visage à identifier pour mettre votre adversaire KO à chaque fois. Le menton, la tempe et la mâchoire du combattant que vous affronterez sont la clé du succès.
N'agrippez pas votre adversaire.
C'est pourquoi vous ne devez pas vous mettre en danger inutilement en laissant votre adversaire vous agripper. Restez hors de portée de ses coups jusqu'à ce que l'occasion de contrattaquer se présente puis frappez avant de revenir dans votre zone de sécurité.
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.
La gifle, démonstration sur le vif
Ce dernier est en garde passive, main droite le long du corps pour pouvoir protéger la partie basse de son torse tandis que son avant-bras gauche protège sa gorge et son visage (il existe une variante intéressante avec le bras droit à l'horizontale au niveau du plexus).
Appliquez une pression au point juste au-dessus des oreilles. À l'arrière de la tête. Placez les deux pouces juste derrière les oreilles et tracez en arrière jusqu'à trouver le point de l'extrémité de votre crâne. Bougez de 1 mm vers l'intérieur et appliquez la pression.
Un « KO » en boxe c'est un knockout. Une perte de conscience le plus souvent due à un coup porté au niveau du menton ou de la tempe. Il a pour conséquence de déplacer le cerveau dans son liquide jusqu'à aller cogner contre la boîte crânienne. Cela va alors générer des lésions dans le lobe frontal.
Les pertes de poids trop brutales peuvent ainsi aggraver les commotions cérébrales. Le cerveau se déshydrate tout comme les tendons ou d'autres organes chargés d'eau. C'est pour cela que l'on observe plus de tendinites chez les boxeurs qui ont mal géré leurs pertes de poids.
Serrer le poignet de quelqu'un, lui cracher au visage ou lui donner un coup de poing: il pourrait s'agir de « voies de fait », c'est à dire d'infractions criminelles. On peut être victime de voie de fait même si l'on a aucune blessure apparente.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
Utiliser sa voix tout simplement. Votre voix n'est pas qu'un moyen de communiquer. Lors des phases d'engagement crier permet à la fois de beaucoup mieux vous faire comprendre de vos alliés, mais aussi de surprendre et d'intimider vos adversaires. L'effet psychologique est très très fort !
Le nerf sciatique. Ce nerf est situé entre l'aine et le genou, dans l'intérieur de la cuisse. Un coup fort porté au niveau de l'articulation provoquera une douleur intense, un choc, des étourdissements et même une immobilité temporaire du pied.
Si l'acteur tourne le dos au public, pour donner une gifle au théâtre, il utilise la technique du clap. La personne qui donne la gifle fait le mouvement. Celle qui est censée recevoir la gifle suit le mouvement. Le moment de l'impact est marqué par un clap des mains.
Mais une loi du 10 juillet 2019 relative à l'interdiction des violences éducatives ordinaires a interdit toutes violences physiques ou psychologiques à l'égard des enfants de la part de leur parent. Ainsi, la fessée ou la gifle sont interdites comme mesures éducatives.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.