Rougeur, œdème, douleur au niveau de la jambe ou du mollet : la triade de symptômes typiquement associée à la thrombose veineuse doit alerter les patients et les mener à consulter. Ces signes ne sont malheureusement pas systématiquement présents, ni très spécifiques. La phlébite peut même être asymptomatique.
Symptômes courants en cas de caillot de sang dans la jambe :
sensation de chaleur dans la jambe ; gonflement du mollet ou de la jambe entière ; rougeurs ; douleurs.
Une thrombose est un caillot de sang qui se forme dans un vaisseau sanguin, une veine ou une artère. La thrombose veineuse est la plus fréquente. Appelée aussi phlébite, elle peut survenir dans une veine superficielle à la surface de la peau ou bien dans une veine profonde, à l'intérieur du corps.
"Cette coloration vient du fait que le caillot est situé sur une veine superficielle, très près de la peau, explique le médecin vasculaire. C'est un symptômes courant en cas de thromboses veineuses superficielles." Si cette rougeur s'accompagne d'une douleur et d'un œdème sur la zone concernée, il faut consulter !
Les symptômes sont une douleur sourde au niveau du mollet ou de la cuisse et un œdème plus étendu que celui formé dans le cas de la thrombose veineuse superficielle. Une rougeur de la peau peut accompagner les symptômes ainsi qu'une sensation de chaleur. On peut observer une petite température à 38°C.
Dans la majorité des cas, cette thrombose veineuse se situe au niveau des jambes. Il existe deux types de thrombose : -la thrombose veineuse superficielle qui touche le réseau veineux superficiel, appelée aujourd'hui paraphlébite et non plus phlébite.
- le mélilot : il contient des flavonoïdes pour soulager l'insuffisance veineuse, et des coumarines pour fluidifier le sang. Il ne doit pas être utilisé en cas de maladie du foie ; - le cassis : ses feuilles et ses baies contiennent des flavonoïdes et des anthocyanosides.
Symptômes de la phlébite profonde
Une sensation de lourdeur de la jambe est souvent présente. Un œdème d'un seul mollet. Il s'accompagne d'un durcissement et d'un gonflement du mollet, parfois jusqu'à la cuisse, et d'une coloration bleuâtre/violette de la zone concernée.
Le traitement des thromboses veineuses repose sur la fluidification du sang par des traitements anticoagulants. Le traitement doit être débuté le plus tôt possible, dès le diagnostic posé. Il est même parfois indiqué d'initier le traitement en cas de très forte suspicion avant même la certitude diagnostic.
Les complications de la thrombose veineuse profonde peuvent être graves, ce qui explique l'attention portée à la prévention de ce problème lorsqu'il existe des facteurs de risque. La principale complication d'une thrombose veineuse profonde est l'embolie, potentiellement mortelle si elle n'est pas traitée.
Peut-on marcher avec une phlébite ? La marche permet de réduire les symptômes associés à la pathologie. De plus, c'est une activité sans danger pour les personnes ayant une phlébite profonde puisqu'elle permet une grande adaptation de la pratique (Kahn et al., 2008).
Les poissons gras (saumon, sardine, maquereau, hareng...)
Les omega 3 ont un effet hypocholestérolémiant avéré (qui font baisser le taux de lipides dans le sang) ainsi que des vertus protectrices des vaisseaux sanguins, qui permettent d'éviter la formation de caillots sanguins.
Les symptômes de l'embolie pulmonaire
L'embolie pulmonaire entraîne l'apparition soudaine : d'une douleur thoracique d'un côté, qui augmente à l'inspiration ; de difficultés à respirer (dyspnée) : respiration rapide et courte ; parfois une toux et des crachats avec du sang.
Si la douleur au mollet est insupportable, si elle est handicapante ou si elle s'accompagne d'autres symptômes comme des rougeurs, de la fièvre ou une inflammation, il faut consulter. En fonction de la gravité de la blessure, vous vous orienterez soit vers votre médecin traitant, soit vers un service d'urgences.
Les anticoagulants oraux directs (dabigatran, apixaban, rivaroxaban) sont également indiqués dans le traitement des thromboses veineuses profondes et dans la prévention de leurs récidives. Comme les AVK, ces anticoagulants sont administrés par la bouche et ne nécessitent pas de surveillance des plaquettes.
Lorsque le thrombus se développe dans une veine, on parle de thrombose veineuse. Une thrombose veineuse peut se détacher et migrer dans les poumons, transportée par le système circulatoire. Le caillot obstrue alors un vaisseau et provoque une embolie pulmonaire.
Examen au diagnostic
Si la probabilité de thrombose est élevée, un ultrason (une échographie) suffit pour confirmer le diagnostic. Si elle est faible, une prise de sang est requise pour mesurer les D-dimères qui, si son taux est bas, permet d'exclure la présence d'une thrombose.
Le corps tente continuellement de dissoudre le caillot. De plus, des mécanismes de détournement du flux sanguin peuvent se mettre en place pour contourner l'obstruction. Le sang passe alors par des vaisseaux voisins plus petits (vaisseaux collatéraux) qui débouchent dans le vaisseau altéré en dessous de l'obstruction.
«Une douleur et une sensation de lourdeur dans le mollet au repos, ainsi qu'un gonflement de la jambe doivent attirer l'attention sur l'hypothèse de la phlébite», explique le Dr Jean-Pierre Laroche, médecin vasculaire au CHU de Montpellier, conseiller médical pour la campagne.
En cas de thrombose veineuse profonde : plus à risque que la thrombose veineuse superficielle à cause de la possibilité plus accrue de migration du caillot sanguin, ce type de thrombose se traite par la prise d'anticoagulants, que je vais devoir prendre soit par injection, soit par voie orale ou les deux.
Traitement de la thrombose hémorroïdaire
Pour ce faire, le professionnel de santé prescrit généralement : Des laxatifs et un régime riche en fibres, c'est la pierre angulaire de la pathologie hémorroidaire. Des antalgiques de niveau 2, combinés à des anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS) pendant 2 à 5 jours.