Le bâillon est utilisé pour retenir la bouche. Il s'agit d'un dispositif spécialisé que les dentistes et les chirurgiens ORL et maxillo-faciaux peuvent utiliser pour maintenir la bouche ouverte, notamment ...
Le dentiste met des gants, un masque et parfois de grosses lunettes. Vous devez ouvrir grand la bouche pendant longtemps. Pour vous aider à garder la bouche ouverte, le dentiste peut mettre une cale en mousse. Vous ne devez pas mordre le dentiste ou bouger la tête.
Si toutes ces méthodes vous semblent insuffisantes, il existe une technique très efficace, dite "de sédation consciente". Votre dentiste vous fera respirer tranquillement dans un masque, qui diffuse un mélange gazeux à base d'oxygène et d'azote. Ce gaz apporte un effet de profonde relaxation.
Il pourra avoir recours au protoxyde d'azote (gaz hilarant) ou encore à un anxiolytique léger. Ces derniers, combinés à une anesthésie locale, contribueront à faire de votre visite Chez Le Dentiste une expérience moins stressante.
Le comprimé relaxant de benzodiazepine. Le comprimé relaxant représente le premier niveau de sédation. Il provoque un apaisement léger, la veille et le jour de l'intervention. Il peut être réalisé par tous les chirurgiens dentistes.
Des médicaments aux propriétés anxiolytiques ou relaxantes, prescrits par le chirurgien-dentiste, peuvent être pris la veille et/ou avant la consultation. La sédation consciente par MEOPA5 peut les compléter ou être utilisée seule.
La relaxation rÉduit le rÉflexe nausÉeux
La relaxation a un effet marqué sur ce réflexe. Le praticien peut proposer à son patient d'écouter de la musique ou un livre audio, de faire des exercices respiratoires, de méditer ou encore de se distraire en regardant une vidéo.
Parmi les outils à disposition des dentistes, la prémédication par un sédatif (calmant) permet de décontracter les enfants trop anxieux, tout comme l'utilisation du mélange d'oxygène et de protoxyde d'azote (Meopa, ou “gaz hilarant”), mais ce produit est réservé à l'usage hospitalier.
Causes. Le trismus peut être causé par des cancers de la tête et du cou, ou être un effet secondaire du traitement de ce type de cancer. Certaines affections comme le tétanos, l'arthrite ainsi que les infections de la bouche et de la gorge peuvent aussi être à l'origine du trismus.
Est-ce que ça fait mal ? La première piqûre peut être un peu désagréable ou douloureuse mais le produit anesthésiant agit très vite et ensuite tu n'as pas mal du tout pendant que le dentiste soigne ta dent.
Ce type d'anesthésie rend inconscient et insensible à la douleur. L'intervention peut durer jusqu'à 2 heures chez les enfants, et 4 heures chez les adultes. S'ensuit une période de repos de 45 mn environ. Le patient doit systématiquement être accompagné, et le rester toute la journée.
Souvent, pour traiter les maux de dents, les patients ont tendance à recourir à des médicaments opioïdes. Or, un anti-inflammatoire puissant comme l'ibuprofène est efficace pour calmer la rage des dents. Des tests ont révélé que l'ibuprofène agit mieux sur les douleurs dentaires lorsqu'on l'associe à du paracétamol.
Antalgiques. Le paracétamol (comme le Doliprane ou l'Efferalgan par exemple) est à prendre en première intention en cas de douleurs dentaires. Respecter la dose maximale de 1 g par prise espacée de minimum 4 heures et de 4 g au plus par jour. Ibuprofène ?
Les benzodiazépines anxiolytiques
Leur action est rapide. Elles ne peuvent pas constituer un traitement de fond. Elles ne doivent être utilisées que pour de courtes durées (douze semaines au maximum) et à la dose efficace la plus faible possible, en raison du risque de dépendance.
Si elle peut sembler bénigne, la phobie du dentiste est un réel problème, car elle empêche de nombreux patients de réaliser les soins de bases, favorisant la dégradation de leur denture.
La solution anesthésiante est injectée dans la gencive, le plus près possible des racines de la dent qu'on doit traiter ; Il faut considérer qu'une anesthésie locale dure généralement de 3 à 4 heures, ce qui donne amplement de temps à votre dentiste de réaliser le traitement.
Diverses interventions peuvent être utilisées pour contrôler le réflexe nauséeux : médicaments anti-nausée, sédatifs, anesthésiques locaux et généraux, remèdes à base de plantes, thérapies comportementales, acupression, acupuncture, laser et prothèses.
Il s'agit d'une vraie maladie qui porte le nom de "stomatophobie". Cette phobie, qui est plus ou moins marquée selon les individus, conduit souvent à négliger les soins bucco-dentaires et représente, indirectement, une proportion importante des troubles et pathologies rencontrés habituellement en bouche.
Les soins dentaires sont donc très souvent associés à un moment pénible. Même si les techniques ont évolué, l'angoisse d'avoir mal est toujours présente. Elle constitue le premier motif de peur du dentiste. Certains patients sont effrayés par le bruit de la fraise qui fait grincer des dents.
En quoi ça consiste ? Il s'agit généralement d'une crème ou d'un spray anesthésiant à base de lidocaïne (une molécule anesthésiante) utilisée seule ou associée à de la prilocaïne. La benzocaïne est également parfois utilisée. Le dentiste peut aussi utiliser un spray de froid.
L'anesthésie ostéocentrale
Dans le cadre d'une anesthésie ostéocentrale, l'injection est faite dans l'os spongieux. Cela permet d'endormir plusieurs dents à la fois, sans endormir les tissus mous. Cette méthode ne pose pas de problèmes de paralysie de la lèvre ou de la bouche après l'intervention chirurgicale.
Pour ce remède maison, imbibez une boule de coton de quelques gouttes d'huile de clou de girofle. Passez délicatement le coton sur les dents et la gencive qui vous font mal. L'huile de clou de girofle est efficace car elle contient de l'eugénol, un anesthésiant naturel.
Votre bouche restera engourdie quelques heures après l'intervention. Pendant que votre bouche est endormie, vous devez faire attention à ne pas vous mordre les joues, les lèvres ou la langue. Ne fumez pas, ne buvez pas d'alcool et ne mangez pas. L'anesthésie doit disparaître après quelques heures.
On l'obtient par injection (piqûre) d'anesthésiques locaux dans la gencive. Elle est pratiquée par le chirurgien-dentiste au cabinet dentaire et insensibilise un groupe de 2 à 3 dents, ainsi que la zone directement environnante.