L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
Le schéma narratif est le modèle que suivent toutes les histoires, en 5 étapes : - La situation initiale : C'est le début de l'histoire, on présente les personnages, le lieu, l'époque.
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
L'élément déclencheur
C'est le déclenchement de la quête du personnage principal qui cherche à retrouver une situation d'équilibre. L'élément déclencheur engendre la mission du héros.
Locution nominale
(Littérature) Situation décrite au début d'un récit et représentant généralement le premier élément d'un schéma narratif.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable. Dans les contes, la situation des héros s'améliore, mais dans d'autres types d'histoires, il est possible qu'elle se dégrade.
Le schéma narratif d'un récit est le déroulement chronologique de l'action. On parle de schéma narratif pour les histoires tels que les contes. Au primaire, il n'est pas toujours évident pour un élève de comprendre la chronologie d'une histoire.
L'intrigue, de l'italien intrigo (« complication, embrouillement, imbroglio ») est l'ensemble des évènements et des faits qui constituent un récit.
→ L'incipit du récit noue un contrat de lecture avec le lecteur et apporte des éléments essentiels à la compréhension de l'intrigue, mais aussi à l'esthétique de l'auteur. → L'explicit du récit revient sur ces éléments importants.
Dans le seul domaine du roman, on désigne par incipit (masculin, du latin incipire) la première phrase du texte, aussi nommée « phrase-seuil ». Plus que la simple amorce d'un texte, cette première phrase d'un roman ouvre la porte de l'imaginaire de l'auteur. Elle n'est pas forcément belle, ni originale.
Les péripéties sont essentiellement constituées d'actions. Elles vont donc utiliser un temps de la conjugaison adapté : le passé simple. Les péripéties sont un ensemble de situations instables : chaque rebondissement, chaque nœud, transforme cette stabilité – dans un sens comme dans l'autre.
On les appelle communément « passages narratifs », ce terme se rapportant surtout au contenu : ils relatent ou commentent des éléments de l'action de la pièce en question.
Temps du récit
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análêpsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
« enchaînement des événements qui constitue la trame de l'action d'une œuvre littéraire ».
Dans un récit, l'élément déclencheur ou élément perturbateur, est la suite de la situation initiale et engendre les péripéties. L'élément déclencheur s'écrit souvent en un paragraphe dans un récit. Il est souvent le deuxième élément d'un schéma narratif.
“Un bon dénouement doit briller par sa clarté, jusqu'au dernier mot. La narration doit se terminer d'elle-même, sans artifices. Vous pouvez réserver une certaine surprise à votre personnage ou explorer un détail laissé de côté afin de surprendre et satisfaire votre lecteur.