Les personnes seules sont considérées comme pauvres si leur revenu est inférieur à 965 euros mensuels (Insee, données 2021). Jusqu'à 1 500 euros, elles appartiennent aux classes populaires et, entre 1 500 et 2 800 euros, aux classes moyennes (données arrondies).
Jusqu'à 1 300, elles appartiennent aux classes populaires et entre 1 300 et 2 300 euros aux classes moyennes. Elles sont qualifiées d'aisées au-delà de 2 300 euros et de riches au-dessus de 3 155 euros par mois. Pour les couples sans enfants, le seuil de pauvreté se situe à 1 550 euros.
Ainsi, selon la classification établie dans le rapport, “les personnes seules sont considérées comme pauvres si leur revenu disponible est inférieur à 800 euros mensuels”. Ce chiffre correspond à 50% du revenu médian disponible qui s'élève à 1.584 euros pour une personne seule.
Selon cette approche, la société française se composerait d'une classe moyenne majoritaire (plus de 40%) où les professions intermédiaires occupent la plus grande place, puis d'une classe populaire importante (40%) composée d'ouvriers et d'employés, et enfin, d'une classe supérieure comprenant les cadres (Figure 4).
En résumé, pour l'Insee, on est classé dans la classe moyenne quand son niveau de vie moyen est supérieur à 1 832 euros et inférieur à 2 585 euros par mois.
Après avoir défini les classes de production et les classes de possession, Max Weber définit quatre « classes sociales » : « la classe ouvrière », « la petite bourgeoisie », « les intellectuels et les spécialistes sans biens » (« techniciens »), « les classes des possédants ».
Jusqu'à 1 500 euros, elles appartiennent aux classes populaires et, entre 1 500 et 2 800 euros, aux classes moyennes (données arrondies). Elles sont qualifiées d'aisées au-delà de 2 800 euros et de riches au-dessus de 3 900 euros par mois.
Les ménages de classe moyenne supérieure, c'est-à-dire les « ménages aisés », en reprenant l'approche du Crédoc et de l'Observatoire des inégalités, « ont des revenus supérieurs au seuil de 80 %, c'est-à-dire le revenu en dessous duquel 80 % de la population française se situe ».
Soit la moitié de la population française âgée de 15 ans et plus, répartie en deux catégories distinctes : une classe moyenne inférieure aux revenus nets compris entre 1.440 euros et 2.260 euros par mois avant impôt et une classe moyenne supérieure qui perçoit entre 2.260 euros et 3.100 euros de revenus nets.
Concrètement, en valeur absolue, une personne seule peut se revendiquer de la classe moyenne lorsque ses revenus - après impôts et prélèvements sociaux - se situent entre 1500 et 2700 euros net mensuel. La fourchette passe à 2700 – 4850 euros net mensuel pour un couple avec un enfant de moins de 14 ans.
les classes « populaires » comprennent les 30 % aux plus bas revenus ; les classes « moyennes » incluent ceux dont les revenus se situent entre les 30 % les plus bas et les 20 % les plus élevés ; les classes « aisées », les 20 % aux revenus supérieurs.
On se doute bien que la classe sociale est davantage qu'un groupe social et qu'un groupe social est davantage qu'une catégorie sociale. Ainsi la catégorie ne forme pas une collectivité, ce qui est le cas du groupe ou de la classe sociale d'ailleurs.
la petite bourgeoisie ; la paysannerie ; le prolétariat ; le sous-prolétariat.
Les personnes appartenant à la classe aisée se situent parmi les 20 % les plus riches. Elles affichent un niveau de vie supérieur à 2177 euros mensuels pour un célibataire, 4280 euros pour un couple sans enfants et 5567 euros pour un couple avec deux enfants.
Niveau de vie médian de la classe moyenne selon l'Insee
Cela équivaut à un revenu disponible de 1 930 euros mensuels pour une personne seule, et 4 053 euros mensuels pour un couple avec deux enfants de moins de 14 ans.
Selon cet économiste, si un couple avec deux enfants veut mener une vie décente en France, son revenu doit s'élever à 3 744 euros par mois. Pour un couple sans enfant, il est possible de descendre à 2 273 euros par mois. Quant à une famille monoparentale, il faut 3 003 euros net pour vivre décemment.
Il faudrait, pour une personne célibataire, gagner 1.630 euros net, par mois, pour vivre dignement. Une estimation qui prend en compte les chiffres liés à l'inflation. Pour preuve, ce montant est en hausse de 13% par rapport à 2014.
les classes « moyennes » incluent ceux dont les revenus se situent entre les 30 % les plus bas et les 20 % les plus élevés ; les classes « aisées », les 20 % aux revenus supérieurs.
"On appartient aux classes moyennes quand on se situe au-dessus des 30% de Français les plus pauvres, mais en dessous des 20% les plus riches. Après impôts, c'est quand on gagne entre 1.500 et 2.700 euros euros de salaire pour une personne seule.
Mais l'échelle des niveaux de vie grimpe bien plus haut, et concerne de moins en moins de personnes. À partir de 4 113 euros par mois, on appartient aux 5 % les plus riches. Et à 7 180 euros, on entre dans le 1 % du sommet. 630 000 personnes se situent au-dessus de ce seuil, parfois très très au-delà.
Ainsi, selon cette définition, un ménage d'un adulte avec un enfant est considéré comme faisant partie de la classe moyenne patrimoniale tant que son patrimoine se situe, en mai 2023, entre 49 103 et 1 964 125 euros ; pour les ménages constitués d'un couple avec deux enfants, le patrimoine net minimum et maximum pour ...
Le 1% de Français les mieux rémunérés gagnent, quant à eux, plus de 9 973 euros, soit 7,5 fois le Smic.
Pour définir votre patrimoine net, vous devez additionner tout ce que vous possédez (biens immobiliers, comptes bancaires, assurances-vie, actifs financiers…), puis en déduire le montant de vos dettes. Attention, ces informations sont exprimées par adulte.
Aussi, le seuil retenu pour définir les « très hauts revenus d'activité » a été le 99e centile du salaire net des salariés du secteur privé, c'est-à-dire 91 150 euros. 159 000 non-salariés avaient en 2007 un revenu d'activité supérieur à ce seuil.
Les classes populaires (ou la classe populaire) sont une classe sociale dont les individus n'appartiennent ni à la classe moyenne ni à la classe dirigeante du fait d'un niveau de richesse individuelle inférieur à celui de ces dernières.