essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Le cancer du poumon peut aussi se manifester par des symptômes généraux : fatigue, amaigrissement, perte d'appétit, fièvre prolongée, maux de tête, phlébites, troubles nerveux avec confusion, gonflement progressif de l'extrémité des doigts en « baguettes de tambour ».
D'autres manifestations sont liées à une extension locorégionale de la tumeur : douleurs au niveau de la paroi thoracique ou de l'épaule, maux de tête, œdème (gonflement) du visage, du cou et des creux au-dessus des clavicules, turgescence des veines jugulaires, gêne ou blocage à la déglutition, altération de la parole ...
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
"La radio des poumons n'est pas un bon examen de dépistage du cancer du poumon. En revanche, le scanner thoracique avec une technique particulière est un meilleur examen de dépistage, mais il y a des difficultés de réalisation.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
Le tabagisme est le principal facteur de risque du cancer du poumon : un fumeur a 10 à 15 fois plus de risque de développer un cancer du poumon par rapport à un non-fumeur. Le tabagisme passif augmente, lui, de 26 % le risque de développer un cancer du poumon chez un non-fumeur.
Plus le diagnostic de cancer du poumon est tardif (à cause de symptômes souvent peu spécifiques), moins le pronostic de la maladie est bon. Néanmoins dans un certain nombre de cas, on peut guérir d'un cancer du poumon, bien que le traitement de ce type de cancer soit encore très imparfait.
« Actuellement avec la chimiothérapie seule, les chances de survie ne sont que de 50 % un an après le diagnostic ».
Nous utilisons surtout l'endoscopie bronchique souple. De durée variable, entre 10 et 30 minutes, cet examen consiste à introduire, par les voies respiratoires naturelles (le nez ou la bouche), un tube flexible appelé bronchoscope qui permet d'examiner la trachée et les bronches.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Analyses biochimiques sanguines
Elle permet d'évaluer la qualité de fonctionnement de certains organes et aussi de détecter des anomalies. On y a recours pour savoir si le cancer du poumon s'est propagé à d'autres parties du corps.
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
Ainsi, parmi les différentes causes les plus fréquentes de l'essoufflement, on peut citer : le tabagisme. l'obésité diverses pathologies respiratoires telles que l'asthme, la fibrose pulmonaire idiopathique, la tuberculose, la fibrose kystique, les pneumopathies, la pneumonie, etc.
La respiration sifflante provient d'une gêne au niveau des voies respiratoires. Un bruit aigu peut alors être entendu lors de l'expiration et, de manière plus occasionnelle, lors de l'inspiration. Ce sifflement provient en général d'un rétrécissement des voies respiratoires.