Le traitement médicamenteux comporte des anti-inflammatoires (voire des corticoïdes), des décontracturants musculaires et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander 6 à 8 semaines pour être efficace. En cas d'inefficacité de ce traitement, des infiltrations lombaires de corticoïdes peuvent être proposées.
L'afflux sanguin est essentiel pour favoriser la cicatrisation du disque vertébral. D'autre part, l'action Champ de Fleurs permet de détendre les muscles et les nerfs. Cette détente permet aux muscles de mieux supporter le poids du corps et de soulager la charge supportée par le disque intervertébral hernié.
La hernie discale peut disparaître soit naturellement, soit après une opération chirurgicale.
Le traitement classique repose sur des médicaments voire des infiltrations pour soulager la douleur - et du repos. Certains nouveaux traitements ont vu le jour comme les injections de Discogel® ou d'ozone. L'intervention chirurgicale est réservée aux cas les plus graves.
Dans 90 % des cas, une hernie discale guérit spontanément en six semaines environ (rarement plus rapidement). Le traitement consiste alors à soulager la douleur en attendant que le disque reprenne sa position naturelle : la plupart des hernies discales sont intermittentes.
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
Les hernies discales lombaires guérissent en 6 à 8 semaines dans plus de 80% des cas avec le traitement médical. Elles se résorbent et disparaissent grâce à des enzymes qui la « mangent ». La taille de la hernie n'influe pas sur sa disparition. Elles peuvent aussi persister mais ne plus être douloureuses.
La hernie discale est une affection qui touche la colonne vertébrale. Particulièrement douloureuse, elle se soigne par du repos, des antidouleurs et de la kinésithérapie qui vous permet de retrouver votre mobilité.
Plantez vos orteils dans le sol et levez votre menton vers l'arrière en direction de votre colonne vertébrale. Étirez vos hanches vers l'avant et penchez-vous lentement en arrière. Respirez profondément et essayez de vous pencher un peu plus à chaque expiration. Après 20 ou 30 secondes, faites le mouvement inverse.
Dans la grande majorité des cas, la hernie discale se traite sans chirurgie. Mais si la douleur résiste aux traitements et rend la vie quotidienne difficile, l'opération est envisagée. Aujourd'hui, il est même possible de se faire opérer en service ambulatoire.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
« Il existe trois indications absolues à l'opération : un déficit moteur sévère, subit ou qui s'aggrave rapidement ; des douleurs intolérables et irradiantes en dépit d'un traitement antalgique et le syndrome de la queue-de-cheval.
Pilates pour des muscles profonds solides
La lenteur d'exécution et la justesse du mouvement demandées, font de cette discipline un très bon moyen de bouger lorsqu'on souffre de hernie discale. Vous gagnez de la force musculaire tout en douceur.
Faites des mouvements appuyés de va-et-vient de bas en haut pour décontracter les muscles. Appuyez, sans les bouger, le bout des doigts de chaque côté et au plus proche de votre colonne vertébrale. Maintenez ces pressions statiques pendant 3 secondes, puis relâchez 3 secondes. Poursuivez jusqu'à sentir la détente.
Les mouvements brusques ou répétitifs ; Les positions assises ou debout prolongées ; Les entraînements sportifs à fort impact ; Mais aussi : le soulevé de terre et rowing debout : les squats, fentes et presse à cuisse, les exercices d'abdominaux classiques, les exercices avec des poids, la course sur un tapis roulant…
10) Marchez avec des chaussures amortissantes : le disque intervertébral joue un rôle d'amortisseur : plus vous l'épargnerez en amortissant les chocs à partir des pieds, moins vous souffrirez.
Dormir en position fœtale
La position du fœtus peut sérieusement aider à soulager le mal de dos pour en avoir un qui dort comme un bébé. Les personnes souffrant d'une hernie discale découvrent souvent un soulagement de la douleur dans cette position de sommeil, car elle permet d'ouvrir des espaces entre les vertèbres.
Vous pouvez par exemple vous accorder quelques minutes d'étirements en douceur au niveau du dos et des jambes, ou enchaîner quelques postures de yoga préconisées. On peut aussi se demander s'il faut marcher avec une sciatique, et la réponse est oui, sans pour autant rester debout toute une journée.
Dans 90 % de cas, les hernies discales surviennent au niveau des vertèbres lombaires et les symptômes concernent le bas du dos ou une jambe. C'est le lumbago et la douleur sciatique. Dans 8 % des cas, la hernie discale survient au niveau des vertèbres cervicales et provoque des douleurs dans une épaule et un bras.
une sensation d'anesthésie au niveau du périnée et de l'anus ; parfois, des difficultés à uriner, voire une rétention des urines, ou une paralysie du sphincter de l'anus et de l'incontinence ; chez les hommes, des troubles de l'érection ; parfois, des perturbations au niveau des réflexes de la jambe.
Dans le cas d'une aggravation intense de la hernie discale, je peux observer une insensibilité d'un membre ou de la zone du périnée en plus d'avoir des difficultés à uriner. Dans certains cas, je peux subir une paralysie partielle ou totale d'une zone du corps menant à la perte d'une fonction et/ou de réflexes.
L'incidence des cas chirurgicaux de hernie discale lombaire est la plus élevée pour les tranches d'âge entre 30 et 59 ans pour les deux sexes. L'incidence augmente jusqu'à un plateau à 35-44 ans chez les hommes et jusque 44 ans chez les femmes, puis diminue progressivement pour les deux sexes.
La hernie discale touche le plus souvent les adultes entre 25 et 50 ans en se manifestant sous la forme d'une douleur sciatique ou crurale. La douleur de sciatique descend à l'arrière et sur le côté de la cuisse, dans le mollet jusqu'au pied. Il s'agit alors d'une hernie discale lombaire L4-L5 ou L5-S1.