II – Les différents soutiens littéraires. On les appelle soutiens littéraires, accompagnateurs littéraires, assistants de rédaction, conseillers en écriture, prête-plume, écrivains publics, biographes. C'est à eux qu'il faut s'adresse pour écrire un livre.
On dit biographe professionnel, mais on peut dire aussi écrivain-conseil ou écrivain public. En bref, c'est la personne à qui on demande d'écrire un texte, plus ou moins long, sur sa vie, à sa place et pour telle ou telle raison. Laisser un souvenir à ses enfants et petits-enfants.
Trouver un prête-plume n'est pas si difficile. Vous pouvez vous y prendre de plusieurs manières : Contactez un écrivain, un journaliste ou un rédacteur dont vous aimez le style. Publiez une annonce (anonyme) sur Facebook ou Twitter, par exemple.
Les tarifs des éditeurs à compte d'auteur varient en général entre 1000 et 3000 €. L'édition à compte d'auteur au format numérique uniquement (e-book et non format Broché) est accessible à partir de 300 € habituellement.
Écrire un livre est un travail de longue haleine et le faire publier par un éditeur est une grande satisfaction pour chaque auteur. Pour y arriver, il est possible de faire appel aux services d'un agent littéraire. Ce professionnel est un facilitateur entre l'auteur et l'éditeur.
On les appelle soutiens littéraires, accompagnateurs littéraires, assistants de rédaction, conseillers en écriture, prête-plume, écrivains publics, biographes. C'est à eux qu'il faut s'adresse pour écrire un livre. Voyons cela en détails. Les soutiens littéraires peuvent être des logiciels.
Vous pouvez aller à la rencontre des libraires pour leur proposer votre livre en « dépôt-vente ». Pour info, le prix cédé à une librairie tourne autour de 30 % et monte à 40 % pour les ventes via la Fnac. Les plateformes en ligne d'auto-édition peuvent également vous aider dans la diffusion.
Au Québec, la grande majorité des auteurs reçoivent une rémunération de 8 à 12 % du prix de détail suggéré ; certains auteurs ont droit à un meilleur pourcentage après avoir enregistré des succès de librairie.
Recherchez les maisons d'édition qui pourraient recevoir votre manuscrit. Posez-vous la question : mon roman ressemble-t-il à ce qui se publie là-bas? Si oui, tant mieux. Sinon, demandez-vous pourquoi vous vouliez l'envoyer à cet endroit.
L'écriture est un art que l'on peut parfaitement pratiquer en amateur, à ses heures perdues. Il est donc tout à fait possible à un grand nombre de personnes de travailler à l'écriture d'un livre, de manière dilettante. Ou dans le but d'être publié.
Faire appel à un prête-plume pour écrire votre livre
Si vous essayez d'écrire votre premier livre mais que vous n'avez ni le temps ni les compétences nécessaires, envisagez d'engager un auteur fantôme. Un bon prête-plume peut vous aider à donner vie à vos idées et à leur donner une structure et un flux.
La première option pour écrire un livre sur sa vie en ménageant la susceptibilité de ses proches est de les impliquer dans le travail d'écriture (quand cela est possible). S'ils sentent que les choses se font avec eux, plutôt que contre eux, cela pourra éviter de les heurter, voire même aider à remporter leur adhésion.
Pour trouver la liste des co-auteurs d'un auteur, vous pouvez utiliser WoS et Scopus selon les procédures ci-dessous, qu'il faudra refaire auteur par auteur. Dans les deux bases de données, l'utilisation d'un identifiant auteur Orcid, Publons (researcherId) quand il existe permet de retrouver un auteur sans ambiguïté.
Pour envoyer votre manuscrit, nous vous recommandons de contacter plusieurs types de maisons d'édition : les maisons d'édition à compte d'éditeur (difficiles d'accès et élitistes), et les maisons d'édition participatives (plus ouvertes aux auteurs peu connus). Cela permettra de multiplier vos chances.
Pour un auteur peu ou pas encore connu, trouver un éditeur est une tâche longue et difficile. Les maisons d'édition, petites ou grosses, reçoivent un nombre exponentiel de manuscrits : 5 000 par an environ chez les gros éditeurs (entre 10 et 20 par jour chez les plus petits) qui n'en publient pas autant !
La solution la plus évidente et rassurante consiste à vous faire publier par une maison d'édition. En effet, vous n'aurez pas d'argent à débourser : la maison s'occuper d'imprimer votre manuscrit, de le diffuser en librairies et en grandes surfaces et de faire sa promotion.
Le salaire moyen d'un écrivain est estimé à 11 388 € par an, soit 949 € par mois. Toutefois, cette rémunération reste une simple estimation car les revenus d'un écrivain sont très aléatoires selon les cas.
Les romanciers sont rémunérés en droits d'auteur, c'est-à-dire la part qui leur revient sur le prix du livre, selon la règle du “8/10/12”. Cela signifie qu'ils touchent généralement 8 % de droits jusqu'à 10 000 exemplaires vendus, 10 % entre 10 000 et 20 000 exemplaires et 12 % au-delà.
Cette loi impose aux éditeurs ou importateurs de livres de fixer un prix de vente au public. Les détaillants doivent pratiquer un prix effectif de vente au public compris entre 95 % et 100 % du prix fixé par l'éditeur ou l'importateur.
On constate que la littérature contemporaine est largement en tête. Elle est deux fois plus vendue que le polar, lui-même environ deux fois plus vendu que les romans d'amour. Ces trois genres cumulés dépassent largement le reste de la liste des genres en termes de chiffres de vente.
Pensez à inscrire un numéro ISBN si vous souhaitez commercialiser vos livres en dehors de votre cercle familial. Vous pouvez choisir de publier votre en livre en auto-édition, en utilisant une solution d'auto-édition, permettant de diffuser le livre sur les librairies en ligne, au format numérique, et au format papier.
S'autoéditer implique de prendre en charge tout le travail d'un éditeur. La diffusion du livre dans les librairies est donc à notre charge. Généralement, cela se fait sous la forme d'un dépôt-vente : on dépose des livres et ceux vendus nous sont payés avec une commission prise par la librairie.