Comment vas-tu ? : Koman ilé ?
Sa ou fé ? : Comment ça va ? Sa ka maché : Ça va.
Le mot créole mersi, s'emploie certes pour remercier l'interlocuteur Mi romersi azot, Je vous remercie ; gro mersi, grand merci ; mais le mot s'entend dans des formules de salutation où il signifie alors au revoir ou encore s'il vous plaît.
Je t'aime en créole :
Créole Réunionnais (La Réunion) : mi aim a ou. Créole Guyanais (France - Guyane) : mo konten to.
Yab est un mot : un terme propre à l'île de La Réunion pour désigner les réunionnais(e) bien Blancs, une divinité tibétaine du couple Yab-Yum, Mar Yab-Alaha I (415-420), catholicos-patriarches de l'Orient, primat de l'Église apostolique assyrienne de l'Orient.
T-shirt humoristique pour les martiniquais et martiniquaises en détournant l'expression ou ka fè mwen bat : tu m'Exaspères pour la transformer en : je vou ssouhaite de passer une agréable journée.
Bonzour ! : bonjour !
Maman. :: Momon ou Moman ou Manman ou Monmon ou Man.
- fèmé gèl a'w = tais-toi !
kouman ou ye ? comment vas-tu ? (littéralement : comment tu es ?)
Créole guadeloupéen : « Mèsi » Créole guyanais : « Grémési » Créole haitien : « Mèsi » Créole martiniquais : « Mèsi »
Bien évidemment, la bonne expression était : "Kan mi koz ek saucisse, boucané rest pendillé". Cette expression signifie qu'il ne faut pas "me couper la parole quand je parle avec une autre personne".
Nom commun. (La Réunion) Femme ayant des origines d'Afrique australe.
Railler, se moquer de quelqu'un.
L'adjectif féminin malbaraise est propre à l'île de la Réunion, à Maurice on parle de fille ou femme malbare.
Nom commun. (La Réunion) Ami, camarade, copain.
– Sa ka maché ? : Ca va ?
Mwen aimé ou doudou : Chéri(e) je t'aime.
Ca va bien : Sa ka roulé/ Sa ka maché ?
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreils ou zoreilles . Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Dans certaines anciennes colonies françaises, les «Métropolitains» peuvent encore être appelés les Zoreils ou Zoreilles. Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».