La solitude est un sentiment de souffrance associé au fait de se sentir seul. Il est important de distinguer la solitude du caractère solitaire d'une personne. Chacun a des besoins différents, qui peuvent varier au cours d'une vie, et certaines personnes ont besoin de plus d'interactions sociales que d'autres.
Les conséquences peuvent être importante: dépression, baisse d'estime ou de confiance en soi, phobie sociale, repli sur soi. A l'extrême on observe l'hikikomori où les individus s'enferment chez eux, cloîtrés chez eux voire dans leur chambre, pendant des mois voire des années.
Dépression, anxiété, psychose…
Et les effets de la solitude chronique sur la santé mentale vont bien au-delà. De nombreux travaux ont révélé que l'isolement pouvait augmenter le risque de dépression, d'anxiété, de psychose et d'usage de drogues, et aussi aggraver ces situations si elles étaient préexistantes.
La solitude peut être un état, c'est-à-dire le fait d'être physiquement et socialement seul. La solitude est également un sentiment pouvant signifier que nos relations interpersonnelles ne répondent pas à nos besoins. Malgré le nom de ce sentiment, nous n'avons pas toujours à être seuls pour nous sentir seuls.
La méditation peut notamment aider à chasser les pensées négatives de votre esprit et vous forcer à vous concentrer sur le moment présent. Par exemple, Calm, l'application de podcasts de méditation et de narration, vous propose des routines de méditation personnalisées.
Les causes qui mènent à l'isolement sont multiples mais on distingue deux types de facteurs déclencheurs : ceux d'ordre structurel comme la perte d'un emploi, la perte d'un conjoint, la retraite, le divorce et ceux d'ordre individuel, plus subjectifs, par exemple si la personne traverse une crise existentielle, est en ...
L'acceptation de la solitude et la gestion du temps
Soigner sa vie amicale (sans s'étourdir dans les soirées et la fête) et familiale, faire attention à soi, s'adonner à ses hobbies, constituent autant de clés pour la surmonter.
La solitude peut affecter la santé mentale et physique
La personne qui en souffre devient moins active, ce qui crée un déconditionnement à la fois sur le plan physique, mental et social. La solitude augmente également le risque de trouble mental courant, comme la dépression, l'anxiété ou l'épuisement professionnel.
En bref, le fait de vivre seul est un facteur de risque d'accident cardiovasculaire mortel, car il augmente les risques d'isolement social. Or l'isolement social est responsable du stress chronique, qui accentue les risques d'accidents cardiovasculaires.
La solitude n'est pas une maladie, mais si quelqu'un en souffre pendant longtemps, cette situation peut favoriser l'apparition de réactions de stress ou de maladie comme une dépression, une dépendance, etc. Néanmoins, «être seul-e» ne doit pas obligatoirement être considéré comme quelque chose de négatif.
La solitude touche beaucoup de Français mais est beaucoup plus présente chez les jeunes, selon cette étude. Les femmes et les personnes précaires sont aussi plus touchées que la moyenne. Si solitude ne rime pas forcément avec souffrance, elle « affecte la santé mentale de millions » de personnes.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Se sentir seul…
C'est souvent quand on vit quelque chose de particulier et de douloureux : on a l'impression que les autres ne vivent plus sur la même planète et qu'ils ne pourraient rien comprendre. Cela peut arriver par exemple quand on perd quelqu'un qu'on aime.
L'isolement peut survenir dans notre vie à tout moment. Ce sentiment de solitude se déclenche pour diverses causes : une période de chômage, des problèmes familiaux, une addiction aux réseaux sociaux, une rupture amoureuse, une maladie...
solitaire n. Personne qui aime la solitude, vit à l'écart. solitaire n.m. Anachorète, moine qui vit seul, dans un lieu écarté.
Les facteurs aggravant l'isolement sont la pauvreté (34 % des personnes isolées ont des revenus inférieurs à 1 200 euros par mois, contre 25 % des personnes non isolées), le chômage et l'âge. On compte 7 % de personnes isolées chez les 15-25 ans, 11 % chez les 25-39 ans et 12 % au-delà et jusqu'à 69 ans.
Peu importe le nombre de personnes avec qui nous vivons, nous restons à tout jamais seul avec nous même. Personne n'est capable de nous comprendre aussi bien que nous même. En soit, la solitude n'est ni un choix ou une contrainte, c'est juste un état inné chez nous.
La lumière artificielle et l'absence de lumière du soleil perturbent le rythme interne, augmentant les risques de problèmes de santé tels que l'obésité, le diabète et la dépression, rappelle le site du Time.
D'autres substances entrent en jeu : magnésium qui régule l'humeur, sélénium qui fait baisser le risque de dépression, vitamines B1, B6, B9 et B12 qui aident à transformer le tryptophane en sérotonine, vitamine D dont la carence joue dans les états dépressifs, oméga-3 bénéfiques pour le cerveau…