L'intelligence de l'Homme serait donc moins liée à la taille de son cerveau qu'à la façon dont celui-ci est structuré. En effet, le nombre de neurones corticaux associé à une vitesse de conduction élevée des fibres corticales présente la meilleure corrélation avec l'intelligence.
Les relations entre le périmètre crânien, le développement cérébral et l'intelligence ont été étudiées depuis l'époque de Broca et Galton, qui ont conclu que les variations de la taille du cerveau (estimées indirectement en mesurant le périmètre crânien) sont liées à l'intelligence (Vernon, Wickett, Bazana et Stelmack, 2000).
Dans l’ensemble, une taille et un volume de cerveau plus grands sont associés à un meilleur fonctionnement cognitif et à une intelligence plus élevée. Les régions spécifiques qui présentent la corrélation la plus robuste entre volume et intelligence sont les lobes frontaux, temporaux et pariétaux du cerveau.
La taille du cerveau a un impact étonnamment faible sur l’intelligence et le comportement. Points clés : Avoir un cerveau inhabituellement gros ne fait pas nécessairement de quelqu'un un génie, et des recherches à grande échelle suggèrent seulement une relation légère et ténue entre la taille du cerveau et l'intelligence.
Trois régions du cerveau impliquées dans l'intelligence
Plusieurs régions clés ont été répertoriées. Les plus importantes se retrouvent au niveau du cortex préfrontal gauche, du cortex temporal (très largement utilisé pour l'intelligence générale) et à l'arrière du cerveau, au niveau du cortex pariétal.
Aujourd’hui, les scientifiques s’accordent sur le fait que la génétique et l’environnement ont tous deux un impact sur le développement physique du cerveau et sur le développement cognitif de l’esprit, qui détermine en fin de compte l’intelligence. Notre génétique peut nous fournir une capacité intellectuelle, mais notre environnement détermine si nous atteignons notre potentiel.
Cette faculté, c'est le jugement, autrement dit le bon sens, le sens pratique, l'initiative, la faculté de s'adapter aux circonstances. Bien juger, bien comprendre, bien raisonner, voilà l'activité essentielle de l'intelligence » (Binet et Simon, 1905).
Les personnes HPI ont plus d'agilité intellectuelle. Elles ont généralement des aptitudes élevées de langage, pour jongler avec les mots et les idées. Elles manient particulièrement bien les idées abstraites et sont capables de faire des analogies entre des situations que d'autres trouveraient peu reliées.
Des cerveaux plus gros sont associés à un QI plus élevé . Comme prévu, le volume total du cerveau était positivement corrélé au FSIQ, r = 0,35 (P <0,01). Cela constitue une autre reproduction de la relation désormais bien établie entre la taille du cerveau et le niveau d’intelligence.
Les personnes ayant une petite tête ont-elles un cerveau plus petit que celles ayant une grosse tête ? Les personnes atteintes de craniosténose et de microcéphalie ont un petit cerveau (et une petite tête). La taille de la tête est relativement large et la taille du cerveau est davantage liée à la physionomie qu'à l'intelligence.
Pays avec le QI le plus bas
Le Népal détient le record du QI moyen le plus bas parmi les pays répertoriés avec un QI moyen de 42,99 . En étroite concurrence, le Libéria et la Sierra Leone partagent le même QI moyen, avec une valeur de 45,07. Le Guatemala, en revanche, a un score légèrement plus élevé avec un QI moyen de 47,72.
La majorité des substances nocives (alcool, drogues) La routine : dès que l'on est "à l'aise" dans une activité, un environnement etc, on n'apprend plus, et donc, l'intelligence ne se développe plus. Les artisans, scientifiques, professionnels, sportifs etc.
La surface ridée caractéristique du cerveau est généralement un indicateur d'une fonction cognitive supérieure , mais trop de repliement peut produire l'effet inverse. Résumé : Les chercheurs identifient une mutation qui provoque un repliement excessif du cortex cérébral ridé du cerveau humain, entraînant une diminution de la fonction cognitive.
Le diagnostic est posé avant la naissance à partir d'une échographie, ou après la naissance en mesurant le périmètre crânien. Les médecins réalisent généralement des examens d'imagerie pour détecter des anomalies cérébrales, et parfois des analyses de sang pour identifier la cause.
Chez les individus de grande taille, ce gradient est étendu, conduisant à des membres plus longs, y compris des jambes et des bras, et à une tête plus grande par rapport à la taille du corps . Les jambes et les mains sont constituées d’os longs, normalement proportionnels sur le même corps. La tête est légèrement différente car le crâne n’est pas un os long.
« En moyenne, une personne avec un cerveau plus gros aura tendance à obtenir de meilleurs résultats aux tests cognitifs qu’une personne avec un cerveau plus petit. Mais la taille ne représente qu’une petite partie du tableau, expliquant environ 2 % de la variabilité des performances des tests.
Plusieurs études montrent que le score aux tests de QI des jeunes baisse depuis quelques décennies. Des facteurs environnementaux comme le système éducatif ou la consommation des médias pourraient jouer un rôle. Pendant une bonne partie du XXe siècle, le score des jeunes aux tests de QI a constamment augmenté.
QI de 90 à 109 : intelligence moyenne (50% de la population) QI de 80 à 109 : intelligence normale faible, en dessous de la moyenne (16,1% de la population) QI de 70 à 79 : intelligence limite (6,7% de la population) QI de 69 et moins : intelligence extrêmement basse (2,2% de la population)
Qui a la puissance de raisonner, de comprendre la nature des choses.
Selon cette approche, l'effet « meilleur-que-la-moyenne » pourrait s'expliquer par le fait qu'en toute logique, nous avons davantage accès à notre propre expérience (nos capacités, nos actes, nos valeurs, etc…), qu'à celle de nos pairs.
L'intelligence humaine est caractérisée par plusieurs aptitudes, surtout cognitives, qui permettent à l'individu humain d'apprendre, de former des concepts, de comprendre, d'appliquer la logique et la raison.
L’intelligence est hautement héréditaire et prédit mieux que tout autre trait des résultats importants en matière d’éducation, de travail et de santé. Des études d'association récentes à l'échelle du génome ont réussi à identifier des différences héréditaires de séquences génomiques qui représentent 20 % des 50 % d'héritabilité de l'intelligence.
Si les bébés en bonne santé ont tous plus ou moins les mêmes possibilités intellectuelles à la naissance, ils ne vont pas tous devenir des surdoués car l'environnement joue un rôle prépondérant dans le développement cérébral.
Eh oui ! Selon Psychology Spot, la mère est la principale responsable de la transmission des gènes de l'intelligence.