L'asthme est un état dans lequel les voies respiratoires diminuent de diamètre (en général de façon réversible) en réponse à certains stimuli. Parmi les symptômes les plus fréquents figurent : la toux, le sifflement et l'essoufflement (dyspnée).
La toux asthmatique est une toux sèche, sans expectorations, qui apparaît souvent sous forme de quintes (on parle de toux quinteuse). Elle survient en général la nuit, après un effort physique, dans un environnement froid, ou encore en présence de substances allergènes ou irritantes (en cas d'asthme allergique).
Vous hydrater en buvant suffisamment d'eau (au moins 1,5L par jour), pour évacuer les glaires dues à la toux grasse plus facilement ; Réaliser des décoctions à base de gingembre dans une tasse d'eau chaude ; Faire des inhalations de vapeur d'eau pour dégager les voies respiratoires.
Il existe des cas d'allergie ou d'intolérance au salbutamol, qui se manifestent généralement par une toux ou un spasme bronchique après l'inhalation du produit.
Le diagnostic de l'asthme en bref
Une visite chez son médecin traitant est recommandée en cas de toux sèche persistante, d'essoufflement, de sifflements respiratoires, de sensation d'oppression dans la poitrine, de réveils nocturnes ou de limitation dans les activités liées à des gênes respiratoires.
On l'utilise dans le langage courant pour désigner l'ensemble de réaction rappelant l'asthme qui peuvent se produire lors d'une crise d'angoisse ou une crise de spasmophilie. La gêne respiratoire ressentie est donc le symptômes d'un « faux asthme ». Son origine est souvent psychosomatique (anxiété).
Est-il dangereux de prendre de la Ventoline sans être asthmatique ? Si une personne ne souffrant pas de troubles respiratoires prend de la Ventoline, le médicament peut provoquer des effets secondaires indésirables tels qu'une accélération du rythme cardiaque, des tremblements et de la nervosité.
Les antileucotriènes, comme le montélukast, le zafirlukast et le zileuton, aident aussi à contrôler l'asthme. Ils ont une action anti-inflammatoire, en prévenant l'action ou la synthèse des leucotriènes. Les leucotriènes sont des substances chimiques produites par l'organisme qui provoquent une bronchoconstriction.
Si l'apnée n'est pas suffisamment longue, le médicament n'est pas resté assez longtemps en contact avec les bronches pour agir efficacement. En cas de prise de corticoïdes inhalés, il est aussi recommandé de se rincer la bouche avec un verre d'eau afin d'éviter les mycoses buccales.
La bronchite aiguë est due à un virus et elle est bénigne la plupart du temps. Cependant, lorsque les symptômes sont plus importants qu'à l'accoutumée, elle peut vous faire penser à de l'asthme : vous sifflez et avez grand mal à respirer. C'est ce qu'on appelle la bronchite asthmatiforme.
La bronchite asthmatiforme est dans la plupart des cas d'origine infectieuse, et souvent précédée d'une rhinite, d'une pharyngite ou d'une laryngite. L'asthme est quant à lui généralement provoqué par une allergie. L'apparition d'une bronchite asthmatique ne cache pas nécessairement l'existence d'un asthme.
Les directives actuelles recommandent dans les nombreux cas de personnes présentant une toux depuis plus de trois semaines, d'administrer des corticostéroïdes inhalés (CSI), qui sont couramment utilisés pour traiter l'asthme et d'autres maladies impliquant l'inflammation des voies respiratoires.
Le stress aigu peut déclencher une crise d'asthme, en provoquant une contraction des muscles qui entourent les bronches. Le stress chronique perturbe la régulation de l'inflammation. Il peut ainsi aggraver l'asthme, qui est causé par une inflammation des bronches.
L'inflammation des bronches que provoque l'asthme est le plus souvent soignée par la prise quotidienne de corticoïdes inhalés, c'est le traitement de fond . En cas d'exacerbation, l'inflammation très forte est traitée par des corticoïdes sous forme de comprimés.
Le traitement de l'asthme repose principalement sur un traitement de fond associant des anti-inflammatoires et des médicaments dilatant les bronches. Il s'agit de de corticoïdes administrés par inhalation, à prendre tous les jours, très souvent associés à des bronchodilatateurs à action longue durée.
D'autres médicaments sont également proposés en alternative : montélukast, théophylline à libération prolongée, tiotropium et, après avis spécialisé, omalizumab, benralizumab, mépolizumab ou reslizumab.
Que faire pour soulager une crise d'asthme sans Ventoline° ? Lorsque vous faites une crise d'asthme aiguë, il est important de ne pas perdre votre sang-froid. Prenez des respirations profondes. Vous pouvez vous asseoir ou vous allonger.
S'il ne remplace jamais un traitement médical, le thym peut contribuer à atténuer la toux liée à l'asthme. Alliée de la respiration, cette plante possède des propriétés expectorantes reconnues. Vous pouvez notamment l'utiliser en infusion.
L'asthme ne se guérit pas : il persiste toute la vie même si des phases de rémission peuvent durer plusieurs années, faisant parfois oublier la maladie. Pour limiter les crises, il est fondamental d'éliminer les facteurs déclenchants de son environnement.
La Ventoline® peut provoquer des effets indésirables tels que des maux de tête, de la tachycardie (accélération du rythme cardiaque) ou des palpitations et des troubles du rythme cardiaque, des douleurs musculaires (crampes) ou des douleurs au niveau de la gorge.
Avoir toujours son inhalateur de secours
En cas de crise d'asthme, vous devez toujours l'avoir sur vous. Prenez une bouffée d'un inhalateur de secourstoutes les 30 à 60 secondes, avec un maximum de 10 bouffées. Si les symptômes s'aggravent ou ne s'améliorent pas après 10 bouffées, consultez un médecin d'urgence.
La Ventoline® est uniquement délivrée sur ordonnance.