Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Avec sa teneur élevée en oligo-éléments comme le fluor, le sélénium et l'iode, le cabillaud est par exemple très bon pour le métabolisme et le système immunitaire.
C'est le cas du saumon, de la sardine, du maquereau, du hareng et de la truite fumée. De l'autre, ceux qui sont un peu moins riches en oméga 3 à longue chaîne (1,4g/100g). On peut ici lister le rouget, les anchois, le pilchard, le bar, la truite,la dorade, le turbot, l'éperlan, le brochet ou encore le flétan.
Très fragile et délicate au palais, la chair de cabillaud ne présente pas un goût de poisson puissant. Ses saveurs se dégagent tout en douceur à mesure que l'on déguste les pans de sa chair qui s'effeuillent facilement sous la fourchette.
Les poissons peuvent être contaminés par des polluants présents dans l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthylmercure, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Commencez par faire chauffer un filet d'huile d'olive dans votre poêle. Saisissez le dos de cabillaud durant 4 à 5 minutes à feu vif puis baissez le feu. Arrosez-le de beurre pendant 5 à 6 minutes sans le retourner. Assaisonnez et dégustez !
Le cabillaud est un poisson très versatile qui se prête à différents modes de cuisson. Vous pouvez tout simplement le faire bouillir dans de l'eau légèrement salée pendant une dizaine de minutes, et le servir avec un filet d'huile d'olive et quelques gouttes de jus de citron.
L'églefin : ce poisson a une chair fine, qui n'a rien à envier à son cousin, le cabillaud.
Le cabillaud est le plus cher. Le cabillaud séché et salé s'appelle la morue. Lorsqu'ils sont frais - en filets -, le colin d'Alaska (appelé aussi lieu) ressemble beaucoup, mais a plus de goût que le cabillaud. Le cabillaud, lui, a une chair plus ferme (qui tient mieux au cuisson).
La morue est un poisson blanc floconneux et à saveur douce comme l'aiglefin et le merlan. Elle est une excellente source de vitamine B12, de protéines, de phosphore et de niacine.
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Une consommation élevée de poisson est associée à un risque accru de développer la maladie de Charcot. Le mercure est le suspect principal de ce lien. A consommer avec modération. Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer.
Une portion de 120 à 130 g de poisson (pesé cru) est suffisante. Cela correspond à peu près à la taille d'une main ou d'un quart d'assiette.
Les poissons gras tels que le saumon, les sardines ou le maquereau, sont riches en Omega-3. Ces acides gras naturels aident à prévenir les maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux.
Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Sa saison de pêche s'étend d'octobre à avril. On le trouve cependant sous forme surgelée toute l'année.
Poisson de saison en février
En février, le bar, le cabillaud, le colin (lieu noir), la dorade grise, l'aiglefin, le hareng, la limande, le loup, la lotte, le maquereau, le merlan, la morue, la raie, le saumon et la sole peuvent notamment être retrouvés pour une dégustation sereine et riche en saveurs.
Vous n'avez pas besoin de les laver. Pire, ils perdraient leur goût. En revanche, si vous avez choisi des filets déjà levés et disposés sur de la glace, rincez-les sous l'eau froide et séchez-les bien avant cuisson.
Certains condiments sont des incontournables pour accompagner un filet de cabillaud. C'est le cas de la coriandre, du cumin et du basilic pour des plats résolument délicieux. Connus pour sa richesse en vitamine C et en antioxydants1, la coriandre apporte de la fraîcheur au cabillaud.
– Rincer et couper le citron en rondelles, les déposer sur les dos de cabillaud. – Saler légèrement, poivrer et saupoudrer d'une belle pincée de curcuma. Ajouter un filet d'huile d'olive et le persil ciselé. – Enfourner à 180°, en mode chaleur tournante, pour 15 minutes de cuisson.
Certains poissons tels que le saumon, le maquereau, le thon ou la sardine sont recommandés lors du repas. Ils sont riches en protéines, essentielles à nos besoins nutritionnels. De plus, ils nous apportent des oméga 3, les bonnes matières grasses, ce qui favorise le sommeil en agissant sur les cellules du cerveau.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.