La présence d'un imam de mariage ou d'un cadi (magistrat) n'est pas obligatoire pour conclure le mariage musulman. Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur.
Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit non plus les droits de la femme en cas de litige, ni la reconnaissance des éventuels enfants ou les droits de succession.
Avant de procéder au mariage musulman, les époux doivent, pour que celui-ci soit reconnu, être mariés en mairie. Aussi, ils auront dû publier les bans (ce qui participe à l'annonce du mariage, selon les recommandations du prophète).
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur. Il n'est pas nécessaire de payer l'imam pour son mariage, celui-ci percevant un salaire de sa mosquée. Une donation est toutefois possible, selon les souhaits des mariés.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée. Mais les temps ont changé.
Dans les pays musulmans, le mariage est organisé généralement le jeudi et le vendredi. Mais en France pour des questions pratiques, on préfère le faire le samedi et le dimanche. De cette manière, toute la famille peut se libérer pour participer aux festivités.
L'imam débute généralement la cérémonie par des louanges à Allah puis par la récitation de 3 versets du Coran (par exemple : sourate III, verset 102 ; sourate IV, verset 1 ; sourate XXXIII, verset 71-72) puis les époux échangent leurs consentements ainsi que les alliances.
Hlel est un mot arabe que les jeunes utilisent fréquemment pour designer leur “petite-amie”. Bien que plus qu'un simple relation physique, la hlel est une femme que l'on perçoit comme une “fille à marier”, de ce fait le terme désigne également une fille sérieuse, chaste, vierge.
Le mariage peut être célébré à la mosquée, dans une mairie (mariage civil) ou au domicile de l'un des futurs mariés, ou de leurs parents ce qui est le cas le plus fréquent. Un imam ou prédicateur peut être invité pour venir faire un rappel lors de la cérémonie, mais ce n'est pas une obligation.
Le fatḥa (فتحة en arabe, littéralement « ouverture ») est un signe diacritique de l'écriture arabe indiquant la vocalisation brève [a] de la lettre qu'il modifie. Il est composé d'un trait placé au-dessus de la lettre.
Dans la loi islamique, il est possible de dissoudre le mariage par un divorce par répudiation. Pour ce faire, voici la liste des démarches à suivre : L'époux doit adresser une demande de répudiation écrite à la justice de sa commune ou en se rendant dans un tribunal d'instance.
La dot, ou le « mahr »
C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc. C'est Allah Lui-même qui a ordonné au mari de verser la dot à son épouse dans le Coran.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
Le montant de la dot est fixé, il ne faut pas que ça soit en dessous. La limite de montant est de ¼ de dinar. Aujourd'hui, un dinar représente 60% d'une pièce d'or (djiné en arabe). Si aujourd'hui une pièce d'or au Tchad qui coûte 260 000 francs CFA par exemple, on fait le calcul : 260 000x60/100=156 000 FCFA.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
Le baiser sur le front est un geste protecteur. Il tient à vous et veille à ce que rien de mal ne vous arrive. Un baiser sur le front signifie également qu'il veut vous rassurer si vous êtes triste ou inquiète.
Rapport extra-conjugal.
La Khotba est donc théoriquement une promesse de mariage qui peut soit, aboutir à la cérémonie, soit être interrompue par l'un des protagonistes. En pratique, la Khotba s'effectue à un moment où le couple s'est déjà mis d'accord sur leur envie de se marier. C'est donc une demande en mariage adressée à la famille.
2) Pour un mariage islamique il faut l'accord de l'homme, de la femme et du représentant de celle-ci. Ensuite, l'homme et la femme qui vont se marier expriment devant au moins deux témoins, leur engagement à vivre comme mari et femme.
« Ô Allah ! Je Te consulte de par Ta connaissance et je T'implore de m'accorder la capacité par Ton pouvoir et je Te demande de m'octroyer de Ton immense bienfait. Car Tu es certes Capable et je suis incapable, Tu sais tout tandis que moi je ne sais pas et c'est Toi le Connaisseur de l'invisible. Ô Allah !
La baraka la plus évoquée est celle d'Allah. S'il pleut, si la récolte est bonne, si une femme accouche d'un bel enfant, si quelqu'un sort indemne d'un accident qui aurait pu être mortel, si une personne est très âgée mais en bonne santé et dans bien d'autres circonstances, on dit que c'est la baraka de Dieu.
Le Douâa (duʿāʾ) (arabe : اَلدُّعَاءُ API : [duˈʕæːʔ], pluriel: ʾadʿiyah أدْعِيَة [ʔædˈʕijæ]) désigne une invocation dans l'islam. C'est une supplication par laquelle le musulman demande à Allah d'exaucer ses demandes.