Les véhicules d'intérêt général prioritaires sont les suivants : il s'agit des véhicules de police nationale ou municipale, des véhicules de gendarmerie, des pompiers, des douanes, des véhicules d'intervention des unités mobiles hospitalières et enfin, des véhicules affectés au transport de détenus.
Liste des véhicules d'intérêt général prioritaires
les véhicules du Service d'Aide Médicale Urgente (SAMU) les ambulances privées à la demande du SAMU pendant les gardes départementales. les véhicules de la police nationale, de la police municipale et de la gendarmerie nationale.
Un véhicule est considéré comme prioritaire lorsqu'il est en intervention signalé simultanément par le feu bleu clignotant et par la sirène. Seuls les véhicules d'intérêt général suivants peuvent être prioritaires : véhicules de police nationale ou municipale. véhicules de gendarmerie.
Les véhicules d'intérêt général considérés comme des véhicules prioritaires sont : les véhicules rattachés aux unités d'urgences hospitalières. les véhicules de police nationale ou municipale. les véhicules de gendarmerie.
Le saviez-vous ? Les véhicules de sapeurs-pompiers sont prioritaires sur les autres usagers de la route et ont des droits de circulation étendus, dès lors qu'ils utilisent l'avertisseur sonore (deux tons) pour signifier un départ sur une intervention en situation d'urgence.
L'idée que les ambulances privées ne sont pas prioritaires est répandue. Et en effet, l'ambulance privée en temps normal ne dispose pas de la priorité. Elle bénéficie de facilités de passage. Cependant, dans certains cas, elle peut être prioritaire.
Non. Lorsqu'un véhicule franchit un feu au rouge pour une raison justifiée (passage d'un véhicule prioritaire, pompier, police, SAMU), l'appareil relève une infraction et un flash se déclenche. Néanmoins, le CACIR (Centre automatisé de constatation des infractions routières) n'émettra pas d'avis de contravention.
Si vous tournez à droite, vous n'êtes pas prioritaire à l'intersection et vous ne vous trouverez plus sur la portion prioritaire. Un panonceau de distance peut également être apposé au panneau AB6 pour indiquer la distance sur laquelle la priorité s'applique.
Selon le Code de la route (art. 38) dès que l'approche d'un véhicule prioritaire est signalée par l'avertisseur sonore spécial, tout usager doit immédiatement dégager et céder le passage et au besoin, il doit s'arrêter. Ne pas respecter cette disposition constitue une infraction de 3ème degré.
Un véhicule avec gyrophare devient prioritaire dès que celui-ci est allumé. Il faut alors lui faciliter le passage, par exemple en s'arrêtant à un carrefour. Attention : la sirène n'est pas obligatoire, et sert uniquement à prévenir les automobilistes de l'arrivée du véhicule.
Le véhicule qui arrive en face est prioritaire et vous devez le laissez passer. Si la chaussée est étroite, c'est le plus gros véhicule qui doit laisser passer le plus petit.
Une ambulance est prioritaire lorsque les avertisseurs lumineux et sonores sont activés ! En effet, ces signaux indiquent aux autres conducteurs qu'ils sont en intervention d'urgence, et qu'il est donc essentiel pour eux de se frayer un chemin le plus rapidement possible.
«Une ambulance peut toujours utiliser ses avertisseurs sonores et ses feux. En temps normal, elle est un véhicule dont il faut faciliter la progression. Dans ce cas, les textes ne disent pas si elle a le droit ou non de franchir le feu rouge. Mais il est admis qu'elle le fasse dans le respect des règles de sécurité.
Le gyrophare bleu est réservé aux véhicules prioritaires sur la route : police, pompiers, ambulanciers, douanes, gendarmeries, ... et bien d'autres.
Il existe une exception, un moment où l'on peut passer au feu rouge. C'est lorsqu'un véhicule prioritaire avec sirène souhaite passer derrière vous. Il s'agit de la police, des pompiers, du SAMU ou encore de certaines ambulances.
Acuité visuelle et conduite : les règles du code de la route
Dans la pratique, cela signifie que même un borgne peut passer son permis de conduire, à condition que son œil valide ait un minimum de 5/10ème.
Le bleu, une idée des nazis
Dès 1933, la police, puis les pompiers, ont dû passer du rouge au bleu pour le gyrophares. Le bleu se disperse en effet davantage dans l'atmosphère et est donc idéal de près, mais difficilement reconnaissable depuis des avions d'attaque.
Pour faire face à une situation d'urgence, les pompiers ou encore les gendarmes peuvent actionner leur sirène et leur gyrophare bleu. Dans ce cas, les usagers de la route doivent impérativement leur dégager le passage sans mettre en danger autrui.
À l'approche d'une intersection, et en l'absence d'une quelconque signalisation en matière de priorité, c'est la priorité à droite qui prime. Le conducteur doit laisser la priorité à tout véhicule venant d'une route située à sa droite.
la règle suivante s'applique: priorité de droite. Cette règle dit: Tout conducteur doit céder le passage au conducteur qui vient de droite, sauf: s'il se trouve dans un rond-point. ou si le conducteur qui vient de droite vient d'un sens de marche interdit.
En France, la règle est la priorité à droite aux intersections si vous n'avez pas de signalisation précise. Il faut voir si la personne arrivant de la droite n'a pas de panneau STOP ou de céder le passage car dans ce cas-là, ce sera donc à vous de passer. Pensez à ralentir et observer.
Les véhicules de sapeurs-pompiers les plus connus du grand public sont : Le véhicule de secours et d'assistance aux victimes (VSAV) Le véhicule secours routier (VSR) La grande échelle, ou échelle pivotante automatique (EPA)
Les gyrophares bleus et sirène à deux temps
Les véhicules prioritaires et plus particulièrement les véhicules d'intervention sont ceux de la gendarmerie, de la police (nationale ou municipale), du SAMU, du SMUR, des douanes.
Conçus pour se déclencher uniquement lors du franchissement d'un feu pendant la phase de rouge, les radars aux feux tricolores ne flashent pas les conducteurs durant la phase de feu orange.
En tant que service hospitalier, la SMUR assure en permanence, la prise en charge d'un patient dont l'état requiert, de façon urgente, une prise en charge médicale et de réanimation et, le cas échéant, après régulation par le SAMU, le transport de ce patient vers un établissement de santé [6].