Les termes de “ménopause masculine” ou andropause, que l'on retrouve principalement dans les médias, décrivent la baisse de la testostérone liée au vieillissement naturel et les symptômes qui y sont associés, notamment une baisse d'énergie, une perte de concentration, un gain de poids et un dysfonctionnement érectile.
L'andropause est un ensemble de symptômes physiologiques liés à la baisse de sécrétion de testostérone ainsi que d'autres hormones sexuelles chez l'homme, à partir de 45 ans. Cet état physiologique ressemble en termes de symptômes à la ménopause chez la femme mais à la différence que la reproduction reste possible.
Bouffées de chaleur chez l'homme âgé
Les bouffées de chaleur chez l'homme sont principalement le signe de l'andropause. Cette affection touche en priorité les hommes entre 45 et 65 ans. Elle est due à un ralentissement de la production de testostérone, une hormone sexuelle.
La durée de l'andropause varie également d'un homme à l'autre. La durée moyenne est de 7,4 ans et donc semblable à celle des femmes. Le processus, qui commence de manière insidieuse, surprend et déstabilise souvent les hommes.
Causée par une réduction du taux de testostérone, l'andropause est l'équivalent masculin de la ménopause. Ce phénomène biologique traduit les bouleversements organiques et psychologiques liés au vieillissement de l'homme.
Comment diagnostiquer une andropause ? ► bilan hormonal complet si le taux de testostérone est abaissé (dosage testostérone totale, libre et biodisponible, SHBG, LH et FSH, prolactine.
Quels en sont les symptômes ? Il y a d'abord des érections moins rigides et moins nombreuses, mais aussi une baisse de la libido : les hommes n'ont plus envie de faire l'amour. Un phénomène encore aggravé parce qu'ils savent qu'ils ne peuvent pas compter sur une érection fiable.
Les symptômes peuvent être une libido diminuée, une baisse de la fertilité, des troubles de l'érection, des troubles du sommeil, des troubles de l'humeur (dépression, colère).
Une thérapie de remplacement de la testostérone dans le sang est le traitement le plus fréquemment administré aux hommes qui traversent l'andropause. Ce traitement est susceptible de procurer un soulagement des symptômes et d'améliorer, dans bien des cas, la qualité de vie.
Les termes de “ménopause masculine” ou andropause, que l'on retrouve principalement dans les médias, décrivent la baisse de la testostérone liée au vieillissement naturel et les symptômes qui y sont associés, notamment une baisse d'énergie, une perte de concentration, un gain de poids et un dysfonctionnement érectile.
Boire un grand verre d'eau fraîche, appliquer des compresses d'eau froide, s'asperger avec un brumisateur, se passer le visage sous l'eau du robinet : ces gestes peuvent apporter un soulagement rapide, car ils permettent de faire baisser la température corporelle.
L'andropause entraine fatigue et divers troubles
Cette diminution de production de testostérone liée à l'andropause est à l'origine de troubles du sommeil, troubles érectiles ou de la sexualité, diminution de la libido, décalcification et sensation de fatigue.
Si une andropause est diagnostiquée, un traitement hormonal à la testostérone est parfois prescrit. Il s'agit du seul traitement médicamenteux disponible actuellement.
Quelles sont les causes du SMI ? Une relation avec les hormones : ce syndrome pourrait être en lien avec des fluctuations hormonales, en particulier une baisse importante de l'hormone mâle, la testostérone.
Selon lui, les hormones sexuelles masculines seraient responsables de ce mécanisme. Plus précisément, la variation du taux de testostérone et principalement les baisses significatives de cette hormone chez un homme causeraient des sautes d'humeur.
Comme les femmes, les hommes ont un cycle hormonal et peuvent, eux aussi, avoir leurs humeurs… plusieurs fois en 24 heures. Leur forme peut être olympique au saut du lit quand ce sera le calme plat au coucher.
En fait l'andropause ne touche pas tous les hommes et n'est donc pas un phénomène obligatoire, un passage obligé; néanmoins, chez une bonne partie des hommes et ce à partir de quarante-cinq ans s'installe un syndrome clinique biologique et psychosomatique évoquant une carence en androgènes (hormones mâles) qui peut ...
Dans la ménopause, il y a un arrêt total des œstrogènes et de la progestérone (secrétions hormonales féminines). Dans l'andropause, d'une part, il n'y a qu'une hypo-androgénie, c'est-à-dire une baisse des hormones mâles et non pas un arrêt total, d'autre part, l'âge de survenue est ici très variable.