Le « sushi » n'est pas d'origine japonaise. Il est né en Chine au IVe siècle av. JC. comme une forme de conserver le poisson en le laissant fermenter dans du riz cuit à la vapeur et rangé dans des pots pendant plusieurs mois.
Les amateurs le savent : ce sont des grains de riz nacrés comme une perle et un poisson brillant, découpé comme il se doit, qui font de bons sushis. Mais ce plat emblématique du Japon a connu bien des aléas au cours de sa longue histoire. On trouve ses origines en Chine, aux alentours du IVe siècle av. J.
Production professionnelle
Dans les restaurants les plus respectueux de la tradition, on peut trouver des itamae (板前, chef) spécialisés dans les sushis (le vocable itamae désigne un chef, qui peut être spécialisé dans les sushis ou dans un autre type de cuisine).
Sushi en chinois » 须志 calligraphié — Chine Informations.
Etymologiquement, le mot sushi vient de « SU » signifiant « vinaigre » et « SHI » signifiant « riz ». Le terme est employé pour décrire un morceau de poisson cru ou de mollusque ou de crustacé sur un lit de riz, de la taille d'un doigt.
O Sushi : le plat japonais par excellence
Parmi les plats typiques japonais, le sushi est probablement le plus connu au monde : une boule de riz vinaigré surmonté d'une lamelle de poisson cru, un délice !
Europe : la France, plus grand consommateur de sushis.
Bien que le Japon soit certainement la capitale mondiale du sushi et qu'il soit responsable de l'introduction de ce plat auprès des voyageurs, les origines du sushi remontent à un plat chinois appelé narezushi.
Les sushi, produit d'excellence
Beaucoup s'accordent à dire que les sushi sont l'emblème de la cuisine nipponne alors que leur consommation reste assez occasionnelle au Japon. C'est un plat exceptionnel que l'on trouve en revanche partout.
En effet, contrairement à ce qu'imaginent beaucoup de visiteurs, un « bon » sushi se mange « chaud » ! c'est à dire, à température de la langue. Dans un restaurant digne de ce nom, le riz tout juste cuit est façonné de la main et directement placé face au client.
Sushiman - Définition et fiche métier. Le sushiman (ou chef sushi) est un cuisinier spécialisé dans la préparation des sushis, un plat japonais composé de poisson (cru ou cuit) posé sur du riz, enroulé dans une bande d'algue ou disposé dans des rouleaux de riz avec d'autres ingrédients, comme les œufs et les légumes.
A l'origine, les makis ont été créés car les yakuzas (criminels japonais) n'arrivaient pas à manger leurs sushis tout en jouant aux cartes. Pour ne pas les contrarier, on eut alors l'ingénieuse idée de les enrouler dans de la feuille d'algue.
Contrairement à la croyance commune, les sushi se mangent avec les doigts, et non avec les baguettes. Ces dernières sont alors réservées aux sashimi (刺身), ces morceaux de poisson cru dépourvus de riz, et à la manipulation des accompagnements comme le gingembre et le wasabi (山 葵).
Les rouleaux sont découpés en petits tronçons avant d'être servis. Le sashimi ne ressemble en rien au sushi. Il s'agit d'un plat japonais composé uniquement de tranches de poisson cru. Toute la finesse du sashimi est dans la découpe de la chair des poissons.
Le california roll est donc né dans les années 70 à Vancouver, dans le restaurant de monsieur Tojo, qui l'a baptisé "Inside-out roll". Et si il porte aujourd'hui le nom de "california", c'est parce que ce maki revisité est la recette favorite des clients de Hidekazu Tojo venus de Californie !
Le drapeau du Japon est un drapeau blanc avec un grand disque rouge en son centre (représentant le soleil, plus précisément la déesse shinto du soleil Amaterasu). C'est le drapeau civil, le drapeau d'État, le pavillon marchand et le pavillon d'État du Japon.
En France, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments recommande aux femmes enceintes d'éviter les poissons crus en raison de la présence possible de Listeria monocytogenes.
Le gari ガリ ou appelé gari shoga est un condiment à base de gingembres en lamelles marinées rosées que vous trouvez sur vos plateaux de sushi (maki, sashimi, nigiri sushi…) souvent accompagné de sauce soja et de wasabi.
1 – La sauce soja sucrée : il n'est pas rare que dans des restaurants servant des sushis, on vous propose de la sauce soja sucrée en France ou en Occident. Cependant, cela n'existe pas au Japon. La sauce soja peut être utilisé pour des marinades, assaisonnement, en base de bouillon ou en remplacement du sel parfois.
Emprunté au japonais 寿司 , sushi, de même sens.
"Il faut compter entre 11 et 13 euros par menu pour consommer ce plat", remarque Bernard Boutboul. "En moyenne, un consommateur va y dépenser 11,50 euros, c'est deux fois plus qu'en restauration rapide". Autre écueil : les doutes sur la sécurité alimentaire.
Le petit-déjeuner traditionnel japonais est un repas à l'image du déjeuner et du dîner, composé d'une succession de petits plats salés. On y retrouve les mêmes aliments : riz, poisson grillé, natto et soupe miso, accompagnés de thé vert.
Pour les Chinois, un coulis de riz est consommé au petit déjeuner, tel que le veut la tradition. Cela est aussi convenable pour une personne atteinte de la grippe. Mais la soupe aux vermicelles suivie de quelques bouts de porcs ou de légumes s'avère la plupart du temps être le plat incontournable des Chinois.
Puisque les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables aux différentes intoxications, elles devraient donc éviter la consommation de poisson cru, de sushis, de ceviches et de tartares de poisson ou de fruits de mer.