En 1989, Ole Bentzen, un audiologiste danois, est mort de rire en regardant Un poisson nommé Wanda. Son rythme cardiaque serait monté à une fréquence de 250 à 500 battement par minute avant de subir un arrêt cardiaque.
Plus proche de nous, en 1989, le Danois Ole Bentsen est mort de rire en regardant le film «Un poisson nommé Wanda». L'autopsie a révélé qu'à force de rire, le rythme de son cœur s'était emballé, provoquant un arrêt cardiaque.
Au 3ème siècle avant J-C., Chrysippus, un philosophe stoïcien fit boire du vin à son singe. Il rigola tellement du résultat en voyant son singe saoul essayer d'attraper des figues qu'il y laissa la vie. On dit également que le poète, Philemon serait également mort d'une crise de fou rire suite à son propre humour.
On peut mourir de rire
L'expression mourir de rire peut aussi se révéler dramatiquement exacte puisque la littérature médicale rapporte des cas de fous rires ayant entrainé la mort par arrêt cardiaque. Se tordre de rire est tout aussi préjudiciable puisque dans ce cas, c'est l'œsophage qui trinque et se tord.
L'expression signifie rire intensément. Elle tire son origine du fait qu'il est possible de rire tellement fort et longtemps que l'on puisse en mourir. Cette cause de décès remonterait même à la Grèce ancienne.
Mourir de chagrin est d'ailleurs tout à fait possible. Connue depuis 1991 sous le nom de "syndrome de Tako-Tsubo" ou "syndrome du coeur brisé", cette pathologie a notamment été détaillée dans un rapport de l'American Heart Association en 2012.
C'est pourquoi les gens disent qu'ils se sentent soulagés après avoir pleuré. De même, le rire diminue les hormones du stress et déclenche la libération d'endorphines, ce qui crée également un effet de bien-être. Le fait de pleurer en riant pourrait pourtant être considéré comme une réponse émotionnelle contradictoire.
Rieur : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
L'histoire du rire aurait commencé il y a environ 14 millions d'années, chez un ancêtre commun à tous les primates, qui aurait émis par petites séries des cris prolongés et relativement lents. Ce rire aurait été assez monocorde, peut-être sur une note unique.
Le fait de pleurer permet d'évacuer positivement la pression psychique, et ainsi de sauver l'organisme. De la même façon, des personnes réagissent devant certaines situations complexes par un fou-rire, alors qu'elles auraient pu pleurer. C'est fonction de la personnalité des individus et de leur mode d'expression.
Il peut être considéré comme la résultante de deux phénomènes : d'une part, des actes moteurs complexes, d'autre part, un sentiment d'humeur positive et euphorique. Quand on rit, les muscles du visage impriment la physionomie de l'hilarité, et certains muscles respiratoires produisent des secousses caractéristiques.
RIEUR désigne aussi Celui, celle qui aime à rire. C'est un grand rieur, une grande rieuse. Il s'emploie aussi adjectivement.
Le rire a un rôle social et intervient comme un moyen de communication avec autrui. Au sein d'un groupe, lorsque les gens se sentent bien et libres les uns par rapport aux autres, les rires vont se déclencher plus facilement, ce qui va permettre de renforcer les liens sociaux et les affinités entre les individus.
La syncope du rire est probablement liée à une sensibilité accrue à la manœuvre de Valsalva, aboutissant à une baisse rapide de la tension artérielle, sans tachycardie compensatrice. La présence d'une neuropathie autonome diabétique peut y contribuer.
Les quintes de toux déclenchées par le rire, ou le jeux chez l'enfant, orientent vers l'asthme, car ils signent une "hyperreactivité bronchique ", c'est à dire que la muqueuse des bronches est inflammée et réagit à des stimulations, comme l'hyperventilation du rire et de l'effort, d'autant plus que l'air est froid et ...
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
L'hypersensibilité peut être aussi en soi une cause à des pleurs très réguliers : plus enclins à exprimer leurs émotions, les hypersensibles communiquent avec les autres de cette manière, et ce n'est pas pour autant une faiblesse.
Les larmes sont un outil de communication, explique Patrick Lemoine. Elles permettent d'exprimer ce qui est vécu et ressenti en soi. Peu "bavards", surtout lorsqu'il s'agit de leurs émotions, les hommes pleurent donc moins "fort". Alors que les femmes pleurent pour dire quelque chose à l'autre, eux pleurent "pour eux".