Minimum à savoir (enseignant) Définition : La victime ne répond pas aux questions, reste immobile et respire. C'est une perte de connaissance qui peut se prolonger et être profonde (coma). Les causes des troubles de la conscience sont multiples : - traumatiques, - médicales, - toxiques.
Si une personne ne réagit pas et qu'elle respire, elle est inconsciente. C'est dans ce cas précis qu'il faut mettre la personne en PLS. Si la personne ne réagit pas et qu'elle ne respire pas, elle est alors en arrêt cardiaque.
Comment savoir si la personne inconsciente respire ou pas ? Regardez si les voies respiratoires sont gênées. Il suffit que les mouvements respiratoires soient inefficaces, lents, bruyants et anarchiques pour considérer que la personne ne respire pas et qu'elle est en arrêt cardiaque.
Une priorité : mettre la victime en position latérale de sécurité (PLS) Quel que soit l'enchaînement des événements, si une victime est inconsciente mais respire, le SST ne doit avoir qu'un réflexe : la mettre en position latérale de sécurité (PLS). Cette posture sur le côté prévient les détresses respiratoires.
Une victime est inconsciente et ne respire pas lorsqu'elle ne répond pas aux questions, ne réagit pas à un ordre simple, reste immobile, et lorsque aucun mouvement de la poitrine ou de l'abdomen n'est visible et aucun bruit ou souffle n'est perçu. L'arrêt respiratoire peut précèder ou être associé à un arrêt cardiaque.
Il est préférable d'aborder ce cas en deux temps : vérifier si la victime est consciente et si elle respire, puis positionner la victime en Position Latérale de Sécurité (PLS). Minimum à savoir (enseignant) Définition : La victime ne répond pas aux questions, reste immobile et respire.
Une victime consciente est en mesure de répondre aux questions qu'on lui pose. Elle n'a pas tendance à s'assoupir et peut suivre votre regard. Elle est lucide et elle peut dialoguer.
Pourquoi ne faut-il pas laisser une personne en perte de connaissance allongée sur le dos ? Car elle risque un étouffement par : *Des liquides présents dans la gorge. *La chute de la langue en arrière.
Pour cela, il faut contrôler que la poitrine se soulève et se rétracte régulièrement, on peut également mettre son oreille près de la bouche de la victime pour entendre des bruits de respirations. S'il s'avère que la victime respire encore, il n'est pas préconisé de réaliser un massage cardiaque.
Les étapes de l'intervention - agir vite
La victime ne peut ni parler, ni respirer, ni tousser. Elle peut émettre des sifflements ou tenter de tousser sans émettre de bruit. 5 claques Donnez un maximum de 5 claques dans le dos de la victime. Après chaque claque, vérifiez si tout rentre dans l'ordre.
Vérifiez la respiration de la victime : Vérifiez que la poitrine se soulève et s'abaisse régulièrement. Ecoutez les bruits de la respiration en approchant votre oreille de sa bouche. Essayez de sentir le souffle de sa respiration en plaçant votre joue près de sa bouche pendant 10 secondes.
L'inconscient est un peu comme un disque dur auquel nous n'avons pas accès directement (consciemment), il s'exprime lors de nos rêves, de nos fantasmes ou de nos peurs. Il est dirigé par nos croyances. L'inconscient est très puissant et il prendra toujours le dessus sur le conscient.
La femme enceinte doit être installée sur son côté gauche, pour éviter la compression de certains vaisseaux.
Annoncer l'état d'urgence. Donner l'alerte. Évacuer la zone de danger.
Les claques dans le dos
Se placer sur le côté et légèrement en arrière de la victime ; Soutenir le thorax avec une main ; Pencher la victime vers l'avant ; Donner de 1 à 5 claques vigoureuses dans le dos, entre les deux omoplates avec le talon de la main ouverte.
N'approchez le lieu de l'accident que si cela ne présente aucun risque pour vous. Dans la mesure du possible, assurez la sécurité des victimes et des autres personnes présentes. Si la situation est dangereuse et si vous ne pouvez agir sans prendre de risque, alertez les services d'urgence.
Réagir à un évanouissement : des gestes simples
Si ce n'est pas le cas : laissez la victime allongée sur le sol, surélevez ses jambes (à l'aide d'une chaise ou d'un tabouret), restez auprès d'elle jusqu'à son réveil.
Elle est causée par une baisse de la pression artérielle ( hypotension orthostatique), lors d'un lever brutal, lors de la station debout prolongée, et elle est favorisée par la prise de certains médicaments : anti-hypertenseurs, vasodilatateurs, antidépresseurs... ou par la déshydratation.
La femme enceinte : il est conseillé de la mettre en PLS de préférence sur son côté gauche, pour éviter l'apparition d'une détresse par compression de certains vaisseaux sanguins de l'abdomen.
Interrogez la victime sur ses problèmes de santé et sur son historique médical (diabète, asthme ou antécédents familiaux d'AVC ou d'arrêt cardiaque). Demandez à la victime quelle était l'heure de son dernier repas, la quantité ingérée ainsi que ce qu'elle a mangé.
L'inconscience est une perte de conscience due à une perturbation du cerveau ; la personne inconsciente ne réagit plus aux stimulations de son environnement.
Si la victime est inconsciente et respire, la placer en position latérale de sécurité (PLS). Ce geste de premiers secours sert à assurer la bonne circulation de ses voies aériennes, et donc du passage de l'air jusqu''aux poumons de la victime.