Ceci est à rapprocher de « bosch », bois en bas allemand et néerlandais : « 's-Hertogenbosch » aux Pays-Bas, se traduit en français par « Bois-le-Duc ». Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches. Mais ils en avaient autant pour nous. Outre-Rhin, le terme péjoratif équivalent était « Calmüser », qu'on serait bien en peine de traduire, le mot semblant être un dérivé de patois régionaux.
Les Français ont pendant longtemps donné des surnoms racistes aux Allemands : boche, chleuh, fritz, frisé, prussien, teuton, etc. L'origine de ces surnoms est diverse : "Boche" est un terme d'argot du 19ème siècle qui était utilisé dans l'expression "tête de boche" (synonyme de "tête de bois" ou "tête dure").
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
Un terme péjoratif
C'est aussi un surnom donné par certains aux soldats allemands après la Seconde guerre mondiale, notamment en raison de leur nombre et des pénuries causées par les réquisitions. Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Les Chleuhs (chleuh : ⵉⵛⵍⵃⵉⵢⵏ Icelḥiyen) sont un groupe ethnique berbère de langue chleuhe, variante du berbère, et majoritairement de confession musulmane sunnite qui représentent 55% des berbères marocains (8 à 10 millions de personnes) et vivant surtout dans le centre et le sud du Maroc.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
Pourquoi donc, les palois appellent les bordelais des « doryphores »?
Si les prédateurs naturels du doryphore ne l'ont pas suivi en France, certains de nos insectes auxiliaires sont capables de s'attaquer aux larves. C'est le cas des tachinaires, des staphylins, des carabides ou encore des sauterelles.
Les Français disent l'Allemagne. Pourquoi ? C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus.
1915. « Le surnom de “boche” s'est imposé en 1915. Au début de la Première Guerre mondiale (1914-1918), en août 1914, il n'existait pas encore. Pour désigner les soldats allemands, les Français parlaient d'“alboches”. »
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
Le prénom "Ymir" est une référence à la mythologie nordique, où Ymir est un géant ainsi que la première créature vivante.
Surtout parce que sa forme de titan n'avait pas la structure en forme de masque blanc qui était commune aux Titans Mâchoires. La raison pour laquelle le Titan d'Ymir est différent est qu'elle a passé beaucoup de temps sous sa forme de Titan pur.
Il y a 2000 ans, le village d'Ymir se fit attaquer par la tribu d'Eldia, et ses habitants furent réduis en esclavage d'entre eux Ymir à leur arrivée, les esclaves se firent couper la langue pour les empêcher de parler. Une nuit, Ymir libéra des cochons.