Il n'y a aucun danger pour les yeux, c'est la lune que l'on observe, pas le soleil ? Et pour cette observation, il n'est pas nécessaire de disposer de jumelles ou d'un télescope, car on verra très facilement, à l'œil nu, la progression de l'ombre.
Avec ses 3 470 kilomètres de diamètre et parce qu'elle est très proche de nous comparés aux autres astres du ciel, la Lune offre de nombreuses choses à voir au curieux : forme changeante, détails de surface, rapprochements esthétiques avec d'autres astres… mais aussi quelques surprises qui font travailler l'imaginaire ...
La force gravitationnelle attire ainsi la Lune et la Terre l'une vers l'autre, bien que ce mouvement soit pleinement compensé par la force centrifuge de la rotation de notre planète. Ainsi, bien que ces deux éléments ne bougent pas concrètement, les surfaces liquides présentent sur Terre en sont profondément impactées.
Mers et cratères sur la Lune. Ainsi, il est possible de tenter de repérer la Mer des Pluies (Mare Imbrium), une mer d'un diamètre de 1 123 kilomètres. L'existence de ce bassin est associée à l'impact d'un gros objet. La mer des Pluies se serait formée après le remplissage du cratère d'impact par de la lave liquide.
Avec des jumelles, on aperçoit les grandes structures de la Lune : le spectaculaire cratère Tycho, qui est le résultat d'une grosse collision avec un météore dont on peut observer toute la violence encore aujourd'hui, mais aussi de grandes zones sombres remplies de magma depuis la formation de la Lune.
Ce n'est pas un scoop, aucun instruments optique terrestres ou actuellement en orbite basse de la Terre ne peut distinguer un homme sur la Lune et donc encore moins une lunette aussi grande soit-elle en raison de l'atmosphère qui limitera la résolution pratique à celle d'un instrument de 300-400mm au mieux (en photo " ...
Sélénites (ou Séléniens) est le nom donné aux habitants (imaginaires) de la Lune, leur existence a été présumée à plusieurs reprises à travers les âges. Le terme vient du grec selênitês dérivé du nom de la déesse Séléné (en grec : Σελήνη).
Une "super Lune du tonnerre" sera observable dans la nuit de mercredi à jeudi cette semaine. Une super Lune se produit quand deux phénomènes sont concomitants : lorsque la Lune est pleine et qu'elle se trouve suffisamment proche de son "périgée", le point le plus rapproché de la Terre sur son orbite.
Un jour d'automne en regardant une pomme tomber de son arbre, il réalise qu'une force attire la pomme vers la Terre, la force de gravitation. La même que celle qui s'exerce sur la Lune. Or la Lune ne tombe pas sur notre tête car elle tourne autour de la Terre.
Puisque la gravité de la Lune est moins importante que celle de la Terre, elle n'influence pas la trajectoire de la Terre dans l'espace. Elle fait plutôt bouger les océans, ce qui génère le phénomène des marées. Lorsque la masse d'eau augmente en un point donné sur la Terre, le niveau de l'eau s'élève.
À la surface de la Terre, l'eau est soumise à ces deux forces. Du côté où se trouve la Lune, un bourrelet se crée du fait de l'attraction : c'est la marée haute. Aux antipodes de la Terre, un même bourrelet, quoique de moindre importance, se forme en même temps à cause de la force centrifuge.
À l'approche de la pleine Lune, certaines personnes se disent plus fatiguées et irritables qu'à l'accoutumée. C'est ce que l'on appelle la luno-sensibilité. En cause, le rayonnement de la Lune qui est plus intense pendant la pleine Lune.
La gravité de la Lune aurait une influence sur le corps humain. Celui-ci est composé de 60 % à 80 % d'eau, et, de même que la Lune agit sur la mer, elle agirait sur notre sang. Ainsi, nos cellules connaîtraient un phénomène de « micro-marées intérieures ».
Une étude universitaire suisse a permis de mettre en évidence que pendant la Pleine Lune, notre taux de mélatonine se retrouve fortement perturbé. Or, la mélatonine est une hormone que nous sécrétons naturellement en fin de journée pour préparer notre corps à s'endormir.
La Terre fait un tour sur elle-même en 24 heures et un tour du Soleil en 365 jours. Nous connaissons cet énoncé par coeur depuis l'enfance, et pourtant il n'est pas rigoureusement exact. Ainsi, en 2020, notre planète a tourné sur son axe plus rapidement qu'elle ne l'avait fait en un demi-siècle.
Au fur et à mesure que la Terre tourne, la partie affectée par l'attraction lunaire change, créant une marée haute toutes les 12 heures. De plus, la Lune permet de stabiliser l'axe de rotation de la Terre, et donc son climat.
Quand la Lune est en phase pleine, nous ne pouvons pas la voir en plein jour. Les 3 astres forment un alignement mais la Terre se trouve entre le Soleil et la Lune. En plein jour, on lui tourne le dos. Les jours qui suivent la pleine lune, à sa phase décroissante, on peut apercevoir, le matin, sa partie gauche.
Atteints d'une maladie héréditaire très rare connue sous le nom de xeroderma pidementosum (XP), les enfants de la lune souffrent d'une hypersensibilité aux rayonnements ultraviolets, qui leur interdit toute exposition au soleil.
Pourquoi la pleine lune fatigue ? La pleine lune fatigue parce qu'elle a tendance à rallonger notre phase d'endormissement.
On les appelle les enfants de la Lune parce qu'ils ne doivent pas être exposés aux rayons ultraviolets. Un joli nom pour une maladie génétique rare nommée : Xeroderma Pigmentosum.
Après la dernière Super Lune de l'année 2022 qui s'est produite le 12 août, il faudra patienter jusqu'au 3 juillet 2023 pour observer cet événement astronomique.
L'absence de gaz à effet de serre ne protège pas la Lune des radiations solaires ni des fortes amplitudes de températures, qui atteignent +120°C le jour, tandis que pendant la nuit, celle-ci descend à -170°C, avec des pointes à -230°C dans le fond des cratères du pôle sud.
Explication. La Lune prend une apparence cuivrée (parfois qualifée à tort de rousse) à chaque fois qu'elle est basse sur l'horizon, car la lumière du Soleil qui l'éclaire est filtrée en passant au travers de l'atmosphère terrestre.