Si un étudiant a la flemme de réviser c'est donc par manque de motivation. Et ce manque de motivation pourrait venir d'un manque de confiance en soi. En effet, certaines idées défaitistes peuvent vous envahir. Vous pensez que même si vous travaillez, vous n'allez pas réussir.
En 2021, 70% des étudiants affirment qu'ils n'ont plus envie d'étudier (3500 étudiants ont été questionnés pour réaliser cette enquête). Pour cause, de nombreux facteurs peuvent entraîner la baisse de motivation des étudiants : le manque de soutien, la perte de confiance en soi et en ses capacités…
Le manque de concentration est une grande cause de découragement dans les études : un étudiant peu concentré perd en effet du temps à relire les mêmes choses, il ne parvient pas à mémoriser ses cours, perd le fil des raisonnements et se fatigue au final beaucoup pour un résultat médiocre.
La première cause du manque de motivation est la fatigue et le surmenage. Quand vous êtes fatigué, vous avez moins d'énergie pour agir et donc moins de motivation. Quand vous dormez mal la nuit par exemple, vous avez ensuite beaucoup plus de mal à vous motiver à faire des choses le lendemain.
Les causes d'un manque de concentration sont très variées et peuvent être de nature psychologiques et/ou physiques. Des facteurs environnementaux tels que le bruit, le stress, l'agitation, la chaleur ou un air de mauvaise qualité peuvent provoquer un manque de concentration.
Apprendre quelque chose par la lecture, dans un cours, par imitation, par essai et erreur, peut être un plaisir en soi. C'est le type de motivation le plus favorable à la mémorisation de connaissances, à la curiosité, à la recherche et à la créativité.
Enfin, pour stimuler l'envie d'apprendre chez les élèves de primaire, il est important de créer un environnement d'apprentissage adapté. Vous pouvez créer un environnement d'apprentissage positif. Par exemple, en encourageant les élèves, en les valorisant pour leur travail et en les félicitant pour leur progression.
Comment être motivé tous les jours
Définir une échéance/date à laquelle vous souhaitez réaliser cet objectif. Découper cet objectif en sous-objectifs/étapes. Etaler ces étapes par des objectifs journaliers/hebdomadaires. Et planifier votre réussite avec ce plan d'actions.
Le sentiment d'accomplissement, le besoin de subvenir à ses besoins ou à ceux de sa famille, le désir de faire une différence dans le monde, ou simplement le besoin de gagner un salaire peuvent tous être de puissants facteurs de motivation. Pour moi, c'est un mélange de tous ces facteurs.
2 facteurs principaux : votre méthode d'apprentissage, et le contexte. Le contexte : Vous êtes stressé en ce moment, peut-être à cause d'un examen qui approche ou d'un problème extérieur qui vous bouffe une partie de votre cerveau. Sachez que ces types de stress joue pour environ 40% de vos capacités de mémorisation.
Alterner régulièrement le temps de travail et les pauses relaxation pour une meilleure concentration et des conditions optimales d'apprentissage. Espacer les temps de révision pour une mémorisation durable. Utiliser tous ses sens pour une bonne mémorisation. Travailler en groupe pour parler ensemble des apprentissages.
Le trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité affecte le champ d'attention et la concentration, et peut s'accompagner d'impulsivité et d'hyperactivité.
Les intolérances et les allergies. Le brouillard cérébral (brain fog) peut également être un indice d'intolérance ou même d'allergie à certains aliments. Le gluten, en particulier, est soupçonné de limiter la performance du cerveau - et pas seulement chez les personnes atteintes de la maladie coeliaque.
Il faut privilégier les compléments alimentaires contenant des vitamines du groupe B qui participent à la synthèse de l'acétylcholine qui est un neurotransmetteur, du zinc qui aide à maintenir les fonctions cognitives et des oméga3, acides gras qui renforcent la structure des neurones.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
C'est quoi l'apathie ? L'apathie est une diminution ou perte de la motivation dans des aspects comme s'orienter vers un objectif, activité cognitive et expression émotionnelle. Avoir de l'apathie, c'est avoir une difficulté à se mobiliser pour faire des activités.
"L'aboulie et le manque de motivation sont liés à un déficit ou à une dysrégulation de certains neuromédiateurs (sérotonine, noradrénaline) mais en particulier de la dopamine, neurotransmetteur de la motivation à grande implication dans les circuits de la récompense", d'après Samuel Mergui, psychologue.
La personne se sent triste, vidée, sans espoir ; un abattement et une perte d'intérêt et de plaisir pour des activités du quotidien et aussi pour les activités habituellement agréables.