- Moins de stress et plus d'optimisme : des chercheur·se·s de l'université de Stanford (Etats- Unis) ont montré qu'une marche de 90 minutes dans la nature avait un impact sur le cortex pré-frontal, diminuant ainsi de façon significative le stress et le pessimisme.
En effet, il suffit de deux heures par semaine passées dans un parc, un champ ou une forêt pour améliorer son état de santé et son bien-être. Le fait d'être dans la nature a un effet relaxant qui peut diminuer le stress et les risques de dépression et d'anxiété, mais aussi améliorer les capacités d'apprentissage.
La nature peut être présentée comme un modèle d'efficacité qui fait bien les choses, et ici l'évaluation (« bien ») porte sur le processus de production et non sur le résultat, qui, lui, est susceptible d'être modifié et enrichi.
Pour commencer, l'écosystème nous donne des produits, comme de la nourriture et de l'eau potable. Grâce aux plants de coton et à la laine des animaux, nous pouvons fabriquer des vêtements qui nous permettent d'avoir chaud. Le bois des arbres nous permet de construire des meubles et des habitations.
Il semble que la solution se trouve dans la nature. Le psychologue cognitif David Strayer avance l'hypothèse que « le fait d'être dans la nature permet à notre cortex préfrontal, le centre de contrôle de notre cerveau, de ralentir et de se reposer, à la manière d'un muscle surmené ».
Tout ce dont les humains ont eu besoin pour survivre, et prospérer, leur a été fourni par le monde naturel qui nous entoure : nourriture, eau, médicaments, matériaux pour des abris, et même les cycles naturels comme le climat et les substances nutritives.
On peut expliquer cet attrait par des raisons esthétiques, certes, mais aussi par le sentiment de puissance qu'il confère à l'Homme, enfin maître de la moindre pousse.
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
Les effets de la nature sur notre corps sont indéniables: baisse de notre taux de cortisol (hormone du stress), de notre fréquence cardiaque, augmentation de l'activité de notre système immunitaire… La nature revitalise et régénère. L'air qu'on y respire est bénéfique car beaucoup moins pollué qu'en ville.
Nous ressentons de l'harmonie, parfois de l'émerveillement ou une contemplation. Cela peut provoquer de la joie, de la sérénité, du bonheur… Mais la vision d'une nature désertique ou silencieuse peuvent aussi nous rendre nostalgiques, tristes ou nous faire ressentir une solitude désagréable.
Par exemple, le champ lexical de la nature est l'ensemble des mots qui s'y rapportent : {{"|forêt, clairière, branche, feuille, nid, pin, chêne, scie, bûcheron, bois, buisson, animaux, castor, roche, rivière, cascade, sentier, blé, l'herbe, vent... »
Car nos rejets atmosphériques accentuent l'effet de serre naturel, qui contribue à chauffer notre planète. Pour cela, il faut notamment veiller à limiter notre consommation d'énergie. Veiller à ne pas détériorer le climat, c'est préserver l'équilibre fragile de la Terre et donc l'avenir de l'humanité.
94% des répondants reconnaissent les bienfaits du temps passé en nature sur leur santé physique et mentale. 88% estiment que la nature diminue le stress et améliore la concentration au travail. 87% se disent plus heureux lorsqu'ils se sentent connectés à la nature.
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).
On inspire profondément pour profiter des composés organiques qui émanent des arbres, tels que les terpènes produits par les conifères, aux vertus dynamisantes. On ressent quoi ? Un calme intérieur proche de la méditation. On se déconnecte du monde extérieur pour être à l'écoute de ses sensations et de la nature.
La culture est toujours le résultat d'un effort de l'homme, qui transforme la nature pour produire lui-même quelque chose. On considère que la culture est opposé à la nature. Ces définitions nous pousse à nous demander si l'Homme peut vivre sans culture.
La culture est l'ensemble des processus par lesquels l'homme transforme la nature. C'est l'ensemble des techniques, institutions, et traditions d'un groupe humain. La nature est tout ce qui existe, c'est-à-dire, tout ce qui entoure l'homme et qui n'est pas de son œuvre.
L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
[En parlant d'une pers.] Qui vit dans la forêt; qui aime la forêt. Synon. sylvain.
la definition du naturophile : qui aime la nature.
Chez l'homme, toutes les parties qui entourent le pénis sont très sensibles au toucher. La principale zone érogène est le gland, puisque c'est l'endroit le plus riche en capteurs sensoriels. La stimulation de cette partie du sexe masculin augmente l'excitation sexuelle.
"La nature offre à la fois ce qui nourrit le corps et le guérit, émerveille l'âme, le cœur et l'esprit." "Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre."
Passer du temps dans la nature permet de s'accorder une vraie pause à ne “rien” faire, hormis profiter de l'instant présent et être conscient de l'environnement autour de soi. Enfin, ces moments où l'on a aucun impératif, aucune distraction stressante, sont vraiment propices pour faire le vide et faire le plein…
La nature est éternellement jeune, belle et généreuse. Elle verse la poésie et la beauté à tous les êtres, à toutes les plantes, qu'on laisse s'y développer. La beauté n'est qu'un piège tendu par la nature à la raison. La beauté est un voile que la nature a mis sur le monde pour nous le rendre tolérable.