En situation de concurrence, la recette marginale correspond au prix du marché puisque l'entreprise n'est pas en mesure de « faire le prix » ; elle est preneuse de prix sur le marché. La recette marginale doit être supérieure au coût marginal de façon à dégager un profit unitaire.
Sa recette marginale est décroissante, car pour vendre une unité supplémentaire, le monopole, qui est price maker, doit réduire le prix du marché pour toutes les unités produites : vendre une unité de plus lui rapporte alors de moins en moins par unité.
Cela correspond à la pente de la fonction de coût total en tout point. La hausse de recette obtenue en augmentant la quantité de Q à Q + 1. Ainsi, la condition de premier ordre nous dit que quand Q est à son niveau maximisant le profit, la recette marginale est égale au coût marginal.
Lorsque le coût marginal est supérieur au coût moyen de production, ce dernier est croissant ; lorsqu'il est inférieur au coût moyen, ce dernier est décroissant. Le minimum de coût moyen est atteint lorsque le coût moyen est égal au coût marginal.
Raisonnez avec le coût marginal et la recette marginale.
S'il produit une unité de plus alors la recette marginale devient inférieure au coût marginal ce qui signifie que l'unité supplémentaire produite va couter plus cher que ce qu'elle va rapporter, le monopoleur perd donc de l'argent à produire une neuvième unité.
Parce qu'en concurrence pure et parfaite, la recette marginale pour une unité supplémentaire du bien était le prix du bien. Là elle est inférieure car en produisant une unité de plus, le monopoleur fait baisser son prix.
Le prix du bien est identique à son revenu moyen et marginal. Une entreprise maximise ses profits en choisissant la quantité produite telle que le coût marginal est identique au revenu marginal (= prix) et donc la courbe d'offre de l'entreprise est donné par son coût marginal.
- Les rendements d'échelles sont décroissants. La conséquence est que le coût marginal est croissant, car plus le niveau de production est important, plus il faut utiliser un nombre élevé de facteurs de production, dont la productivité marginale est décroissante.
Recette Marginale : Rm = RT(n)-RT(n-1) avec Recette Moyenne : RM = RT/Q.
Le coût marginal est le coût que l'entreprise va devoir débourser pour produire la dernière unité de bien (par exemple pour produire le dernier t-shirt sorti de l'usine).
Il existe diverses formes de monopole : monopole institutionnel, monopole d'innovation et monopole naturel.
Le coût total est la somme de tous les coûts. Le coût moyen est le coût unitaire, le coût d'un bien produit. Pour le calculer, on divise le coût total par le nombre de biens produits. Le coût marginal est le coût de la dernière unité produite, c'est le supplément du coût dû à une production supplémentaire.
Dans une situation de monopole, le surplus total est plus faible qu'en concurrence pure et parfaite et la situation n'est pas optimale pour la société. Le surplus du consommateur est la différence entre le prix auquel le consommateur est prêt à payer le bien et le prix du marché.
Le profit augmente tant que la production d'une unité supplémentaire entraîne une augmentation des recettes (recette marginale) plus élevée que l'augmentation du coût total (coût marginal c'est à dire le coût de la dernière unité produite)... il diminue dès que le coût marginal devient plus élevé que la recette ...
Le seuil de fermeture (SF) correspond au prix le plus bas pour lequel il y a une quantité offerte. Il est atteint pour un prix correspondant au minimum du CVM. Au seuil de fermeture, tous les coûts variables sont couverts.
la recette totale correspond à l'ensemble des sommes perçues suite à une activité, le plus souvent commerciale (vente de biens ou services, produits sur placement financiers, etc.) ; la recette moyenne (ou recette unitaire) est la recette totale, divisée par la quantité produite ; la recette marginale est la recette ...
Le coût marginal permet ainsi de déterminer un optimum technique de production pour certaines organisations qui est inclus dans une zone de bénéfice. Le coût marginal permet d'optimiser le potentiel de production de certains outils d'aide à la décision.
La recette marginale est égale à zéro lorsque la courbe de recette marginale a atteint sa valeur maximale. Un exemple serait un vol aérien régulier.
L'utilité marginale et la loi de la demande
La loi de l'utilité marginale décroissante nous dit que le changement de bien-être diminue à mesure que nous consommons de plus en plus d'unités. La volonté de payer pour une unité supplémentaire diminue donc au fur et à mesure que nous consommons des unités.
L'utilité marginale d'un bien est l'augmentation de l'utilité totale obtenue à partir de la consommation d'une unité supplémentaire de ce bien, si la consommation des autres biens reste constante.
Ses hypothèses sont l'atomicité, l'homogénéité, la fluidité, la transparence et la libre circulation des facteurs de production ; Sa théorie est le fondement de celle de l'équilibre général des marchés.
En concurrence parfaite, la recette marginale d'une entreprise est égale au prix du marché.
Le concept du prix d'équilibre en économie désigne le prix auquel il y a équilibre entre l'offre et la demande sur le marché. On parle de prix d'équilibre car à ce prix, toutes les quantités offertes d'un bien ou service sont vendues, et toutes les quantités demandées de ce bien ou service sont achetées.
À partir du moment où le coût marginal devient plus élevé que la recette marginale (ou prix de vente), chaque unité produite supplémentaire entraîne une baisse du profit total. Le point de croisement entre la courbe de coût marginal et la droite de recette marginale est appelé : l'optimum de production.