Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
Si vous avez fait vous-même un pansement, changez-le tous les jours pendant 2 à 3 jours, puis tous les 2 jours si la plaie est propre (sans rougeur ni suintement). Si vous avez une prescription médicale concernant le changement des pansements, suivez-la.
Parce qu'elle va prévenir la formation de croûtes
La cicatrisation des plaies en milieu humide permet d'éviter la formation d'une croûte. Dans ces conditions, l'humidité favorise la division et la migration cellulaire.
Le pansement est un dispositif médical (et non plus des médicaments depuis la circulaire juillet 1998) clé dans les soins infirmiers, il est utilisé pour couvrir, protéger et favoriser la guérison d'une plaie.
Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
Inversement, à l'air libre, la croûte se forme très vite et empêche les tissus de se régénérer correctement. Il en résulte alors une cicatrisation douloureuse, lente et un fort risque d'en conserver une trace indélébile sur la peau. Mais attention, tout cela ne fonctionne que si l'humidité est bien régulée.
Plusieurs situations exposent à un retard de cicatrisation : carences en certains nutriments (protéines, vitamines, etc.) ; infections, certaines causes cardiovasculaires, tabagisme, consommation importante et régulière d'alcool, radiothérapie, alitement, âge avancé, obésité, diabète.
La solution de Betadine convient au rinçage et à la désinfection des coupures ou piqûres superficielles. Elle prévient et traite les infections des petites et grandes plaies, et réduit le risque de cicatrices. Le médicament ne pique pas, et offre ainsi une bonne tolérance.
La cicatrisation dure environ 21 jours et ne peut pas être accélérée. «Mais une cicatrice peut encore évoluer, se remanier longtemps.
Les bactéries: lorsqu'une plaie n'est pas recouverte par un pansement, les bactéries peuvent pénétrer dans la plaie, causer des infections et retarder la cicatrisation. L'eau: une protection imperméable est indispensable pour éviter que la plaie n'entre en contact avec l'eau.
Le pansement irrigo-absorbant est le pansement de 1ère intention pour nettoyer, relancer la cicatrisation de tout type de plaie : exsudative ou sèche, même infectée.
Le miel comme cicatrisant naturel
Il rappelle dans sa thèse « Le miel comme agent cicatrisant » que les plaies soignées avec du miel se referment de façon spectaculaire et en très peu de jours. Le miel permet aussi d'améliorer l'aspect des cicatrices.
La plaie bourgeonnante
Elle présente un aspect rouge. Cela traduit la présence d'un tissu en bonne voie de cicatrisation. Cet aspect de la plaie est le signe d'une bonne vascularisation qui permet la migration et l'implantation des fibroblastes.
Les signes d'infection à surveiller :
Enflure, rougeur et chaleur autour de la plaie. Douleur ou sensibilité dans la zone entourant la plaie. Écoulement ou collection de pus.
Iso-Bétadine dermique (flacon jaune) : il s'agit d'un désinfectant classique pour la peau et tout type de blessures ; Iso-Bétadine savon germicide (flacon rouge) : il s'agit d'un savon désinfectant pour un lavage antiseptique.
Elle est référencée dans la pharmacopée comme solution antiseptique topique et désinfectante. Cette solution formulée avec de la povidone iodée permet de désinfecter les plaies, les muqueuses et les brûlures superficielles.
Ce médicament associe un antiseptique local qui contient de l'iode et un agent moussant détergent. Il est utilisé pour nettoyer la peau et les muqueuses (lavage des mains, préparation avant opération) et pour assurer l'antisepsie des lésions infectées ou exposées à un risque d'infection.
Les patients qui subissent des opérations majeures objectivent des signes de fatigue qui durent beaucoup plus longtemps que la douleur, la cicatrisation des plaies et l'hospitalisation. La fatigue postopératoire est un fait réel qui retarde le retour à la normale des activités de tous les jours et de la qualité de vie.
Quelles sont les complications éventuelles des plaies ? Une plaie ou une excoriation peut être suivie de complications infectieuses. L'infection, qui apparaît dans les jours qui suivent le traumatisme, se manifeste par une rougeur, une douleur et la présence éventuelle de pus.
La langue est la partie du corps qui cicatrise le plus vite. Il s'agit, en effet, de l'un des organes les plus vascularisés. Les cellules qui participent au processus de guérison peuvent donc arriver plus rapidement et en plus grand nombre sur la blessure.
Le processus de cicatrisation commence dès les premières minutes après le début de l'agression. Dans tous les cas de figure, la cicatrisation cutanée va suivre la même évolution. Ce qui va changer selon les cas, est la longueur des phases de cicatrisation. Quand on se blesse, dans un premier temps on saigne.
Lorsqu'on a une plaie, le corps envoie des agents chimiques aidant la guérison. Parmi ces agents, il y a l'histamine (présente également lors de certaines réactions allergiques). Celle-ci provoque la démangeaison, et voilà le travail.
Pour aider la peau blessée à guérir, utilisez de la vaseline pour garder la plaie humide. La vaseline empêche la plaie de se dessécher et de former une croûte. Les plaies avec des croûtes mettent plus de temps à guérir. Cela aidera également à empêcher une cicatrice de devenir trop grosse, profonde ou irritée.