Des gaz naturellement présents dans l'atmosphère, comme l'ozone (O3), la vapeur d'eau (H20), le protoxyde d'azote (NO2), le méthane (CH4) ou le dioxyde de carbone (CO2), empêchent une partie de ce rayonnement de s'échapper dans l'espace et le renvoient vers la terre, ce qui la réchauffe. C'est l'effet de serre.
L'effet physique est le suivant: les gaz dits «à effet de serre» agissent comme un toit en verre. Ils permettent à la lumière du soleil, formée de courtes ondes, de rayonner sans obstacle sur terre. La surface de la planète absorbe en partie ces rayons et les renvoie dans l'atmosphère sous forme de chaleur.
Ainsi, la quantité d'énergie solaire piégée dans l'atmosphère augmente. Cette énergie solaire piégée entraîne une augmentation de sa température. En résumé, une augmentation des gaz à effet de serre entraîne un réchauffement du climat.
Le CO2 retient la chaleur pour plusieurs raisons. Tout d'abord, c'est un gaz à effet de serre qui absorbe le rayonnement infrarouge émis par la Terre et qui est renvoyé vers l'atmosphère. Ensuite, la concentration de CO2 dans l'atmosphère augmente et avec elle, la capacité du CO2 à retenir la chaleur.
Le dioxyde de carbone (CO2) : bien moins présent dans l'atmosphère que la vapeur d'eau, le CO2 participe à 25% de l'effet de serre car sa capacité à retenir la chaleur est très élevée. Le méthane (CH4) Le protoxyde d'azote ou oxyde nitreux (N2O) L'ozone (O3)
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l'atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750).
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone.
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
C'est dans l'atmosphère qu'on retrouve l'air qu'on respire et les nuages. L'atmosphère agit comme les vitres d'une serre : elle laisse passer les rayons du soleil, mais elle ralentit la sortie de la chaleur. C'est pour cette raison qu'on appelle ce phénomène « l'effet de serre ».
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.
Le CO2 est un gaz à effet de serre qui a pour effet d'emprisonner la chaleur, causant peu à peu un réchauffement de la planète. Il persiste dans l'atmosphère et les océans durant des milliers d'années.
Il existe deux facteurs à l'origine de la survenue de l'hypercapnie : L'inhalation d'un air trop riche en dioxyde de carbone : en cas de pollution de l'air par du gaz carbonique ; dans une atmosphère confinée, comme par exemple sous la neige ou dans une cavité dans une grotte.
L'horizon est généralement l'année 2100, dans 80 ans. Cela ne veut pas dire qu'en 2100 le réchauffement s'arrêtera magiquement ! C'est simplement pour donner une référence.
le méthane a un “pouvoir de réchauffement global” (GWP = Global Warming Potential) 25 fois supérieur à celui du CO₂.
Les causes de l'effet de serre
Les principaux gaz à effet de serre (GES) qui sont exclusivement responsables de l'effet de serre sont le dioxyde de carbone, l'ozone, le méthane et la vapeur d'eau.
Le CO2 est le déchet ultime de la combustion des hydrocarbures, tels que le pétrole, mais aussi de toute activité industrielle utilisant des ressources carbonées fossiles. Ce produit, de basse énergie, a une réactivité très faible.
C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente. Le Soleil nous envoie un rayonnement composé d'un peu d'ultraviolets, et surtout de lumière visible et d'infrarouge proche.
Dans une serre, ce sont la vapeur d'eau et le CO2 principalement qui emprisonnent cette chaleur, aidés donc par les parois de la serre de jardin. Donc quelle que soit la température extérieure, il fait toujours plus chaud dans une serre. La différence est bien sûr très variable en fonction de la serre en question.
Les conséquences seraient celles que l'on connaît : réchauffement climatique, hausse du taux de ppm dans l'atmosphère, et affaiblissement considérable de la couche d'ozone.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
La Chine est le 1er émetteur de gaz à effet de serre, devant les États-Unis, le premier étant un exportateur de CO2 le deuxième un importateur. Ces deux pays représentent 43 % du total des émissions de CO2 liées à l'énergie en 2017.
Le consensus scientifique est écrasant : oui, la planète se réchauffe et oui, l'activité humaine est la principale cause de ce réchauffement. Le lac Urmia, en Iran, est un habitat essentiel pour les oiseaux et était autrefois une destination touristique populaire.