Le titre est symbolique : dans le livre, la tresse représente un lien entre les trois femmes, en référence à cette coiffure qui unit trois mèches de cheveux. À chaque chapitre, le personnage principal est différent du précédent : les histoires différentes de Smita, Giulia et Sarah, sont chacune à leur tour racontées.
Pourquoi ce livre? Parce que ce livre raconte la vie de 3 femmes qui décident de se battre. Parce qu'on a l'impression de lire 3 nouvelles indépendantes et qui pourtant ont un point en commun. Parce que c'est un hymne à la Femme.
La tresse mêle le pathétique et l'épique, la fiction et le documentaire, et montre comment la domination subie par les femmes prend des aspects variés selon les sociétés. Le roman dénonce ainsi autant l'injustice du système des castes en Inde que la violence machiste du monde du travail dans nos sociétés modernes.
L'idée de ce roman choral ayant pour nœud le commerce des cheveux, lui est venue d'un documentaire sur l'Inde. Quelques temps après elle apprenait le cancer du sein d'une amie. Son héroïne indienne, Smita, et son personnage canadien, Sarah, étaient nées.
Depuis, La Tresse s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires (toutes éditions confondues) et est traduit en 34 langues. Ce qui ressort, c'est que La Tresse serait un roman « de femmes » car il peint le destin croisé de trois femmes, sur trois continents différents.
La Tresse est un roman polyphonique puisqu'il entrecroise les histoires de trois femmes : Giulia, jeune Sicilienne qui se retrouve à la tête de l'entreprise de fabrication de perruques de son père ; Sarah, avocate brillante à Montréal, et Smita, jeune femme indienne Intouchable.
A la fin, la mère trouve un travail et la fille intègre l'école de l'Espoir. Personne en leur demande de balayer et personne ne les bat. Le père finit par les rejoindre et la famille est réunie pour une nouvelle vie pleine d'espoir.
Autour du Vème siècle, ils ont apporté leur pierre à l'histoire de la tresse : ces tribus germaniques et celtiques du Nord de l'Europe arboraient en effet barbe et cheveux longs, qu'ils tressaient vers l'arrière de la tête et sur les côtés du visage.
Ce roman nous parle de trois femmes sur trois continents. Des femmes que tout semble opposer, mais qui seront reliées par un fil de vie. Un très beau roman, très féministe, qui montre les luttes incessantes pour rester digne et maîtresse de son destin. Trois femmes fortes et puissantes chacune à leur manière.
Le contexte littéraire serait le courant littéraire dans lequel s'inscrit l'oeuvre, mais aussi les informations concernant son auteur(trice).
Giulia a 20 ans, est très proche de son père, patron d'une usine de triage et d'entretien des cheveux, la dernière du genre, et dans laquelle la jeune femme travaille au côté des autres ouvrières, devenues ses amies.
Lorsque Giulia apprend que son père est victime d'un accident de la route (avec sa Vespa), elle rencontre fortuitement Kamal, un immigré Indien à qui les policiers intiment l'ordre d'enlever son turban. Elle tombe sous son charme.
La tresse ou le voyage de lalita : Laetitia Colombani - 2246816300 - Livres pour enfants dès 3 ans | Cultura.
Guilia, en Sicile, travaille dans l'atelier de son père et doit se battre pour maintenir l'activité de l'entreprise familiale au décès de ce dernier. Sarah, au Canada, est promue à une brillante carrière d'avocate mais doit mener un combat injuste et difficile contre le cancer.
En Afrique du Nord, les gens portent la tresse à trois brins cueillie depuis des milliers d'années, et les premières preuves de ce style nous parviennent de la chaîne de montagnes du Tassili n'Ajjer en Algérie. Dans ce pays, l'art rupestre représentant des femmes portant des tresses ramées remonte à près de 6 000 ans.
Sarah, votre héroïne, est une « superwoman ». Une avocate qui, confrontée au cancer, voit sa vie professionnelle s'écrouler. Sarah est poussée vers la sortie par son entreprise à cause de son cancer.
Smita coupe ses cheveux et ceux de sa fille pour rendre à leur Dieu Vishnou « la seule chose que la vie leur ait donnée, cette parure, ce cadeau qu'elles ont reçu du ciel » ; Giulia se résout à abandonner le 100 % italien et fabriquer des perruques avec des cheveux indiens ; et Sarah qui, subissant les premiers effets ...
Nagarajan est le papa de Lalita. Comme Smita, Nagarajan n'a pas choisi son travail. Il a dû faire le même travail que son papa. Nagarajan fait aussi un travail que personne ne veut faire.
Giulia, la Sicilienne, catholique : commerçante
À Palerme. Giulia aide son père dans son atelier de confection de perruques. Le jour où son père meurt, Giulia découvre – par hasard – que l'entreprise familiale est vouée à la faillite.
Giulia réside à Palerme en Sicile. Elle travaille dans l'atelier de son père, une entreprise familiale qu'elle connaît depuis toujours et qu'elle affectionne tout particulièrement. C'est un lieu vivant, grouillant de femmes qui adorent bavarder, qui mettent tout leur cœur à l'ouvrage.
Voici les principaux courants littéraires :
Le classicisme (1650-1700) Les Lumières (1720-1770) Le romantisme (1820-1850)
Dégager l'idée principale du texte et son argumentation
Il faut repérer la thèse de l'auteur et chercher quelle idée elle illustre (une opposition, un rapprochement entre deux notions, etc.) Cette première approche permet de saisir le sens du texte du début à la fin. Il faut ensuite analyser les articulations logiques.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Introduisez par une expression → Ceci est notable à travers … / C'est ainsi que … / Tel est le cas dans … / À travers cet exemple … Variez les verbes pour votre analyse → L'exemple montre / illustre / traduit / témoigne de / souligne / démontre / insiste sur / révèle / reflète, etc.