Vous commencez à respirer plus rapidement pour faire entrer plus d'oxygène et votre cœur bat plus vite pour pomper plus de sang vers vos muscles. Certains vaisseaux sanguins se contractent, diminuant l'apport sanguin vers vos organes vitaux pour qu'il soit davantage disponible pour votre cerveau et vos muscles.
Face à une situation stressante, ce qu'on appelle un stresseur, le cœur s'emballe, le souffle devient court et nous avons des difficultés à respirer. Un rythme respiratoire très accéléré rend la respiration superficielle, et en fait, l'air pulmonaire n'est pas renouvelé efficacement.
La respiration est physiologique et vitale. Mais quand vous souffrez de stress, votre respiration est comme « bloquée ». Vous respirez de manière anarchique et vous ne répondez plus aux besoins de votre organisme. Votre souffle devient plus court, mais aussi plus rapide, vous avez l'impression d'étouffer…
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
Troubles respiratoires
Asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), obstruction par un corps étranger, emphysème pulmonaire, infection des voies respiratoires (laryngite, bronchite, pneumopathie…), cancer bronchique, embolie pulmonaire et tabagisme.
Exercez-vous: assis, allongé ou même debout, mains sur le ventre pour sentir le va-et-vient respiratoire, inspirez pendant 3 s par le nez en gonflant le ventre comme un ballon, bloquez l'air 3 s puis expirez lentement par la bouche pendant 6 s en laissant le ventre dégonfler jusqu'à se creuser.
Mode d'emploi : Prenez une grande inspiration, puis bloquez votre respiration 5 à 10 secondes en mettant en tension tout votre corps. Expirez très doucement en relâchant la tension. Pratiquez l'exercice au moins trois minutes. Cela aura pour effet de diminuer vos tensions musculaires.
Sortez légèrement la poitrine pour diminuer la pression exercée sur le diaphragme et lui permettre de se relâcher davantage. Placez les deux pieds sur le sol. Penchez légèrement la poitrine vers l'avant. Posez les coudes sur les genoux.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
La camomille, souvent utilisée sous forme de tisane, peut également être utilisée sous forme d'huile essentiel pour ses propriétés apaisantes aidant à diminuer les tensions et les angoisses.
La vulnérabilité aux troubles anxieux résulte toujours de l'interaction de plusieurs facteurs : génétiques, environnementaux, psychologiques et/ou développementaux. L'impact de chacun de ces facteurs varie d'une personne à une autre et, chez une même personne, en fonction des moments de la vie.
Mesurer sa fréquence respiratoire
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Toujours en phytothérapie, l'infusion de gingembre est recommandée pour nettoyer naturellement vos poumons et les fortifier. Elle les aide à se débarrasser du mucus, des toxines et de divers allergènes. Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
La gêne respiratoire ou la difficulté respiratoire, aussi appelée dyspnée, se traduit par une difficulté à respirer pleinement. C'est un symptôme subjectif défini par le patient lui-même, mais qui peut cependant avoir une composante objective et être visible lorsque la dyspnée est importante.
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
Le stress s'apparente alors à une relation de cause à effet : quelque chose se produit dans l'environnement et cela génère du stress. L'anxiété est une vague et parfois intense sensation de danger et de malaise. La personne anticipe de façon négative un évènement qui pourrait survenir dans le futur.
Le ginseng pour s'adapter au stress
Cette plante de la famille des araliacées est utilisée dans la tradition chinoise pour améliorer les états de stress grâce à son action calmante sur l'organisme et ses vertus adaptogènes.