Pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut moins rouler en voiture. Ce n'est plus un secret. L'automobile est une source importante de gaz à effet de serre, principalement du CO2, à cause du nombre de kilomètres parcourus chaque année. On émet 2100 kg de CO2 tous les 15000 km en moyenne.
Faire des pauses régulièrement lors d'un long trajet est indispensable pour des raisons de sécurité, que cela soit pour vous ou les éventuels passagers qui vous accompagnent. Les longs trajets en voiture sont en effet fatigants. Au fil des heures, l'attention des conducteurs diminue et la fatigue se fait sentir.
Pour réduire l'impact écologique de votre véhicule, minimisez le nombre de trajets effectués dans la semaine en planifiant vos itinéraires : regroupez les destinations proches, et assurez-vous de ne pas avoir à repasser à votre domicile entre deux balades.
Tels sont les gestes clés afin de limiter l'impact des déplacements en voiture de chacun. Julien Vidal conseille également d'utiliser des transports alternatifs à la voiture. En effet, le métro émet jusqu'à 50 fois moins de CO2 qu'une voiture. Quant à lui, le vélo est plus rapide, moins cher et meilleur pour la santé.
Des impacts majeurs sur l'environnement et sur la santé
Environ 90 % des émissions de particules primaires et d'oxydes d'azote liées au transport routier proviennent des véhicules Diesel. Et la pollution de l'air a de nombreux impacts sur notre santé.
Notre engagement quotidien pour une mobilité respectueuse de l'environnement. En dehors de la mobilité douce, le train est le moyen de transport le plus éco-énergétique et le plus respectueux de l'environnement.
Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre et ses impacts sur l'environnement sont nombreux : pollution de l'air, de l'eau, nuisance sonore, modification des paysages ou encore contribution au changement climatique.
Le report sur des modes de déplacement moins polluants comme le bateau ou le train permet donc de réduire notablement ses émissions de CO2 transport. Il existe aussi d'autres leviers comme : la mise en œuvre de technologies moins émettrices (GNL ou hydrogène), l'adoption de l'écoconduite, etc.
La priorité est, en une génération, de décarboner tous les transports : véhicules, camions, trains, avions, bateaux... donc de se passer au maximum de carburants fossiles, à base de pétrole. Cela signifie donc convertir le parc de voitures en électrique et miser sur de nouvelles technologies comme l'hydrogène.
Elles causent des cancers et maladies respiratoires. En France métropolitaine, on estime que les particules fines sont responsables de plus de 40 000 décès chaque année, selon Santé publique France. Elles sont tout particulièrement émises par les moteurs diesel.
Elle permet d'être indépendant et procure un véritable sentiment de liberté. Elle permet d'accéder à des endroits autrement inaccessibles. Elle permet de déplacer facilement des objets, de faire ses courses et son shopping, ce qui contribue au bon fonctionnement de l'économie capitaliste.
Le trajet en voiture est soumis aux aléas du trafic, ce qui occasionne un stress et une perte de contrôle, d'autant plus importante lorsque l'on est passager. De leur côté, les transports en commun donnent le sentiment d'être moins efficace au travail.
L'avion: Enfin, l'avion est le moyen de transport le plus polluant et celui qui génère le plus d'émissions à effet de serre.
La première solution pour réduire l'empreinte carbone de ses déplacements est de diminuer le trafic. Il est donc essentiel de planifier son quotidien pour privilégier les déplacements nécessaires. Lorsqu'il faut prendre la route, plusieurs alternatives existent pour réduire les émissions de GES, en particulier de CO2.
Optimiser son transport routier passe aussi par la mutualisation des marchandises. Avec cette pratique, vous avez la possibilité d'améliorer le taux de remplissage des camions, de limiter les retours à vide et le nombre de kilomètres parcourus. Vous pouvez également contribuer à la diminution de l'empreinte carbone.
Outre les gaz à effet de serre, le transport routier est à l'origine d'émissions de plusieurs polluants atmosphériques comme le cuivre, les oxydes d'azote et le plomb. Il rejette également des particules fines, du monoxyde de carbone et des composés organiques volatils.
Les bruits liés aux transports sont, pour les Français, la première cause de gêne (aéroport, camion, deux-roues, train, métro, trafic urbain, etc.). Ils entraînent la fatigue, des troubles du sommeil, de l'inattention, de l'agressivité, voire des troubles psychologiques ou physiologiques plus important.
Le coût du transport est relativement cher pour les longues distances. Le transport routier est fait pour transporter des denrées périssables qui nécessitent une livraison rapide. Les risques de la route ( accidents, insécurité sur le trajet,…)
Avion vs voiture, qui est le plus polluant ? Selon le simulateur “Mon Impact Transport” de l'Ademe, sur un trajet de 500 km, la voiture individuelle émet plus de 50 % de CO2 que le même trajet en avion.
Là où les choses se corsent, c'est en ce qui concerne les ferries, qui émettent 267 grammes équivalent CO2 par kilomètre, contre 209 grammes pour un avion long-courrier.
Privilégier la marche à pied
Ces petits trajets engendrent une forte consommation de carburant, et donc d'importantes émissions. Se déplacer en voiture sur de courtes distances, c'est cher et polluant. Pour les petits trajets, privilégions les déplacements non motorisés !