Le mot Miskine nous vient de l'arabe miskīn qui se traduit par pauvre. Miskine a gardé son sens originel en passant dans le vocabulaire de nos ados. Il est utilisé pour exprimer son mépris envers une personne, la désigner comme une personne pitoyable ou pathétique.
De l'arabe miskīn «pauvre», miskine est un terme qui a peu ou prou conservé son sens originel en passant dans notre vocabulaire. Ainsi l'entend-on souvent employé pour faire part de notre mépris et qualifier une personne pitoyable, voire pathétique.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Interjection. (Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
La prononciation \mis. kin\ rime avec les mots qui finissent en \in\.
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
(Argot) (Péjoratif) Mouchard ; personne qui dénonce ; balance. (Argot) Traitre ; renégat.
Non il ne s'agit pas d'une nouvelle marque de lessive. "Askip"est tout simplement l'abréviation de "A ce qu'il paraît" et est le plus souvent utilisée dans les textos.
Le terme « seum » vient étymologiquement du mot arabe « sèmm » qui signifie « venin ». Autrement dit, quand on a « le seum », « on a la rage ».
Horace Doursther a donné une définition de ce poids dans le “Dictionnaire universel des poids et mesures anciens et modernes” publié en 1840 : “Le cheh, usité à Fort-Marlborough, île Sumatra, est la 10e partie du tael chinois, et se divise en 10 hoons = 100 lees = 1000 see = 10000 hoot = 58 ⅓ grains anglais = 3.7795 ...
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Nom issu de l'arabe « frère ». Prononcez « roya », avec un r guttural. Expression instaurant une relation de proximité avec un interlocuteur.
Le mot Psartek, peut aussi s'écrire bsartek, psahtek et sartek. Il signifie bravo, félicitations, bien joué. Les ados l'utilisent pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose, pour faire un compliment à quelqu'un.
Mashallah est un mot d'origine arabe qui veut dire littéralement « Allah l'a voulu, Dieu l'a voulu, selon la volonté de Dieu ».
Ce mot s'utilise principalement lors des prières, où il est répété plusieurs fois. Par exemple, dans la prière appelée tasbih , qui se récite au moment d'aller se coucher, le croyant répète trente-trois fois soubhanallah , puis autant de fois hamdoullah , puis autant de fois allahou akbar .
L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
Ken : Faire l'amour. Exemple : « La première fois que je suis allée chez lui, on a ken. »
Ce n'est pas une blague : dahak, en langue arabe, c'est rire, donc « Ça me fait dahak » veut dire « Ça me fait marrer ».
Frimer pour que les gens vous regarde. Ex : « je vais prendra ma bécane et je vais aller faire de la D devant le lycée ».
De l'arabe وحق ربي , w'haq rabbi (« je te jure par Dieu »).