Signer un contrat avec un label signifie que vous avez déjà largement avancé dans votre carrière musicale. En effet, envisager de contacter un label signifie que vous avez déjà votre musique ; qui doit bien sûr être de qualité professionnelle.
Les labels comme une preuve de son engagement social
De manière générale on peut affirmer que le label peut jouer le rôle de preuve : en effet il garantit la conformité d'une entreprise ou d'une organisation, d'un produit ou d'un service à des critères définis.
Aujourd'hui, pour signer avec un label, un artiste doit avoir un minimum de notoriété. Ainsi, cela prouve que sa musique est appréciée du public. Et cela passe notamment par une présence sur les réseaux sociaux (que notre agence peut vous aider à développer).
Signer un contrat avec un label signifie que vous avez déjà largement avancé dans votre carrière musicale. En effet, envisager de contacter un label signifie que vous avez déjà votre musique ; qui doit bien sûr être de qualité professionnelle.
Sony Music arrive en tête avec 1,036 milliards de dollars devant Universal Music, à 857 millions de dollars. Warner Music est distancée avec 478 millions de dollars.
Il consiste à vendre sa musique en format physique et digitale, générer des revenus grâce au streaming et à la monétisation de contenu mais aussi par la vente de produits dérivés.
Promouvez votre projet musical
Dans un deuxième temps, développez une stratégie de communication pour créer une communauté de fans autour de vous et de votre musique. Soyez présent sur Twitter, Instagram, Facebook, Soundcloud et Youtube. Ce sont les réseaux essentiels aujourd'hui pour se faire remarquer.
Réussir à se faire connaître dans la musique en contactant les magazines, radios, blogs avec Groover. Votre présence en ligne est cruciale mais ne se résume pas aux réseaux sociaux et aux plateformes de streaming ! Pour un maximum de visibilité, multipliez les retombées presse : radio, magazine, blog…
Créer son label en tant qu'association loi 1901
Grâce à ce statut vous pourrez rapidement gagner en crédibilité dans un premier temps, mais surtout commencer votre activité légalement : production, diffusion, vente après les concerts, etc. Tout acte juridique est maintenant à votre portée et autorisée.
Pour ce qui est du nombre de chansons à envoyer, n'envoyez jamais plus de deux titres. Mettez-vous à place des directeurs artistiques qui n'ont pas envie d'écouter les albums entiers des centaines d'artistes qui les contactent toutes les semaines. S'ils veulent en écouter plus alors ils vous demanderont.
Pour réussir à trouver une bonne maison de disque, il faut donc : Un travail préliminaire avec plusieurs morceaux travaillés. Des enregistrements dans des studios pour faire des maquettes, des démos ou des titres. Contacter par divers moyens des directeurs artistiques de diverses maisons de disque.
Dans un souci d'objectivité, les labels et certifications français sont donc uniquement attribués soit par un organisme public national ou international, soit par un organisme privé accrédité. Par ailleurs, une autorité, indépendante elle aussi, est chargée de vérifier que les critères de labellisation sont satisfaits.
Aujourd'hui, il existe en France deux types de labels officiels : ceux qui sont décernés par l'État et ceux qui sont décernés par des organismes internationaux (ex : européen) Les labels officiels peuvent être des agréments, des certificats de conformité à des normes ou d'une provenance ou bien des labels de qualité.
Les labels et certifications sont attribués en principe par un organisme public national ou international, ou par délégation à des organismes accrédités, dans le cadre d'une procédure réglementaire impartiale et dans un but d'intérêt général.
Un artiste n'exprime pas qu'une attitude unique, mais bien plusieurs. En fait, la plupart de ces attitudes se recoupent et s'interinfluencent. Si quelqu'un affiche l'attitude l'artiste, il risque fortement d'être arrogant.
Les producteurs exécutifs (ou musicaux) se rémunèrent sur les recettes générées par l'exploitation de la musique dont ils ont financé la production et la distribution.
L'artiste y poste en effet ses créations contre investissement des clients. Ceux-ci peuvent financer ponctuellement une œuvre pour qu'elle soit réalisée et/ou visible, ou alors verser une somme sur base régulière, comme on octroie un salaire.
Un chanteur est dans la plupart des cas rémunéré au cachet. Celui-ci varie en fonction de sa notoriété et de la nature de la prestation. La rémunération peut être complétée par une rétribution au titre des droits d'auteur.
Le label accélère le développement des projets musicaux imaginés par les artistes. Ces projets musicaux peuvent être le fruit du travail d'un seul artiste, ou de plusieurs artistes dans le cadre d'une œuvre de collaboration : sur ce point, attention aux droits d'auteur avec les œuvres de collaboration.
N'ayez pas plein d'étoiles dans les yeux dès que vous entendez le mot « label », le meilleur moyen de vérifier le sérieux d'un label est de se renseigner sur sa réputation sur internet. Vérifiez ce qu'il a déjà fait, son prestige, la qualité de ses titres, son actualité…
Une maison de disques prend en charge la conception et la fabrication des œuvres musicales, comme le pressage d'un album et sa distribution. Alors que les labels sont une marque de fabrique qui travaille autour d'une image et d'une identité musicale.