L´UTROGESTAN, un médicament couramment utilisé par les femmes enceintes pour limiter le risque de contractions, ne doit plus être prescrit après le premier trimestre de la grossesse.
par voie vaginale dans le traitement de troubles de la fertilité et pour prévenir les fausses couches et les avortements spontanés à répétition.
supplémentation de la phase lutéale au cours de cycles spontanés ou induits, en cas d'hypofertilité ou de stérilité primaire ou secondaire notamment par dysovulation, en cas de menace d'avortement ou de prévention d'avortement à répétition par insuffisance lutéale, jusqu'à la 12ème semaine de grossesse.
o 200 mg de progestérone micronisée par jour du 15ème au 25ème jour du cycle, répartis en une ou deux prises par jour puis, o à partir du 26ème jour du cycle et en cas de grossesse débutante, cette dose peut atteindre au maximum 600 mg/jour réparties en 3 prises.
Outre le fait qu'elle prépare l'endomètre à accueillir l'ovule fécondé, la progestérone est l'une des hormones les plus importantes pendant la grossesse, car elle favorise l'élasticité des tissus corporels afin qu'ils s'adaptent à l'augmentation de volume du bébé.
Utrogestan contient comme principe actif de la progestérone, une hormone sexuelle féminine qui appartient à la classe des progestatifs. La progestérone est secrétée par les ovaires. Elle joue un rôle essentiel dans la régulation du cycle menstruel et le déroulement normal de la grossesse.
L´UTROGESTAN, un médicament couramment utilisé par les femmes enceintes pour limiter le risque de contractions, ne doit plus être prescrit après le premier trimestre de la grossesse.
Par voie orale uniquement, les effets suivants ont été observés: · risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
On parle d'insertion basse du placenta lorsque celui-ci est situé trop près du col de l'utérus. La future mère doit alors rester couchée le plus possible afin de limiter les saignements.
La posologie recommandée est de 400 à 600 mg/jour, en deux prises à trois prises/jour, à partir du jour de l'injection d'hCG jusqu'à la 12ème semaine de grossesse.
Fertilité, grossesse et allaitement
Ce médicament peut être prescrit par voie vaginale pendant le premier trimestre de la grossesse. Il ne doit pas être utilisé à partir du 4e mois de grossesse.
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
Poussez l'ovule vers le fond du vagin avec l'index et si vous avez un applicateur appuyez sur le poussoir une fois une fois que vous aurez inséré le tube sans forcer le plus loin dans le vagin.
Les saignements peuvent généralement être contrôlés par l'administration d'œstrogènes plus un progestatif (une hormone féminine de synthèse) ou de la progestérone (similaire à l'hormone fabriquée par le corps) ou parfois par l'une de ces hormones seule.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Les médicaments les plus couramment employés pour la préparation cervicale sont les prostaglandines. Ces médicaments peuvent être pris par voie orale ou placés dans le vagin ou les joues et doivent être pris plusieurs heures avant la procédure.
Ces « saignements d'implantation » sont tout à fait normaux et peuvent parfois être confondus avec des menstruations plus courtes. Un saignement léger peut survenir après un examen gynécologique ou une relation sexuelle. En effet, le col de votre utérus est plus fragile, car il est très vascularisé durant la grossesse.
Il faut savoir que l'échographie ne peut reconnaître la grossesse avec certitude qu'après un retard de règles suffisant de 10 à 15 jours, soit 6 à 7 semaines d'aménorrhée avec battements cardiaques présents. Ainsi, le test de grossesse se fait plus tôt que l'échographie.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
L'œstrogène est à son plus haut juste avant l'ovulation et est un coupe-faim, selon la psychologue américaine. La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM.
Faciliter le sommeil
Ce n'est pas un secret que la progestérone aide les femmes à s'endormir plus vite, à avoir un sommeil profond moins perturbé, et à dormir plus longtemps.
Dans certains cas, notamment pour favoriser une grossesse, votre médecin peut être amené à augmenter les doses jusqu'à 600 mg par jour, réparties en 3 prises/ jour. Dans tous les cas, la posologie ne devra pas dépasser 200 mg par prise par voie orale ou vaginale.
Le diabète, le côlon irritable, une carence en vitamines, un manque de nutriments, la pollution et d'autres troubles hormonaux peuvent freiner la production du corps jaune si important dans les ovaires. Il peut alors en résulter une impossibilité à concevoir ou une fausse couche.
Prendre un supplément vitaminique quotidien qui contient de l'acide folique peut réduire le risque que votre bébé ait une anomalie du tube neural. Les bienfaits de la prise d'acide folique pour la réduction du risque d'anomalies du tube neural sont maximaux au cours des toutes premières semaines de grossesse.