Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge. Dans presque 5 milliards d'années, il aura épuisé son carburant nucléaire et se dilatera en une étoile, une géante rouge qui pourrait engloutir notre planète.
Si l'on en croit l'ONU, la population mondiale atteindra les 6,9 milliards cette année. Une tendance démographique qui, couplée à ce que Fenner appelle notre «consommation débridée», mènera à terme à la disparition de l'espèce humaine.
Comme toutes les espèces, l'homme va disparaître… mais quand ? L'effondrement de la biodiversité n'est un secret pour personne, mais l'homme fait partie de cette biodiversité. L'espèce humaine va s'éteindre d'une façon ou d'une autre, mêm si on ne sait pas quand.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Pour 8% des Nobel interrogés, notre espèce pourrait être amenée à s'éteindre pour des raisons médicales. Une pandémie propagée à travers le monde ou le développement d'une résistance aux médicaments pourraient faire sombrer l'humanité. Mais c'est peut-être finalement l'homme, lui-même, qui s'auto-détruira.
Dans plusieurs milliards d'années, la Terre finira inexorablement absorbée par le Soleil transformé en géante rouge. D'ici là, l'humanité aura certainement disparu depuis bien longtemps.
Elle peut tout d'abord découler de l'activité humaine (pollution, épuisement des ressources naturelles, effet de serre). Le réchauffement climatique est susceptible d'entraîner une diminution de l'oxygène dans l'air par mort du plancton et une libération de sulfure d'hydrogène mortel pour la majorité des organismes.
La population mondiale compte 7,7 milliards d'habitants en 2019. Elle n'en comptait qu'un milliard en 1800 et a donc été multipliée par plus de sept depuis (voir la figure ci-dessous). Elle devrait continuer à croître et pourrait atteindre près de 10 milliards en 2050.
L'humanité a frôlé l'extinction il y a 70'000 ans, selon des travaux publiés jeudi aux USA. A cette époque, les hommes avaient été décimés par des conditions climatiques extrêmes, affirment les paléontologues.
Dans une interview à la BBC diffusée cette semaine, le célèbre physicien remet à jour ses prédictions. Face au réchauffement climatique et aux menaces technologiques, l'humanité serait menacée de disparition d'ici la fin du siècle.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Les changements climatiques vont continuer à s'aggraver, mais même si les plus récents rapports scientifiques, dont celui dévoilé lundi par l'ONU, n'ont rien de particulièrement réjouissants, les chercheurs sont unanimes à dire qu'il n'est pas trop tard pour sauver la planète ou l'humanité.
on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.
Le futur peut se décliner en trois temps : le futur simple, le futur antérieur et le futur proche. Le futur proche possède un statut particulier, en raison de sa construction avec le semi-auxiliaire aller conjugué au présent de l'indicatif et d'un infinitif.
Le futur simple se forme différemment. On ajoute les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez et -ont à l'infinitif. Parler : je parlerai, tu parleras, il/elle/on parlera, nous parlerons, vous parlerez, ils/elles parleront.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
L'étude envisage un réchauffement de 1,8°C en 2050 et comme scénario le plus probable +3°C pour 2100, avec pour conséquence ces périodes de températures "cauchemardesques", avertit M. Zeppetello. Dans le pire scénario, les températures extrêmes pourraient durer deux mois de l'année dans les régions les plus affectées.
Si les émissions de CO2 continuaient au rythme actuel, les chercheurs estiment aussi que d'ici 2150, la Terre sera revenue 50 millions d'années en arrière, à l'aube de l'évolution des premiers mammifères (les dinosaures ont disparu il y a 65 millions d'années). De nombreuses espèces en danger.
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.
Si l'on s'en réfère aux cycles de Milankovitch évoqués au début de cet article, les prochaines périodes favorables à une glaciation auront lieu d'ici 40.000 à 60.000 ans.
La revue Nature nous dévoile que l'Homo erectus a survécu jusqu'à il y a un peu plus de 100 000 ans. Ce qui est bien plus récent que ce qui était cru jusqu'alors. En effet, cette espèce ancêtre de l'homme moderne a évolué il y a 2 millions d'années et est la première connue à marcher debout.