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Tout militaire croisant un supérieur le salue quand il en est à six pas et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé. S'il dépasse un supérieur, il le salue en arrivant à sa hauteur et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé de deux pas.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
Tous les militaires de l'Armée française peuvent le faire.
On retrouve donc dans ces armées, les officiers généraux, les officiers, les sous-officiers et les militaires du rang, habilité à effectuer le salut militaire.
Les membres du rang et sous-officiers saluent, à hauteur de tempe, doigts tendus et joints, paume de la main non-visible (type de salut également en cours aux États-Unis), en signe de respect envers la commission (la commission est un document octroyé par Sa Majesté qui donne le pouvoir de commandement aux officiers).
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
L'attitude du salut est prise d'un geste vif et décidé et en regardant la personne que l'on salue. Le salut terminé, la main droite est vivement renvoyée dans le rang. Tout militaire croisant un supérieur le salue quand il en est à six pas et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé.
Il convient de rester couvert et de tendre la main pour saluer un subordonné masculin et de lui dire Bonjour monsieur. Si la personne est votre supérieur hiérarchique, il convient de dire Bonjour monsieur sans se découvrir et d'attendre que le supérieur hiérarchique vous tende la main.
au commandant, Mes respects mon commandant ; au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel.
On ouvre le ban que pour les textes officiels : Appel du 18 juin, ordres du jour, message officiel du Secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens Combattants. Les discours ou allocutions sont prononcés en dehors de la cérémonie du souvenir (vin d'honneur, exposition, etc.)
Il convient, pour les femmes de militaire, d'appeler « général », « colonel » et « commandant » sans faire précéder du « mon ». En dessous de ces grades elles appelleront les militaires « Monsieur ». La formule « mes hommages, Madame » est à adopter systématiquement quand on s'adresse à la femme d'un supérieur.
S'il dépasse un supérieur, il le salue en arrivant à sa hauteur et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé de deux pas. S'il est en armes, il présente l'arme en tournant la tête du côté du supérieur. S'il fume, il prend son cigare ou sa cigarette de la main gauche et salue de la main droite etc. »
Mon Colonel, Je me réjouis pour cette distinction qui récompense votre dévouement pour notre patrie. Votre engagement est total et cette médaille qui vous honore, était bien due à l'homme dont la déjà longue carrière est jalonnée de succès.
L'expression du début du siècle est Prenez gardes à vous, , c'est l'ordre qui annonce une instruction à exécuter. Avec l'ordonnance du 1er juin 1776 elle devient Garde = à vous et sert à faire immobiliser le soldat dans le rang.
Le Salut est une notion spirituelle qui signifie « délivrance et libération ». Le croyant qui possède le salut se trouve ainsi délivré et libéré du péché, de l'insatisfaction et de la condamnation éternelle (enfer). Il bénéficie d'une relation avec Dieu et a ainsi accès au paradis.
Comment se présenter dans un bureau militaire ? Rentrer, saluez, retirer le béret de la main opposée à l'insigne, soit la gauche pour les « non commandos marine », la passer derrière son dos tout en pliant le béret, le récupérer de la main droite, et se présenter .
Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Le mot "mon", quand il précède un grade de l'armée de terre ("mon colonel", "mon général", ...), ne correspond pas à l'adjectif possessif, mais à l'abréviation de "monsieur". C'est pourquoi lorsque l'on s'adresse à une femme, on la nomme simplement par son grade.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
(1990), le féminin de gendarme est le nom épicène (gendarme donc) et l'on peut écrire la/une gendarme.
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Les hommes, qui sont passés ou sont destinés à passer par l'armée, observent le plus souvent l'usage militaire et disent " Mon commandant ", " Mon colonel ", etc. Cependant, les civils qui occupent une haute situation sociale ou ne sont plus d'âge militaire peuvent supprimer le " Mon ".
dans la police le salut est dû à tout supérieur hiérarchique qu'il soit en civil ou en tenue, par ailleurs le salut ne s'effectue que lorsqu'on est vêtu d'une coiffe comme une casquette par exemple.
Elle consiste à se tenir debout, droit, les bras le long du corps, les talons joints, la tête haute, immobile. Le protocole varie selon les pays et les unités. Le garde-à-vous est de rigueur pour écouter un avis ou un commandement hiérarchique, se présenter à une autorité ou bien marquer certains temps d'une cérémonie.
Les officiers généraux sont nommés par le président de la République en Conseil des ministres parmi les colonels et capitaines de vaisseau ayant exercé une fonction de commandement pour les officiers des armes, parmi les ingénieurs en chef (armement, énergie opérationnelle, infrastructures), les commissaires en chef ( ...