💡 Comme pronom démonstratif (contraction familière de ceci), ci s'oppose à ça : comme ci comme ça ; fais ci, fais ça. Pas de trait d'union dans ce cas. si peut être une conjonction de subordination qui indique une condition. Si peut être aussi un adverbe de quantité, d'affirmation, d'interrogation ou d'exclamation.
Si l'on peut remplacer le « ce/se » par « me » ou « te », il faut écrire « se » (ou « s' »). Sinon, il faut écrire « ce » (ou « c' »), qu'on peut souvent remplacer par « cela » : Il s'est donné des objectifs. = Je me suis donné des objectifs, tu t'es donné des objectifs.
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Cette promotion, elle ne s'y attendait pas. On peut dire, en remplaçant « si » par se » : « Elle ne s'attendait pas à cette promotion. » C'est donc qu'il faut écrire « s'y », et non « si ».
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse).
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative.
1-Si j'ai de l'argent, j'aiderai les démunis demain. a-J'aiderai les démunis demain si j'ai de l'argent. 2-Si j'avais de l'argent, j'aiderais les démunis. b-J'aiderais les démunis si j'avais de l'argent.
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
Synonyme : en admettant que, au cas où, dans le cas où, en supposant que. – Littéraire : supposé que. 2.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
La cédille (¸) ne s'emploie qu'avec la lettre c, devant les voyelles o, u et a. La cédille sert à indiquer que le c ne doit pas se prononcer [k], mais bien [s]. - François, maçon, façon, efforçons, etc.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
« Lorsqu'une phrase commence par « si » dans le cas d'une condition, on n'utilise pas le conditionnel. A l'inverse, si l'on emploie le conditionnel dans la phrase, on n'utilise pas la conjonction « si ». » Demandé par Minouche le 7 juin 2017 dans Conjugaison.
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Il faut écrire « je voudrai » sans « s » lorsqu'on parle au futur. Dans l'autre cas, il faut écrire « je voudrais » avec un « s » final lorsqu'on s'exprime au conditionnel, c'est-à-dire lorsque l'action est soumise à conditions.
Si on peut remplacer par « Tu voudras », alors c'est le futur et il faut écrire « Je voudrai » sans « - s ». Si on peut remplacer par « Tu voudrais », alors c'est le conditionnel présent et il faut écrire « Je voudrais » avec un -s.
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf.
n. 1), « on estimera que ouais n'est rien d'autre qu'un oui exprimant, soit une affirmation énergique ou emphatique, soit une réponse atténuée, ou hésitante, ou admirative, ou ironique, ou sceptique etc. ». Reste à dire que le sens de ouais c'est oui… Comme c'est essentiellement de oui qu'il s'agit de le différencier…
Quand appartient à tous les niveaux de langue, y compris la langue familière; lorsque est d'un niveau plus soutenu et est le terme à privilégier, la plupart du temps, dans les textes juridiques.
La conjonction "comme si" exprime une comparaison avec un fait irréel, elle s'emploie seulement avec: un imparfait pour exprimer la simultanéité: Tu parles avec une voix bizarre comme si tu avais mal à la gorge.
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un k.
- On double la consonne après une voyelle accentuée : émission. Le doublement du « c » : - Dans les mots commençant par « ac- », le « c » est généralement doublé : accabler, accalmie, accaparer, etc., sauf acabit, acacia, académie, acajou, acanthe, acariâtre, acolyte, acompte, acoustique, acuité, etc.