Les scientifiques pensent que la Terre a connu plusieurs épisodes de glaciation presque totale. Entre -2,4 milliards d'années et -635 millions d'années. Cette hypothèse, nommée Snowball Earth (Terre boule de glace), est bien admise, bien qu'elle ne fasse pas l'unanimité.
L'origine des cycles glaciaires-interglaciaires
Trois facteurs sont généralement invoqués pour expliquer les variations climatiques passées : les variations d'insolation, les variations du taux de dioxyde de carbone, et la position des continents (contrôle tectonique).
La température de cette Terre primitive est d'environ 4700°C (chaleur due aux collisions). Cette Terre est donc formée de matière en fusion. Petit à petit, la Terre se refroidit, les éléments les plus légers remontant vers la surface et les plus lourds (fer) s'enfonçant pour former un noyau.
Il y a 750 millions d'années, la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre baisse à tel point que la Terre a perdu environ 50 °C de température moyenne. Les calottes polaires ont alors atteint l'équateur. La Terre lors de la glaciation sturtienne. La Terre lors de la glaciation sturtienne.
L'histoire de la Terre couvre approximativement 4,6 milliards d'années (4 567 000 000 années), depuis la formation de la Terre à partir de la nébuleuse solaire jusqu'à l'époque actuelle.
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
D'eau en glace, de glace en eau
La circulation océanique est bouleversée. L' effet de serre s'amenuise. Par ces réactions en chaîneréactions en chaîne, la Terre accumule les conditions propices pour une nouvelle ère glaciaire.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
La terre et l'eau ne forment donc qu'une seule et même sphère qui reçoit le nom de "globe terraqué", remplacé ensuite par "globe terrestre". Kepler (1571-1630), en 1618, confirme ces propos.
La Terre se refroidit et son noyau se solidifie
Quand, dans quelques milliards d'années, la graine occupera une grande part du noyau, le champ magnétique terrestre s'éteindra. Privée de ce bouclier, la Terre sera irradiée par le vent solaire.
L'ellipticité trop faible fait que nous avons manqué cette période favorable pour un début de glaciation. Les prochaines périodes favorables de mise en glace auront lieu 23.000, 46.000 ou 69.000 ans après cette dernière période favorable (il ya 5000 ans approximativement), soit dans 18.000, 41.000 ou 64.000 ans.
Sa fin correspond plus ou moins à celle du Paléolithique. La dernière période glaciaire est une période de refroidissement global ou glaciation qui caractérise la fin du Pléistocène. Elle commence il y a environ 110 000 ans et se termine il y a environ 10 000 ans quand commence l'Holocène.
Une équipe dirigée par l'Université de l'Arizona a conclu que la température moyenne de la dernière période glaciaire - ou glaciation de Würm, il y a environ 20 000 ans - était d'environ 7°C.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Le réchauffement climatique est en train de perturber la circulation des courants marins, et notamment le Gulf Stream, ce qui nous amènerait, dans une probabilité de 50 % vers une ère de refroidissement brutal impactant l'hémisphère nord d'ici quelques décennies.
Les chercheurs pensent que, d'ici 2030, la majeure partie de la zone glaciaire du Parc National de Glacier aura disparu à moins que les modèles courants du climat n'inversent leur cours.
Alors qu'une période glaciaire dure environ 80 000 ans, les périodes interglaciaires sont plus courtes (de quelques milliers d'années à 20 000 ans).
Homo habilis (2,4 à 1,6 millions d'années) Il a vécu en Afrique de l'Est et en Afrique du Sud. On le considère comme le premier homme véritable en raison de la forme de son crâne et sa capacité crânienne, 600 cm3 en moyenne.
Les premières formes de vie qui ont peuplé la terre sont apparues dans l'eau, il y a 3,5 milliards d'années, Curio ! C'étaient des bactéries composées d'une seule cellule. Elles se sont peu à peu développées pour se transformer en êtres multicellulaires avec un noyau contenant leur ADN.
L'eau a vraisemblablement participé aux mécanismes fondateurs de la vie primitive grâce, notamment, aux liaisons hydrogène. Elle joue également un rôle passif en permettant la diffusion des molécules.
Dans cette généalogie, il est parfois difficile de déterminer qui est homme et qui est singe, mais il est en tout cas inexact de dire que l'homme descend du singe. Il est bien plus juste de constater simplement que l'homme actuel et les singes modernes ont un ancêtre commun.
Les dinosaures et les hommes n'ont jamais vécu ensemble puisque les premiers hominidés sont apparus bien plus tard (le plus vieux crâne d'hominidé découvert par l'archéologie et nommé Toumai est âgé de 7 millions d'années).