Elle est nécessaire devant a, o et u (sans cédille le c de ca, co, et cu se prononce [k]). Il est inutile de mettre une cédille devant un e ou un i : c devant ces voyelles se prononce toujours [s].
En français, la cédille se place uniquement sous la lettre c devant les voyelles a, o et u. Elle permet de transformer le son k en s. Elle apparaît systématiquement à certaines formes de conjugaison afin de respecter le son s du verbe.
- « c'est » remplace « cela est, ceci est ». Il s'utilise lorsqu'on annonce ou présente quelque chose. Exemple : C'est bien dommage. (Cela est bien dommage.)
« C' » et « S' » sont des homophones : ils se prononcent de la même manière, mais s'écrivent différemment. « C' » peut toujours être remplacé par « cela ». « S' » est la forme contractée de « se ». Si on transforme la phrase avec le sujet « je » ou « tu », il devient « m' » ou « t' ».
Utiliser le "Cc"
Lorsque vous entrez une adresse mail dans le champ "Cc", qui signifie d'ailleurs "copie carbone", cela signifie que vous mettez la personne en copie du mail.
Il y a deux "c" à accord
Cette fois-ci, le doublement du "c" est justifié par l'étymologie. En effet, c'est la préposition latine ad- (à, vers, chez) qui commence le mot. Elle est devenue ac- au contact du "c" du nom cor, cordis, qui désigne le "cœur".
CC se prononce normalement \k\ : accord, accorder, accu, occasion… notez que, quand CC est suivi de UE, le U ne se prononce pas : accueil, accueillir…
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
C' est le pronom démonstratif ce élidé. Pour les distinguer, faire fonctionner la conjugaison (il s'est, tu t'es, je m'étais…) ou remplacez par ceci, cela. Exemple : Elle s'est couchée (je me suis couché, tu t'es couché…).
L'astuce pour repérer s'il faut écrire « se » est simple, si dans le contexte précis, vous ne pouvez pas remplacer votre pronom personnel par « cela », donc vous ne pouvez pas utiliser le pronom « ce ». Astuces supplémentaires : Vous ne devez écrire « ce » que lorsque vous ne pouvez pas le remplacer par « me ».
Dans « c'est » « C » est le pronom démonstratif « CE » suivi du verbe être (est). Pour cette raison, il est possible de substituer « C' par « Cela ». Le sens ne change pas. Dans « s'est » « S' est le pronom personnel « SE » suivi de l'auxiliaire dans une phrase au passé composé.
« S'est » est un verbe pronominal toujours accompagné d'un participe passé. On écrit les mots « s'est » si à la première personne peut remplacer ces mots par « me suis ».
Une astuce pour savoir s'il s'agit bien du pronom et non du démonstratif « ce » est d'ajouter lui-même, elle-même, soi-même, eux-mêmes ou elles-mêmes après le verbe pronominal. Si la phrase garde son sens, alors il faut bien écrire « se » avec un -s.
Située sous le c, elle ressemble, à l'origine, à un petit z, cedilla en espagnol. Et en France pendant ce temps ? Certains paléographes affirment la présence de la cédille dans des manuscrits dès le VIIIe siècle. Mais en général, les copistes placent un e ou un z après le c pour indiquer une prononciation sifflée.
La lettre c se prononce [k] quand elle est suivie de a, o, u ou d'une consonne. La lettre c se prononce [k] quand elle se trouve à la fin d'un mot. Dans certains mots, lorsque le c est à la fin d'un mot, il ne se prononce pas.
On utilise « ça » lorsqu'on peut le remplacer par « cela ». - « çà » est un adverbe de lieu. - « sa » est un adjectif possessif. On utilise « sa » lorsqu'on peut le remplacer par « la sienne » ou par « ses ».
Ceci / cela. Ceci renvoie à ce qui suit (dans le discours) ou à ce qui est le plus rapproché (dans l'environnement de qui parle et de qui écoute) : écoutez bien ceci : votre salaire est doublé ; c'est une voiture, ceci.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
On écrit « s'est » devant un verbe. Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
série 3 : observez la lettre c et entourez la lettre qui vient après le « c ». Quelle particularité observez-vous ? Règle provisoire : La lettre « ç » suivie d'un a, o ou u se prononce [s].
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
20 consonnes écrites : B, C, D, F, G, H, J, K, L, M, N, P, Q, R, S, T, V, W, X, Z ; 18 consonnes phonétiques, ou contoïdes : b, d, g, v, z, ʒ, p, t, k, f, s, ʃ, m, n, ɲ, ŋ, ʁ, l ; 3 semi-consonnes phonétiques : j, ɥ, w.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
Pour savoir si la consonne est simple ou double, le truc, c'est de revenir à la prononciation. Si le e est un e muet (c'est-à-dire prononcé [ə], comme dans je ou demi, ou bien élidé comme dans p'tit), alors il n'y a qu'une consonne.