Le futur simple est employé pour exprimer une action qui se déroule dans le futur. Il peut également être utilisé pour évoquer une supposition ou une injonction en relation avec l'avenir.
Le futur simple exprime un fait postérieur par rapport au moment présent, un fait qui n'est pas encore réalisé. Il se forme à partir du verbe à l'infinitif + les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. Pour les verbes dont l'infinitif est en -re, il faut supprimer le "e".
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
Valeurs du futur
Il permet de situer un fait dans l'avenir. Il prévient qu'il rentrera tard. Il peut exprimer un ordre ou un conseil.
Le futur simple indique une action qui va se réaliser dans l'avenir par rapport au moment où l'on parle. ” Je finirai de travailler demain “.
Alors quelle forme privilégier et dans quel contexte ? J'aimerai est conjugué au futur simple de l'indicatif à la 1ʳᵉ personne du singulier. Il prend donc la terminaison « -ai ». J'aimerais est quant à lui conjugué au conditionnel à la 1ʳᵉ personne du singulier.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Un seul "s" vous manque et tout est chamboulé... Si vous écrivez "je serai", vous employez le futur, tandis que "je serais" est conjugué au conditionnel. Dans le premier cas, il s'agit d'un engagement ; dans le second, c'est juste une éventualité.
On utilise le futur proche quand on est plutôt certain que quelque chose va se produire, alors qu'avec le futur simple, on est moins sûr. Par exemple, si une femme dit « je vais avoir un enfant », elle est probablement déjà enceinte, donc c'est très probable qu'elle va avoir un enfant, on emploie le futur proche.
Pour les mots masculins et féminins commençant par une voyelle ou un « h » muet la préposition est suivie de « l' » - Je vais à l'inspection du travail. Exemple : Je vais au cabinet médical.
Demain je (finir) de lire cette bande-dessinée. On prend l'infinitif finir et on ajoute la terminaison de la 1re personne du singulier -ai. La semaine prochaine il (visiter) le nouveau musée.
Terminaison en ai ou ais
On ne va pas tourner autour du pot plus longtemps, on t'explique la différence entre les deux terminaisons. La terminaison en –ai : c'est à la première personne du singulier au futur de l'indicatif. La terminaison en -ais : c'est à la première personne du singulier au conditionnel présent.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai fais » ? On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée. Les journalistes l'utilisent souvent.
On écrit « j'aimerais » avec un -s : lorsqu'on écrit « j'aimerais », on conjugue le verbe « aimer » au présent du conditionnel. On utilise cette conjugaison pour exprimer une éventualité ou un souhait.
Quelques exceptions : aller : j'irai, tu iras… ; venir : je viendrai, tu viendras… ; courir : je courrai, tu courras… ; mourir : je mourrai, tu mourras... pour les verbes terminés par –e, -dre, -tre, le « e » final disparaît.
Les différents types de futurs
Le futur peut se décliner en trois temps : le futur simple, le futur antérieur et le futur proche. Le futur proche possède un statut particulier, en raison de sa construction avec le semi-auxiliaire aller conjugué au présent de l'indicatif et d'un infinitif.
Bientôt, plus tard, prochainement, tout à l'heure ...
Contrairement au futur proche, le futur simple présente une action future séparée du moment présent. Ainsi, en raison de cette coupure entre l'action à venir et le moment où l'on parle, les faits évoqués au futur simple ont une charge d'hypothèse plus importante que ceux évoqués au futur proche.