C'est pourquoi il est intéressant, voire très important de planter des arbres qui seront utiles à la biodiversité mais aussi à la planète de manière générale. Misez sur les chênes, les peupliers, l'érable du Japon, les conifères ou encore le magnolia et le bouleau !
Le Paulownia, ce « super » arbre écologique qui absorbe 10 fois plus de CO2 que les autres. Sans que la majorité d'entre nous s'en rende compte, il existe dans la nature des bottes secrètes qui pourraient grandement nous aider à lutter contre le réchauffement climatique.
L'Iroko : l'arbre miraculeux qui stocke le CO2 pour le transformer en calcaire. L'Iroko est un arbre tropical africain poussant principalement en zones chaudes et humides, qui a une capacité remarquable à absorber le CO2 pour le transformer en calcaire.
L'arbre Paulownia (Kiri) est un arbre aux qualités exceptionnelles. Il pousse extrêmement vite, absorbe 10 fois plus de CO2 que n'importe quel autre arbre et produit 4 fois plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il produit un bois très résistant, fort et léger, utilisé dans de nombreuses industries.
Le concept est simple. On achète et devient propriétaire d'arbres auprès d'Ecotree, qui s'occupe de la plantation et de l'entretien des forêts. Les arbres achetés séquestrent du carbone et favorisent la biodiversité. On peut voir leur localisation, leur valorisation et une estimation du CO2 absorbé.
« Le rendement est lié à la croissance des arbres. Sur du chêne on va obtenir 1,5% à 3% par an. Mais avec des pins Douglas il est possible de monter à plus de 8%.
Tous les deux, ainsi que l'érable rouge et le chêne à feuilles de laurier s'avèrent intéressants en matière d'élimination de la pollution à l'ozone, aux oxydes d'azote, au monoxyde de carbonemonoxyde de carbone, au dioxyde de soufre ou encore aux particules fines.
Saviez-vous qu'il existait un arbre capable de produire 4 fois plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il s'appelle Paulownia Tomentosa (ou Kiri) et s'avère indispensable à la reforestation. Nous avons tous appris la photosynthèse en cours de Sciences Naturelles, cet arbre pourrait en être le champion !
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.
De manière générale, l'eucalyptus est sans doute un des arbres qui possède la croissance la plus rapide – jusqu'à 2 mètres en une année !
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)... La rédaction vous conseille : Chêne vert, Quercus ilex.
Pas d'inquiétude majeure pour les valeurs sûres que sont les chênes, sessile et pédonculé, ou le douglas chez les résineux. Il risque toutefois d'y avoir pénurie de graines pour des essences moins dépendantes en eau et peu plantées jusqu'alors.
La biologiste vient d'être récompensée pour ses recherches. Plantées sur une surface grande comme l'Égypte, les super-plantes de Joanne Chory pourraient absorber 50% des niveaux actuels d'émissions mondiales de CO2 (image d'illustration).
Le bambou peut contribuer à la déforestation
La monoculture épuise les sols, éradique la biodiversité nécessaire, et génère donc plus de risques de maladies. Une fois le bambou installé, impossible de retrouver la biodiversité originelle. Autre impact écologique non-négligeable : son empreinte carbone.
Certaines plantes cumulent les effets dépolluants et humidifient l'air. Notamment le spathiphyllum, le schefflera, la fougère de boston (Nephrolepis exaltata) et l'Areca dypsis lutescens. Ces plantes sont à placer partout.
Les saules des vanniers et les arabettes de Haller sont des végétaux qui absorbent du zinc ou du cadmium, deux métaux toxiques que vous pouvez retrouver dans les sols pollués. Certaines graminées, le tournesol et d'autres plantes sont utilisés pour dépolluer les sols, l'air et de l'eau.
Les arbres retirent les polluants de l'air grâce à leurs stomates, de minuscules orifices situés sous leurs feuilles et qui servent aux échanges gazeux. Certains contaminants atmosphériques peuvent être absorbés par les tissus de l'arbre comme ceux du tronc, des branches et des feuilles.
Bien entretenue, votre forêt peut vous rapporter entre 3 et 4 % par an. Mais les revenus des coupes sont espacés dans le temps. La valeur de la forêt est fonction du prix du sol, de la densité, de la nature et de la localisation du boisement. Un bois peut se négocier jusqu'à 15 000 euros l'hectare.
L'Eucalyptus, essence peu implantée en France (quelques boisements sont visibles dans le Sud-Ouest notamment). Cet arbre craint les gelées mais se développe parfaitement bien en milieu aride comme au Portugal. Cette essence bénéficie également de recherches dans le but d'améliorer sa résistance au gel.
En France métropolitaine, les forêts comptent près de 190 essences différentes, réparties en 7 essences principales : chêne, hêtre, châtaignier, pin maritime, pin sylvestre, épicéa et sapin.